La Peau
Par : julichou
Genre : Sentimental
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 6
Publié le 11/08/09 à 23:20:00 par julichou
J'ai réussi à dormir jusqu'à deux heures de l'après-midi, j'ai été réveillé par la sonnette de la maison. Je vais ouvrir, je vois mes voisins devant la porte de ma maison:
«-Bonjour Mr........., nous avons appris que votre fille et votre fils étaient à l'hôpital, rien de grave j'espère?
-En même temps ils sont à l'hôpital en ce moment, s'est qu'il y a quelque chose de grave, et j'ai pas trop envie d'en parler.»
Je ferme la porte et j'appelle mes parents pour leurs donner des nouvelles, eux ils méritent de le savoir. Je leurs expliquent tout, ils proposent leurs aides, ils pleurent, ils raccrochent. A vrai dire j'en ai rien à faire qu'on s'apitoie sur mon sort, que se soit mes parents, mes voisins, mes collègues ou mes potes, j'en ai rien à foutre.
D'ailleurs en parlant de collègues, demain je reprends le boulot j'avais pris quelques jours de congés vu les circonstances. Demain sa seras l'enfer, ils vont tous venir me voir un par un dans mon bureau pour s'excuser. Sa leur donnera bonne conscience, mais moi sa me rappelleras juste le malheur dans lequel je vis en ce moment.
Le lendemain matin, je me réveille à 7h30 comme à chaque fois que je vais au boulot, je mets ma tenu chemise/cravate/veste, tenu approprié au travail de commercial. Et oui! Je suis commercial, et s'est pas la meilleur chose que j'ai voulu faire.
J'arrive au boulot, je me sent dévisagé par touts mes collègues, je m'assieds à mon bureau je règle la paperasse, lit les lettres, et pose café, le seul truc de bien dans ce job. Je me mets à une table et je tourne la touillette dans mon café, deux collègues viennent me voir et se s'installent à côté de moi. Je leurs demande gentillement de bien vouloir s'en aller. Ils s'exécutent, en ayant vus que je n'étais pas d'humeur à parler avec eux. Je fais des affaires, appelle des clients, vends des «trucs».
A l'heure du déjeuner, je m'installe seul à une table, bien évidemment des personnes me rejoignent, mais je ne reste pas avec eux et je part aussitôt qu'ils s'asseyent. Pendant le repas, je change à peu près 5 ou 6 fois de table. Une fois avoir visité tout le réfectoire et finit les lasagnes aussi sèche que le désert, je retourne à mon bureau, continuant mon travail à mon rythme.
Oh merde! Voilà le patron, il se dirige vers moi. Rooh la poisse:
«-Votre bilan du mois est tout a fait déplorable Mr........ Avez-vous une explication?! Crie-t-il en aboyant comme un chien.
-Je sais p...
-Et bien il va falloir avoir une excuse en béton pour me convaincre.
-Allez-vous faire foutre!
-Pardonnez-moi?! Vous tenez pas à votre job Mr?!
-Si, mais avec se que je vais faire, vous allez surement me virer.»
Je prend le clavier de l'ordinateur et je lui fout dans sa grosse tête gouflu de petit patron de mes deux. Les touches ont volé dans les aires. Certaines sont pleines de sang. Je prends mes affaires et me conduit vers la sortit. Arrivé à ma voiture je pose mes affaires et je fond en larmes. L'accumulation de stress, de fatigue et l'énervement m'ont littéralement détruit. Je suis livide. Je rentre chez moi. Ce trajet dure des heures. J'habite pourtant à quelque rues d'ici, mais le temps s'est arrêté. Arrivé à la maison je m'écroule sur mon canapé et je tombe dans les bras de Morphée.
«-Bonjour Mr........., nous avons appris que votre fille et votre fils étaient à l'hôpital, rien de grave j'espère?
-En même temps ils sont à l'hôpital en ce moment, s'est qu'il y a quelque chose de grave, et j'ai pas trop envie d'en parler.»
Je ferme la porte et j'appelle mes parents pour leurs donner des nouvelles, eux ils méritent de le savoir. Je leurs expliquent tout, ils proposent leurs aides, ils pleurent, ils raccrochent. A vrai dire j'en ai rien à faire qu'on s'apitoie sur mon sort, que se soit mes parents, mes voisins, mes collègues ou mes potes, j'en ai rien à foutre.
D'ailleurs en parlant de collègues, demain je reprends le boulot j'avais pris quelques jours de congés vu les circonstances. Demain sa seras l'enfer, ils vont tous venir me voir un par un dans mon bureau pour s'excuser. Sa leur donnera bonne conscience, mais moi sa me rappelleras juste le malheur dans lequel je vis en ce moment.
Le lendemain matin, je me réveille à 7h30 comme à chaque fois que je vais au boulot, je mets ma tenu chemise/cravate/veste, tenu approprié au travail de commercial. Et oui! Je suis commercial, et s'est pas la meilleur chose que j'ai voulu faire.
J'arrive au boulot, je me sent dévisagé par touts mes collègues, je m'assieds à mon bureau je règle la paperasse, lit les lettres, et pose café, le seul truc de bien dans ce job. Je me mets à une table et je tourne la touillette dans mon café, deux collègues viennent me voir et se s'installent à côté de moi. Je leurs demande gentillement de bien vouloir s'en aller. Ils s'exécutent, en ayant vus que je n'étais pas d'humeur à parler avec eux. Je fais des affaires, appelle des clients, vends des «trucs».
A l'heure du déjeuner, je m'installe seul à une table, bien évidemment des personnes me rejoignent, mais je ne reste pas avec eux et je part aussitôt qu'ils s'asseyent. Pendant le repas, je change à peu près 5 ou 6 fois de table. Une fois avoir visité tout le réfectoire et finit les lasagnes aussi sèche que le désert, je retourne à mon bureau, continuant mon travail à mon rythme.
Oh merde! Voilà le patron, il se dirige vers moi. Rooh la poisse:
«-Votre bilan du mois est tout a fait déplorable Mr........ Avez-vous une explication?! Crie-t-il en aboyant comme un chien.
-Je sais p...
-Et bien il va falloir avoir une excuse en béton pour me convaincre.
-Allez-vous faire foutre!
-Pardonnez-moi?! Vous tenez pas à votre job Mr?!
-Si, mais avec se que je vais faire, vous allez surement me virer.»
Je prend le clavier de l'ordinateur et je lui fout dans sa grosse tête gouflu de petit patron de mes deux. Les touches ont volé dans les aires. Certaines sont pleines de sang. Je prends mes affaires et me conduit vers la sortit. Arrivé à ma voiture je pose mes affaires et je fond en larmes. L'accumulation de stress, de fatigue et l'énervement m'ont littéralement détruit. Je suis livide. Je rentre chez moi. Ce trajet dure des heures. J'habite pourtant à quelque rues d'ici, mais le temps s'est arrêté. Arrivé à la maison je m'écroule sur mon canapé et je tombe dans les bras de Morphée.
12/08/09 à 00:57:44
Sweet
12/08/09 à 00:11:44
Vérifie le résultat du tiercé abruti
12/08/09 à 00:00:21
jerry du patron + clavier.
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