Aujourd'hui mon fils sort de l'hôpital, ma fille doit en revanche rester à l'hôpital car elle a subit une trop lourde opération pour pouvoir sortir. J'arrive à l'hôpital, hyper impatient de pouvoir remmener mon fils à la maison. Je ne serais plus seul à présent. Arrivé à l'hôpital, je vais voir mon fils. Ils l'ont fait changé de chambre puisque son état s'est amélioré. En arrivant dans sa chambre mon fils était en train de ranger ses affaires dans son sac, je décidai donc d'aller voir ma fille. Toujours équipé des vêtements stériles, puisque le moindre microbes n'est pas le bienvenue dans cette pièce, je rentre dans la chambre, les médecins ont enfin décidé de la sortir du cube. Je lui parle. Elle va mieux, mais elle reste très faible. Je lui donne des nouvelles de la famille, lui annonce que son frère rentrait à la maison, je lui demandais si elle avait besoin de quelque chose, elle ne voulais rien, juste que je prenne soin de son frère:
«-Tu peux compter sur moi, lui répondis-je.»

Je la quitte, lui adressant un baiser à travers la vitre. Je rejoint mon fils, il est près. Nous passons dans le bureau du chirurgien, il nous prescrit des médicaments et des pansement spéciaux, il me signale qu'il faut les changer chaque jours à la même heure si possible, interdiction de se baigner à la mer. Il nous laisse partir de l'hôpital en souhaitant à mon fils un bon rétablissement.

J'emmène mon fils manger au fast-food pour lui faire plaisir, de toutes façons j'avais rien fait à manger. Je lui donne les résultats de la ligue 1, je sais qu'il s'y intéresse beaucoup. Je le comprend pas trop d'ailleurs, vu la qualité des matchs. Il me demande des nouvelles de la famille, de sa sœur, je lui donne. Nous finissons de manger, nous remontons dans la voiture. J'avais promis à sa mère que je l'emmènerais la voir. Arrivé chez elle, je décide de rester dans la voiture, j'ai pas envie de voir la gueule de son marie. J'allume la radio, et je mets les infos. Ils annoncent de la pluie pour demain, un attentat a eu lieu à Bagdad encore une fois, la grippe continu à faire des morts surtout dans le sud de la France. Ah! Mon fils revient! Nous repartons chez nous. La radio donne les résultats des courses de chevaux, je n'y fais même pas attention. Mais mon Fils remarque quelque chose:

«-Tiens il y a mon jour de naissance qui est sorti dans le tiercé.»