Hiver Macabre
Par : BiAcToL_Pustule
Genre : Horreur , Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 2
Le Froid ou la Mort
Publié le 04/12/10 à 00:33:48 par BiAcToL_Pustule
Scène choisie : numéro 1 : Rashimov indique qu’il doit lui aussi aller chez lui chercher des armes, elles peuvent êtres utiles.
Chapitre 2 : Le Froid ou la Mort
Yuri récupéra quelques objets pouvant êtres utiles à leur survie tels des cachets (aspirine mais je ne sais pas si ça existait à cette époque mais il devait y avoir un équivalent, etc..) des manteaux en cuir et fourrure épais pouvant éviter les griffures et autres quelques couteaux de cuisine. Lorsque nos deux compères sortent de l’appartement -Yuri n’est franchement pas mécontent de le quitter-, ils découvrent trois silhouettes qui avancent lentement dans les escaliers en bois, à moitié détruit (Cet immeuble est vraiment pourri …). Ils les repèrent. Sans hésitation, Rashimov les vise et les élimine avec son magnum.
-« Je n’ai plus beaucoup de munitions, nous devrions aller en chercher chez moi, ce n’est pas très loin. Qu’en dites-vous, patron ? » Suggéra Rashimov.
-« Je n’y vois aucun inconvénient tant qu’on reste loin de, ces, euh, choses. » lui répondit Yuri.
Ils descendirent donc les marches, mais s’arrêtèrent lorsqu’ils entendirent un bruit atypique et effrayant. Le voisin, Elgar Dchagistky, qui pesait pas moins de 140 kilos et qui ne sortait jamais de chez lui, se tenait en haut de l’escalier. Les deux survivants était intrigués et se demandaient la même chose dans leur tête : « Est-il devenu comme eux ? »
Leur réponse arriva très vite lorsque Elgar lâcha une gerbe de vomi qui descendit jusqu’à eux. Rashimov l’esquiva aisément, mais Yuri s’en prit plein la gueule. Une substance visqueuse et fort odorante s’était déposée sur lui à présent, et, comme par enchantement, des dizaines de morts-vivants sortirent d’on ne sait où et se mirent à marcher d’un pas vif en direction de ces malheureux individus.
Ces derniers se hâtèrent de retrouver la voiture –Yuri est guidé par Rashimov car il ne voit plus très bien avec cette substance- et, une fois arrivés devant se dépêchèrent d’y entrer et de la démarrer. La voiture cala au bout de la rue, et déjà les créatures avançaient vers eux dans l’espoir d’en attraper un bout. Un zombie frappa de sa main putréfiée le pare-brise, ce qui le fissura légèrement –les voitures de cette époque ne sont pas très résistantes rappelons-le-, mais les deux camardes réussirent à redémarrer la voiture quasi-glacée par le froid. Sur la route, rien de trop dangereux, quelques marcheurs, mais bien trop lents pour rattraper une voiture. Le seul geste qu’ils faisaient était tendre les bras vers la voiture, comme s’ils espéraient l’attraper, mais le seul résultat obtenu fut une perte de bras ou autre membre.
La voiture s’arrêta devant l’immeuble –bien plus crasseux que celui de Yuri- de Rashimov. « Je vis avec un colocataire, espérons qu’il n’est pas comme ces choses » informa le garde du corps. « Je l’espère moi aussi, vous ne pouvez pas savoir… »Lui rétorqua Yuri. Ils entrèrent doucement dans le bâtiment qui avait une odeur de peinture pourrie et des mouches se bataillaient pour aller grignoter un cadavre encore chaud. « R.I.P. Igor, tu me manqueras » marmonna Rashimov –Igor était le concierge de cet immeuble, si on peut appeler a un immeuble- Les deux compagnons s’empressèrent de monter les étages un à un et Rashimov se stoppa devant une porte abîmée et qui sentait le vieux bois des grands-mères. Yuri en conclut qu’il s’agissait de la demeure de son compagnon d’infortune, et ces derniers y entrèrent le plus discrètement possible.
-« Alexandreï, Alexandreï, t’es là, réponds moi Alexandreï, t’es où ? »
Rashimov se demandait bien si son colocataire était dans l’appartement ou s’il était sortit.
Il eut la réponse très vite, lorsqu’un fou furieux s’élança sur Rashimov depuis la chambre. Il le percuta et ils roulèrent tous deux sur le tapis central qui représentait Chtaline avec les inscriptions suivantes : « Le Petit Père vous veut du bien ! » Le fétide essayait de mordre son ancien compagnon qui le repoussait mais n’arrivait pas à se débarrasser de lui.
Soudain, un CRAC se fit entendre, et le zombie roula sur le côté du tapis. Yuri se tenait là, et avait dans la main un Mosin Nagant qu’il avait trouvé sous le lit de Rashimov. Il avait frappé le fétide avec la crosse, ce qui avait eut pour effet de lui éclater le derrière du crâne. « Merci patron, je vous en dois une, j’ai bien crus qu’il aller me becqueter… » Le remercia le garde du corps. « Tu n’as pas besoin de m’appeler monsieur, tu peux me tutoyer tu sais, il n’y a plus d’ordre social ici. »lui lança Yuri, content d’avoir bien visé. Rashimov se releva avec hâte, puis s’élança vers sa chambre pour y récupérer ce dont ils étaient venus pour. Il souleva son lit et une boîte qui contenait quelques armes était disposée là. Le garde du corps en sortit une PPSH, deux TT33, quelques grenades et un paquet de dynamite. Il fit signe à Yuri de prendre un des TT33 et de garder son Mosin Nagant, puis lui donna quelques munitions. Il lui glissa quelques grenades dans une poche de sa veste en fourrure, et fit le garde à vous devant le portrait de Chtaline, en guise d’adieu.
Ils sortirent de l’appartement, et à peine descendus, ils entendirent des pleurs qui provenaient de la loge du concierge.
-« Doucement, j’y vais en premier. » Rashimov s’avança, et ouvra la porte qui laissa entrevoir un enfant qui était recroquevillé sur lui-même et qui pleurait.
-« Hé, ca va mon enfant ? » lui lança Rashimov.
-« N’y allez pas Rashimov, c’est louche ! » Mais déjà le garde du corps s’était approché de l’enfant et il le touchait avec sa main.
Un cri. L’enfant recula, tout effrayé, et laissa entrevoir son visage d’ange tout sali par les larmes.
-« C’est bon, il n’est pas infecté, c’est juste un gamin apeuré ; aller, viens là fiston, on n’est pas infecté, aller approche » L’encouragea notre expert en armes. Le garçon hésita, puis s’avança doucement pour finalement aller se loger dans les bras de Rashimov.
-« Oui, tout va bien maintenant, ne t’inquiète pas, ca va bien se passer »
-Il faut l’avouer, Rashimov n’avait jamais fait de pédagogie de part le passé, et donc n’était pas très a l’aise avec les enfants. Ils sortirent ensembles du bâtiment, et se logèrent dans la voiture.
-« Eh merde, elle ne démarre pas ! » pesta Rashimov.
-« Elle doit être gelée, *voiture japonaise* encore… » Informa Yuri.
-« Ah, on va devoir y aller à pied, même si ça gèle là dehors. Comment est-ce que tu t’appelles petit ? »Demanda Rashimov.
-« Euh, mon nom à moi, c’est Nikolaï. » lui répondit le petit soviétique.
-« Hum, d’accord, moi c’est Rashimov mais tu peux m’appeler Rashy, et lui c’est Yuri. Prends une des fourrures qui sont à l’arrière de la voiture Nikolaï et enfile-la. » Ordonna Rashy.
Le petit s’exécuta, enfila la fourrure et ils se préparèrent a sortir sous l’hiver menaçant d’URSS…
En chemin, ils croisèrent un type complètement gelé, dont les viscères, dures comme de la pierre, étaient tranquillement exposées à la neige.
Yuri pensa : « Hum, dans ce monde, il y a les forts et les faibles c’est tout. Moi je suis fort, donc je ne pense pas mourir comme lui… » -Yuri était doté d’un esprit assez carré, c.à.d qu’il voyait les choses de façon très simple : les forts/faibles, le bien/mal, la gauche/droite, la vie/mort, les beaux/moches…-
Ils continuèrent leur chemin dans le froid qui glaçait jusqu’aux os, mais ne se laissaient pas décourager lorsqu’ils voyaient des fétides qui mangeaient des gens sur le bord de la route, trop occupés à se batailler pour savoir qui obtiendrait le pied gauche, etc. Soudain, Nikolaï tomba dans la neige et déjà plusieurs fétides s’avançaient vers lui, en quête de nourriture fraîche et chaude. Les balles fusèrent, Rashimov ayant dégainé son PPSH et Yuri son pistolet TT33. Les balles avaient réchauffées les corps de ces marcheurs, mais déjà ils se relevaient.
-« Tirons leurs dans la tête Yuri, nous verront l’effet ! » Rashimov avait raison, leur tête éclatait et les zombies tombaient pour ne jamais se relever.
Yuri releva Nikolaï et lui dit :
-« Aller fiston, c’est le froid ou la mort ! »
Ils se remirent en marche à travers la neige pesant qui les ralentissaient peu à peu. En chemin, quelques hordes de marcheurs vinrent les déranger, mais rien de trop dangereux pour le moment. Soudain, une maison explosa devant leurs yeux, et de multiples fétides sortirent de partout, étant enflammés, et se mirent à courir dans tous les sens, pour s’immobiliser sur la neige dont l’épaisseur sur le sol grandissait de plus en plus. Nikolaï, qui avait eu peur, se réfugia dans les bras de Rashy, et celui-ci le rassura, tandis que Yuri marmonnait des paroles de compassion : « Repose en paix mec… » Car ils pensaient –et c’était sûrement la seule explication plausible- qu’un survivant, encerclé par des zombies, avait préféré se faire sauter que de se faire bouffer…
Ils arrivèrent peu après devant un panneau qui indiquait trois directions :
-Poste de police vers le nord.
-Centre commercial au sud.
-Ville de Moscou à l’ouest.
Voilà les trois choix pour l’épisode suivant :-Ils décident d’aller au poste de police, il y a peu être des survivants et des armes, ainsi que des véhicules.
-Ils décident d’aller au centre commercial, il y aura de la nourriture et d’autres choses utiles.
-Ils vont vers Moscou, et se débrouilleront en chemin pour le logis et la nourriture.
Chapitre 2 : Le Froid ou la Mort
Yuri récupéra quelques objets pouvant êtres utiles à leur survie tels des cachets (aspirine mais je ne sais pas si ça existait à cette époque mais il devait y avoir un équivalent, etc..) des manteaux en cuir et fourrure épais pouvant éviter les griffures et autres quelques couteaux de cuisine. Lorsque nos deux compères sortent de l’appartement -Yuri n’est franchement pas mécontent de le quitter-, ils découvrent trois silhouettes qui avancent lentement dans les escaliers en bois, à moitié détruit (Cet immeuble est vraiment pourri …). Ils les repèrent. Sans hésitation, Rashimov les vise et les élimine avec son magnum.
-« Je n’ai plus beaucoup de munitions, nous devrions aller en chercher chez moi, ce n’est pas très loin. Qu’en dites-vous, patron ? » Suggéra Rashimov.
-« Je n’y vois aucun inconvénient tant qu’on reste loin de, ces, euh, choses. » lui répondit Yuri.
Ils descendirent donc les marches, mais s’arrêtèrent lorsqu’ils entendirent un bruit atypique et effrayant. Le voisin, Elgar Dchagistky, qui pesait pas moins de 140 kilos et qui ne sortait jamais de chez lui, se tenait en haut de l’escalier. Les deux survivants était intrigués et se demandaient la même chose dans leur tête : « Est-il devenu comme eux ? »
Leur réponse arriva très vite lorsque Elgar lâcha une gerbe de vomi qui descendit jusqu’à eux. Rashimov l’esquiva aisément, mais Yuri s’en prit plein la gueule. Une substance visqueuse et fort odorante s’était déposée sur lui à présent, et, comme par enchantement, des dizaines de morts-vivants sortirent d’on ne sait où et se mirent à marcher d’un pas vif en direction de ces malheureux individus.
Ces derniers se hâtèrent de retrouver la voiture –Yuri est guidé par Rashimov car il ne voit plus très bien avec cette substance- et, une fois arrivés devant se dépêchèrent d’y entrer et de la démarrer. La voiture cala au bout de la rue, et déjà les créatures avançaient vers eux dans l’espoir d’en attraper un bout. Un zombie frappa de sa main putréfiée le pare-brise, ce qui le fissura légèrement –les voitures de cette époque ne sont pas très résistantes rappelons-le-, mais les deux camardes réussirent à redémarrer la voiture quasi-glacée par le froid. Sur la route, rien de trop dangereux, quelques marcheurs, mais bien trop lents pour rattraper une voiture. Le seul geste qu’ils faisaient était tendre les bras vers la voiture, comme s’ils espéraient l’attraper, mais le seul résultat obtenu fut une perte de bras ou autre membre.
La voiture s’arrêta devant l’immeuble –bien plus crasseux que celui de Yuri- de Rashimov. « Je vis avec un colocataire, espérons qu’il n’est pas comme ces choses » informa le garde du corps. « Je l’espère moi aussi, vous ne pouvez pas savoir… »Lui rétorqua Yuri. Ils entrèrent doucement dans le bâtiment qui avait une odeur de peinture pourrie et des mouches se bataillaient pour aller grignoter un cadavre encore chaud. « R.I.P. Igor, tu me manqueras » marmonna Rashimov –Igor était le concierge de cet immeuble, si on peut appeler a un immeuble- Les deux compagnons s’empressèrent de monter les étages un à un et Rashimov se stoppa devant une porte abîmée et qui sentait le vieux bois des grands-mères. Yuri en conclut qu’il s’agissait de la demeure de son compagnon d’infortune, et ces derniers y entrèrent le plus discrètement possible.
-« Alexandreï, Alexandreï, t’es là, réponds moi Alexandreï, t’es où ? »
Rashimov se demandait bien si son colocataire était dans l’appartement ou s’il était sortit.
Il eut la réponse très vite, lorsqu’un fou furieux s’élança sur Rashimov depuis la chambre. Il le percuta et ils roulèrent tous deux sur le tapis central qui représentait Chtaline avec les inscriptions suivantes : « Le Petit Père vous veut du bien ! » Le fétide essayait de mordre son ancien compagnon qui le repoussait mais n’arrivait pas à se débarrasser de lui.
Soudain, un CRAC se fit entendre, et le zombie roula sur le côté du tapis. Yuri se tenait là, et avait dans la main un Mosin Nagant qu’il avait trouvé sous le lit de Rashimov. Il avait frappé le fétide avec la crosse, ce qui avait eut pour effet de lui éclater le derrière du crâne. « Merci patron, je vous en dois une, j’ai bien crus qu’il aller me becqueter… » Le remercia le garde du corps. « Tu n’as pas besoin de m’appeler monsieur, tu peux me tutoyer tu sais, il n’y a plus d’ordre social ici. »lui lança Yuri, content d’avoir bien visé. Rashimov se releva avec hâte, puis s’élança vers sa chambre pour y récupérer ce dont ils étaient venus pour. Il souleva son lit et une boîte qui contenait quelques armes était disposée là. Le garde du corps en sortit une PPSH, deux TT33, quelques grenades et un paquet de dynamite. Il fit signe à Yuri de prendre un des TT33 et de garder son Mosin Nagant, puis lui donna quelques munitions. Il lui glissa quelques grenades dans une poche de sa veste en fourrure, et fit le garde à vous devant le portrait de Chtaline, en guise d’adieu.
Ils sortirent de l’appartement, et à peine descendus, ils entendirent des pleurs qui provenaient de la loge du concierge.
-« Doucement, j’y vais en premier. » Rashimov s’avança, et ouvra la porte qui laissa entrevoir un enfant qui était recroquevillé sur lui-même et qui pleurait.
-« Hé, ca va mon enfant ? » lui lança Rashimov.
-« N’y allez pas Rashimov, c’est louche ! » Mais déjà le garde du corps s’était approché de l’enfant et il le touchait avec sa main.
Un cri. L’enfant recula, tout effrayé, et laissa entrevoir son visage d’ange tout sali par les larmes.
-« C’est bon, il n’est pas infecté, c’est juste un gamin apeuré ; aller, viens là fiston, on n’est pas infecté, aller approche » L’encouragea notre expert en armes. Le garçon hésita, puis s’avança doucement pour finalement aller se loger dans les bras de Rashimov.
-« Oui, tout va bien maintenant, ne t’inquiète pas, ca va bien se passer »
-Il faut l’avouer, Rashimov n’avait jamais fait de pédagogie de part le passé, et donc n’était pas très a l’aise avec les enfants. Ils sortirent ensembles du bâtiment, et se logèrent dans la voiture.
-« Eh merde, elle ne démarre pas ! » pesta Rashimov.
-« Elle doit être gelée, *voiture japonaise* encore… » Informa Yuri.
-« Ah, on va devoir y aller à pied, même si ça gèle là dehors. Comment est-ce que tu t’appelles petit ? »Demanda Rashimov.
-« Euh, mon nom à moi, c’est Nikolaï. » lui répondit le petit soviétique.
-« Hum, d’accord, moi c’est Rashimov mais tu peux m’appeler Rashy, et lui c’est Yuri. Prends une des fourrures qui sont à l’arrière de la voiture Nikolaï et enfile-la. » Ordonna Rashy.
Le petit s’exécuta, enfila la fourrure et ils se préparèrent a sortir sous l’hiver menaçant d’URSS…
En chemin, ils croisèrent un type complètement gelé, dont les viscères, dures comme de la pierre, étaient tranquillement exposées à la neige.
Yuri pensa : « Hum, dans ce monde, il y a les forts et les faibles c’est tout. Moi je suis fort, donc je ne pense pas mourir comme lui… » -Yuri était doté d’un esprit assez carré, c.à.d qu’il voyait les choses de façon très simple : les forts/faibles, le bien/mal, la gauche/droite, la vie/mort, les beaux/moches…-
Ils continuèrent leur chemin dans le froid qui glaçait jusqu’aux os, mais ne se laissaient pas décourager lorsqu’ils voyaient des fétides qui mangeaient des gens sur le bord de la route, trop occupés à se batailler pour savoir qui obtiendrait le pied gauche, etc. Soudain, Nikolaï tomba dans la neige et déjà plusieurs fétides s’avançaient vers lui, en quête de nourriture fraîche et chaude. Les balles fusèrent, Rashimov ayant dégainé son PPSH et Yuri son pistolet TT33. Les balles avaient réchauffées les corps de ces marcheurs, mais déjà ils se relevaient.
-« Tirons leurs dans la tête Yuri, nous verront l’effet ! » Rashimov avait raison, leur tête éclatait et les zombies tombaient pour ne jamais se relever.
Yuri releva Nikolaï et lui dit :
-« Aller fiston, c’est le froid ou la mort ! »
Ils se remirent en marche à travers la neige pesant qui les ralentissaient peu à peu. En chemin, quelques hordes de marcheurs vinrent les déranger, mais rien de trop dangereux pour le moment. Soudain, une maison explosa devant leurs yeux, et de multiples fétides sortirent de partout, étant enflammés, et se mirent à courir dans tous les sens, pour s’immobiliser sur la neige dont l’épaisseur sur le sol grandissait de plus en plus. Nikolaï, qui avait eu peur, se réfugia dans les bras de Rashy, et celui-ci le rassura, tandis que Yuri marmonnait des paroles de compassion : « Repose en paix mec… » Car ils pensaient –et c’était sûrement la seule explication plausible- qu’un survivant, encerclé par des zombies, avait préféré se faire sauter que de se faire bouffer…
Ils arrivèrent peu après devant un panneau qui indiquait trois directions :
-Poste de police vers le nord.
-Centre commercial au sud.
-Ville de Moscou à l’ouest.
Voilà les trois choix pour l’épisode suivant :-Ils décident d’aller au poste de police, il y a peu être des survivants et des armes, ainsi que des véhicules.
-Ils décident d’aller au centre commercial, il y aura de la nourriture et d’autres choses utiles.
-Ils vont vers Moscou, et se débrouilleront en chemin pour le logis et la nourriture.
05/12/10 à 11:43:02
Oui^^
05/12/10 à 11:40:57
BOOOOMEEER!!!
Ça vient de là la bave qui attire les zombies, non?
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