Ma descente aux Enfers
Par : GreenStatik
Genre : Science-Fiction , Horreur
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 3
Publié le 22/06/10 à 16:01:31 par GreenStatik
Le premier truc que j'agrippai dans ma main était un vulgaire tournevis. Je ne trouvais rien d'autre, à part des punaises, et une agrafeuse. Mais comme on dit, ça peut toujours servir. Soudain, quelque chose changea. Je les entendais parler. Je ne comprenais rien du tout, mais j'écoutais, quand même. Un des monstres s'éloignait. Mais l'autre restait toujours devant la porte. Je me disais à ce moment-là que ma chance était donc doublée. Je me cachai dans un coin, pour voir la porte, si jamais quelqu'un essayait de rentrer. Soudain, la porte vola en éclat. Le monstre entra dans la pièce. Mon corps avait réagi tout seul. Je me saisis de mon tournevis, et je sautai sur le monstre. J'agrippai son épaule gauche, avec ma main gauche, et planta par des coups rapides, précis, et forts, la partie droite de son torse, en premier. En tous, 11 coups. Le monstre tituba, tomba sur le côté et essaya de se relever, comme il le put. Je ne lui laissai pas cette opportunité, et je lui plantai mon tournevis dans la gorge. Je le retirai après l'avoir bien enfoncé, et un flot de sang en sortit, telle une fontaine. J'étais alors assis sur le torse de la bête. Elle devait bien faire 2 mètres 20, sa peau était toute verte, et l'on pouvait apercevoir des verrues partout sur son corps. Sa tête était vraiment horrible à voir. Deux rangées de dents étaient visibles dans sa bouche, qui ,d'ailleurs elles étaient assez énorme et difforme. Du sang dégoulinait de sa bouche. Je pensai de suite à du sang des personnes déchiqueter dans le couloir. Cette fois, c?en fut trop, la nausée était trop grande. Je m'accroupis dans un coin de la pièce, et je vomis.
5 longues minutes plus tard, après avoir réussi à contrôler mes boyaux, je fouillai le cadavre de la créature, espérant trouver ce que je cherchais. Je n'eus pas besoin de chercher longtemps, l'arme était accrochée à sa ceinture. Je la regardai, avec un air plutôt inquiet, ne sachant quoi faire avec. Enfin, moi, je ne savais pas quoi faire. Je ne sentais aucun changement particulier, mais après ce que je venais de faire... Non, j'avais vraiment tué cette créature. Et je ne pouvais pas dire que c'était un coup de chance, car les coups de chance ne peuvent pas fonctionner avec ces monstres. J'examinai l'arme avec plus de précision. Elle ressemblait presque à un pistolet normal, comme on l'en utilise chez nous, système laser, gâchette pour tirer. Le seul problème est qu'il n'y a pas de chargeur. Sur le coup, je regardai l'arme dans tous les sens, et je vis une espèce de tube, à l'arrière, à moitié rempli. Je ne saisis pas le comment sur le coup, et j'essayai de comprendre à quoi servait ce « tube ».
Brusquement, j'entendis des bruits de pas se rapprocher vers ma position. J'essayai de me cacher tant bien que mal dans un endroit, pour ne par être vu par le trou crée par l'ennemi, où était précédemment la porte. Les pas se rapprochèrent, et soudain, un même monstre que celui que j'avais abattu froidement se présenta à l'entrée de la pièce. Mon sang ne fit qu'un tour. Je visai le torse du monstre, et appuyai sur la gâchette. Je fus projeté sur le mur qui se trouvait derrière moi, à cause de la puissance de l'arme. L'alien fut projeté à plus de 5 mètres, dans le couloir, laissant devant lui une grande traînée de sang. Je lâchai le pistolet, le laissant par terre. J'aperçus donc sur le coup le « tube », qui était vide. La substance contenue dedans servait donc à créer le laser sortant du pistolet. Je m'en saisis une nouvelle fois.
« — Comment je fais pour remplir ce truc ? Rah, c'est pas vrai, je vais jamais m'en sortir ! m'écriais-je, tout en secouant l'arme. »
Le tube se remplissait au fur et à mesure que je le secoué. J'étais alors très étonné du système de rechargement de l'arme. De nos jours, on utilisait des cartouches à plasmas, ainsi que des cartouches lasers. Mais ces armes n'étaient fournies qu'à l'armée. Elles étaient jugées trop dangereuses pour être laissées entre les mains de citoyens comme moi. Aussi, après cette découverte, je découvris un des désavantages de l'arme : deux tirs, et secoué pour recharger. Enfin, pour moi, c'en était une, mais pour ces aliens, l'affaire n'était pas la même. Ils utilisaient leurs armes qu'en cas d'extrême urgence, et d'après ce que je venais de voir, leurs poings suffisaient amplement. Je décidai de sortir de ma cachette de fortune, après cette longue attente. À peine sorti de la salle du Prototype, je dérapai sur le carrelage, qui était plein de sang. Je me rétamai sur le sol. Je me relevai comme je le pouvais, et remarquai mes vêtements pleins de sang.
« — Putain, c'est horrible... Je suis sale, et je pue. C'est énorme... Faut que je sorte d'ici. »
J'empreignis alors la sortie de secours, situé sur la gauche, dans le couloir où j'étais actuellement. J'ouvris la porte. Et la peur s'empara de moi. Ce que je vis était impossible, même dans le plus horrible des cauchemars. La ville était envahie par ces choses, et des personnes couraient dans tous les sens, à la recherche d'une issue et d'un espoir, pour ne pas se faire tuer. J'hésitai pendant une dizaine de secondes à fermer cette porte, et la rouvrir, pour me faire croire que tout ceci n'était qu'un horrible cauchemar. En bas de l'escalier, je vis une voiture, celle du patron. Je descendis l'escalier à toute vitesse, en me bouchant les oreilles, ne supportant pas les cris qui venaient de toutes part. En arrivant devant la voiture, je cassai la vitre gauche de la voiture, pour pouvoir ouvrir la portière. Je sautai directement dans la voiture, et appuyai sur le bouton de démarrage. Une interface holographique s'alluma, et une I.A me demanda le nom et le prénom du propriétaire du véhicule.
« — Julien Carneau, répondis-je rapidement, en essayant de ne pas parler trop fort, pour ne pas m'attirer d'ennuis.
— Mot de passe du véhicule, exigea l'I.A. »
Merde ! Je m'en étais doutais, je savais que la voiture du patron était vraiment sécurisée, mais à ce point. Je cherchai alors une chose que le patron pouvait aimer par-dessus tout. Je pensai directement au nom de l'entreprise.
« — D.N.ATek.
— Mot de passe erroné, encore deux essais. »
Qu'est-ce qui pouvait bien être cher à Monsieur Carneau ? Pas son job en tout cas... Sa ville ? Non, il m'avait dit qu'il allait déménagé dans 6 mois. Euh... Sa voiture ?
« — Voiture.
— Mot de passe erroné, encore un essai avant l'autodestruction de la voiture. »
Hein ? Une autodestruction ? Ce n?est pas possible. Il n'aurait quand même pas mis une protection aussi dégueulasse sur sa voiture, au risque de la faire péter ? Mon cerveau tournait alors à pleine vitesse. Je remarquai un alien s'approchant de la voiture. Il m'avait remarqué. Je devais me dépêcher sinon j'étais foutu. Un animal de compagnie ? Non, il était allergique aux animaux en tout genre. Non, cela devrait être sûrement un truc que personne extérieur à ses amis, ou son entourage, ne devait connaître. Sa femme ?
« — Marie ? Femme de Monsieur Carneau. »
Le moteur de la voiture de mit à tourner. Ouf, je l'avais trouvé. Je pris donc le volant entre mes mains, et appuyai sur la pédale d'accélération. Je percutai l'extra-terrestre de plein fouet, le faisant passer par la suite sous la voiture. Je pris de l'altitude, et allai devant la façade du bâtiment.
Celle-ci était complètement détruite. Un missile, ou autre chose l'avait certainement percutée. Le parking aussi était détruit. Ma voiture n'était plus là, j'avais bien fait de prendre la première voiture me passant sous la main. Une chance que celle-ci appartienne à Monsieur Carneau. Aussi, me demandai-je où celui-ci pouvait bien être. Je vis alors quelqu'un bougeait dans les couloirs. C'était lui ! J'ouvris la portière de la voiture, et criai à plein poumon.
« — Monsieur Carneau ! Monsieur, montez ! criai-je, en me rapprochant du trou de la façade. »
Il n'eut pas cette chance. En regardant la voiture, il fut planté par une espèce de pic, directement dans le mur. Je fis donc demi-tour, directement, et partis. Au loin, je vis une de ces créatures, qui s'approchait de lui, et lui arracha la tête. Des frissons me parcoururent tout le corps. Cette mort était vraiment atroce. Arracher une tête à une personne vivante. J'abattis ma tête sur le volant.
« — Pourquoi ? Pourquoi ?! criai-je. On a rien fait, et on reçoit cette merde. Fait chier, fait chier ! »
Le klaxon de la voiture se fit entendre aux alentours. Mais personne ne vint. L'I.A réapparut.
« — Vous n'êtes pas Monsieur Carneau ?
— Nan, il est mort... Chier !
— Identifiez-vous, s'il vous plait.
— J'ai pas que ça à foutre, si tu vois ce que je veux dire.
— Votre main, s'il vous plait. »
Je passais alors ma main devant l'hologramme de l'I.A. celle-ci fit un drôle de bruit, et déclara mon nom à haute voix, ainsi que mon prénom. Des lignes de codes s'écrivirent alors sur l'écran, et l'I.A me demande un nouveau mot de passe. J'avais tout compris, je m'exécutai.
« — Raining Blood.
— Quelle est la signification ? Je n'ai pas la fonction anglophone.
— Le sang va pleuvoir, ça va chier. Enclenche le pilote automatique, s'il te plait, et dirige-moi vers l'adresse que je vais te donner...
— Oui Monsieur ? Destination ?
— Chez le boulot de ma femme, 184 Quai des Orfèvres.
— Bien Monsieur, tout de suite. »
5 longues minutes plus tard, après avoir réussi à contrôler mes boyaux, je fouillai le cadavre de la créature, espérant trouver ce que je cherchais. Je n'eus pas besoin de chercher longtemps, l'arme était accrochée à sa ceinture. Je la regardai, avec un air plutôt inquiet, ne sachant quoi faire avec. Enfin, moi, je ne savais pas quoi faire. Je ne sentais aucun changement particulier, mais après ce que je venais de faire... Non, j'avais vraiment tué cette créature. Et je ne pouvais pas dire que c'était un coup de chance, car les coups de chance ne peuvent pas fonctionner avec ces monstres. J'examinai l'arme avec plus de précision. Elle ressemblait presque à un pistolet normal, comme on l'en utilise chez nous, système laser, gâchette pour tirer. Le seul problème est qu'il n'y a pas de chargeur. Sur le coup, je regardai l'arme dans tous les sens, et je vis une espèce de tube, à l'arrière, à moitié rempli. Je ne saisis pas le comment sur le coup, et j'essayai de comprendre à quoi servait ce « tube ».
Brusquement, j'entendis des bruits de pas se rapprocher vers ma position. J'essayai de me cacher tant bien que mal dans un endroit, pour ne par être vu par le trou crée par l'ennemi, où était précédemment la porte. Les pas se rapprochèrent, et soudain, un même monstre que celui que j'avais abattu froidement se présenta à l'entrée de la pièce. Mon sang ne fit qu'un tour. Je visai le torse du monstre, et appuyai sur la gâchette. Je fus projeté sur le mur qui se trouvait derrière moi, à cause de la puissance de l'arme. L'alien fut projeté à plus de 5 mètres, dans le couloir, laissant devant lui une grande traînée de sang. Je lâchai le pistolet, le laissant par terre. J'aperçus donc sur le coup le « tube », qui était vide. La substance contenue dedans servait donc à créer le laser sortant du pistolet. Je m'en saisis une nouvelle fois.
« — Comment je fais pour remplir ce truc ? Rah, c'est pas vrai, je vais jamais m'en sortir ! m'écriais-je, tout en secouant l'arme. »
Le tube se remplissait au fur et à mesure que je le secoué. J'étais alors très étonné du système de rechargement de l'arme. De nos jours, on utilisait des cartouches à plasmas, ainsi que des cartouches lasers. Mais ces armes n'étaient fournies qu'à l'armée. Elles étaient jugées trop dangereuses pour être laissées entre les mains de citoyens comme moi. Aussi, après cette découverte, je découvris un des désavantages de l'arme : deux tirs, et secoué pour recharger. Enfin, pour moi, c'en était une, mais pour ces aliens, l'affaire n'était pas la même. Ils utilisaient leurs armes qu'en cas d'extrême urgence, et d'après ce que je venais de voir, leurs poings suffisaient amplement. Je décidai de sortir de ma cachette de fortune, après cette longue attente. À peine sorti de la salle du Prototype, je dérapai sur le carrelage, qui était plein de sang. Je me rétamai sur le sol. Je me relevai comme je le pouvais, et remarquai mes vêtements pleins de sang.
« — Putain, c'est horrible... Je suis sale, et je pue. C'est énorme... Faut que je sorte d'ici. »
J'empreignis alors la sortie de secours, situé sur la gauche, dans le couloir où j'étais actuellement. J'ouvris la porte. Et la peur s'empara de moi. Ce que je vis était impossible, même dans le plus horrible des cauchemars. La ville était envahie par ces choses, et des personnes couraient dans tous les sens, à la recherche d'une issue et d'un espoir, pour ne pas se faire tuer. J'hésitai pendant une dizaine de secondes à fermer cette porte, et la rouvrir, pour me faire croire que tout ceci n'était qu'un horrible cauchemar. En bas de l'escalier, je vis une voiture, celle du patron. Je descendis l'escalier à toute vitesse, en me bouchant les oreilles, ne supportant pas les cris qui venaient de toutes part. En arrivant devant la voiture, je cassai la vitre gauche de la voiture, pour pouvoir ouvrir la portière. Je sautai directement dans la voiture, et appuyai sur le bouton de démarrage. Une interface holographique s'alluma, et une I.A me demanda le nom et le prénom du propriétaire du véhicule.
« — Julien Carneau, répondis-je rapidement, en essayant de ne pas parler trop fort, pour ne pas m'attirer d'ennuis.
— Mot de passe du véhicule, exigea l'I.A. »
Merde ! Je m'en étais doutais, je savais que la voiture du patron était vraiment sécurisée, mais à ce point. Je cherchai alors une chose que le patron pouvait aimer par-dessus tout. Je pensai directement au nom de l'entreprise.
« — D.N.ATek.
— Mot de passe erroné, encore deux essais. »
Qu'est-ce qui pouvait bien être cher à Monsieur Carneau ? Pas son job en tout cas... Sa ville ? Non, il m'avait dit qu'il allait déménagé dans 6 mois. Euh... Sa voiture ?
« — Voiture.
— Mot de passe erroné, encore un essai avant l'autodestruction de la voiture. »
Hein ? Une autodestruction ? Ce n?est pas possible. Il n'aurait quand même pas mis une protection aussi dégueulasse sur sa voiture, au risque de la faire péter ? Mon cerveau tournait alors à pleine vitesse. Je remarquai un alien s'approchant de la voiture. Il m'avait remarqué. Je devais me dépêcher sinon j'étais foutu. Un animal de compagnie ? Non, il était allergique aux animaux en tout genre. Non, cela devrait être sûrement un truc que personne extérieur à ses amis, ou son entourage, ne devait connaître. Sa femme ?
« — Marie ? Femme de Monsieur Carneau. »
Le moteur de la voiture de mit à tourner. Ouf, je l'avais trouvé. Je pris donc le volant entre mes mains, et appuyai sur la pédale d'accélération. Je percutai l'extra-terrestre de plein fouet, le faisant passer par la suite sous la voiture. Je pris de l'altitude, et allai devant la façade du bâtiment.
Celle-ci était complètement détruite. Un missile, ou autre chose l'avait certainement percutée. Le parking aussi était détruit. Ma voiture n'était plus là, j'avais bien fait de prendre la première voiture me passant sous la main. Une chance que celle-ci appartienne à Monsieur Carneau. Aussi, me demandai-je où celui-ci pouvait bien être. Je vis alors quelqu'un bougeait dans les couloirs. C'était lui ! J'ouvris la portière de la voiture, et criai à plein poumon.
« — Monsieur Carneau ! Monsieur, montez ! criai-je, en me rapprochant du trou de la façade. »
Il n'eut pas cette chance. En regardant la voiture, il fut planté par une espèce de pic, directement dans le mur. Je fis donc demi-tour, directement, et partis. Au loin, je vis une de ces créatures, qui s'approchait de lui, et lui arracha la tête. Des frissons me parcoururent tout le corps. Cette mort était vraiment atroce. Arracher une tête à une personne vivante. J'abattis ma tête sur le volant.
« — Pourquoi ? Pourquoi ?! criai-je. On a rien fait, et on reçoit cette merde. Fait chier, fait chier ! »
Le klaxon de la voiture se fit entendre aux alentours. Mais personne ne vint. L'I.A réapparut.
« — Vous n'êtes pas Monsieur Carneau ?
— Nan, il est mort... Chier !
— Identifiez-vous, s'il vous plait.
— J'ai pas que ça à foutre, si tu vois ce que je veux dire.
— Votre main, s'il vous plait. »
Je passais alors ma main devant l'hologramme de l'I.A. celle-ci fit un drôle de bruit, et déclara mon nom à haute voix, ainsi que mon prénom. Des lignes de codes s'écrivirent alors sur l'écran, et l'I.A me demande un nouveau mot de passe. J'avais tout compris, je m'exécutai.
« — Raining Blood.
— Quelle est la signification ? Je n'ai pas la fonction anglophone.
— Le sang va pleuvoir, ça va chier. Enclenche le pilote automatique, s'il te plait, et dirige-moi vers l'adresse que je vais te donner...
— Oui Monsieur ? Destination ?
— Chez le boulot de ma femme, 184 Quai des Orfèvres.
— Bien Monsieur, tout de suite. »
25/06/10 à 17:09:18
Suite et vite
25/06/10 à 10:22:46
Et on attend encore la suite !
Vous devez être connecté pour poster un commentaire