Note de la fic : 
Publié le 27/11/2010 à 11:40:14 par LittleJulio
A ma grande surprise, lorsque j'arrivai à l'adresse donnée, je ne vis ni appartement, ni maison. Juste une grande salle. Je pris soin de vérifier l'adresse. Oui, c'était bien ça. Mais alors à quoi cela rimait-il ? Je m'approcha de cette salle et y entra doucement. Lorsqu'à peine rentré, une voix s'adressa à moi :
« Tes chaussures. Enlève tes chaussures. ». Je me mis pieds nus dans les dix secondes qui suivaient. Mes mains tremblaient, j'avais peur. Peut-être étais-je tombé au mauvais endroit... Je fis quelques pas en avant, mais la salle était sombre. « Je savais que tu viendrais ». J'avais reconnu la voix de mon sauveur. Il s'approcha vers moi. Il était grand et avait de longs cheveux noirs d'environ soixante centimètres. « - J'vais pas y aller par quatre chemins, frappe-moi
- Qu... quoi ?
- Frappe-moi ou je te frappe !
- Euh...Euh...Ok, ok... »
Je serrais mon poing, et ne voulant pas lui faire trop mal, je lui institua un léger coup de poing dans les abdominaux qu'il avait prit soin de contracter.
-Tu plaisantes ?! C’est tout ce que t’as ?! Frappe-moi de toutes tes forces !
-Mais… Mais… Je ne peux pas.
-Si tu ne peux pas, pourquoi es-tu là ?
-Je ne sais pas.
J’avais répondu fermement. Je ne savais même pas pourquoi j’étais là. Je voyais à peine mon interlocuteur qui m’avait sauvé la vie tellement la salle était noire. Une ombre recouvrait une grande partie de son visage. Ses cheveux en recouvrait l’autre partie.
-Tu ne sais pas. Alors, tu as trois secondes pour quitter cette pièce.
Rapidement, je lui tourna le dos, mais je savais que je ne pouvais pas partir comme ça ; et dans la précipitation, je serra mon poing très fort, du plus fort que je n’avais jamais pu le faire, et lui envoya toute ma force dans l’arcade sourcilière, qui se mit à saigner aussitôt.
-Ha ! Très bien.
Je ne savais que répondre et de toute ma rage, je voyais ses cheveux se teinter d’un rouge vermeille, celui de son sang, qui à présent, commençait à joncher le sol. Il me regarda droit dans les yeux, comme pour voir mon envie profonde de vengeance. Cette vengeance, je la désirais plus que tout au monde.
Alors il s’approcha et d’une voix haute mais non moins sombre que d’habitude, annonça :
-Il est prêt.
Qu’est ce que cela voulait dire ? Je n’allais pas tarder à le savoir.
« Tes chaussures. Enlève tes chaussures. ». Je me mis pieds nus dans les dix secondes qui suivaient. Mes mains tremblaient, j'avais peur. Peut-être étais-je tombé au mauvais endroit... Je fis quelques pas en avant, mais la salle était sombre. « Je savais que tu viendrais ». J'avais reconnu la voix de mon sauveur. Il s'approcha vers moi. Il était grand et avait de longs cheveux noirs d'environ soixante centimètres. « - J'vais pas y aller par quatre chemins, frappe-moi
- Qu... quoi ?
- Frappe-moi ou je te frappe !
- Euh...Euh...Ok, ok... »
Je serrais mon poing, et ne voulant pas lui faire trop mal, je lui institua un léger coup de poing dans les abdominaux qu'il avait prit soin de contracter.
-Tu plaisantes ?! C’est tout ce que t’as ?! Frappe-moi de toutes tes forces !
-Mais… Mais… Je ne peux pas.
-Si tu ne peux pas, pourquoi es-tu là ?
-Je ne sais pas.
J’avais répondu fermement. Je ne savais même pas pourquoi j’étais là. Je voyais à peine mon interlocuteur qui m’avait sauvé la vie tellement la salle était noire. Une ombre recouvrait une grande partie de son visage. Ses cheveux en recouvrait l’autre partie.
-Tu ne sais pas. Alors, tu as trois secondes pour quitter cette pièce.
Rapidement, je lui tourna le dos, mais je savais que je ne pouvais pas partir comme ça ; et dans la précipitation, je serra mon poing très fort, du plus fort que je n’avais jamais pu le faire, et lui envoya toute ma force dans l’arcade sourcilière, qui se mit à saigner aussitôt.
-Ha ! Très bien.
Je ne savais que répondre et de toute ma rage, je voyais ses cheveux se teinter d’un rouge vermeille, celui de son sang, qui à présent, commençait à joncher le sol. Il me regarda droit dans les yeux, comme pour voir mon envie profonde de vengeance. Cette vengeance, je la désirais plus que tout au monde.
Alors il s’approcha et d’une voix haute mais non moins sombre que d’habitude, annonça :
-Il est prêt.
Qu’est ce que cela voulait dire ? Je n’allais pas tarder à le savoir.