Je suis un looser.
Par : Pseudoencartoon
Genre : Action , Fantastique
Status : Terminée
Note :
Chapitre 3
Publié le 07/09/17 à 23:06:39 par Pseudoencartoon
Je n'avais que l'effet de surprise pour échapper aux 2 policiers. Le plus athlétique des 2 s'était déjà lancé à ma poursuite tandis que l'autre gros lard avait pris l'ascenseur. Problème : il a pris l'ascenseur qu'avait déjà pris mon père. Il n'aurait donc pas à l'attendre. Si la mamie du dessous n'avait pas une soudaine envie d'aller faire ses courses, j'allais me faire coincer.
L'adrénaline courait dans mes veines. Rarement dans ma vie j'avais eu aussi peur. Mon cœur tambourinait dans la poitrine et mes poumons se vidaient avant de se remplir de nouveau. Le policier n'était plus qu'à quelques marches.
Je déboulais dans le rez-de-chaussé. Faudrait qu'un jour je remercie la vieille dame du dessous. Mais le tant de penser ça, les portes de l'ascenseur s'ouvrirent. Sans regarder je me jetais vers la porte de l'immeuble et donnait un violent coup de pied dedans pour l'ouvrir. La douleur remonta le long de ma jambe et de mon tibia.
J'avais oublié. Notre immeuble était vieux et ne respectait pas toutes les normes de sécurité.
La porte se tirait
J'avais perdu en un instant les quelques centièmes de secondes d'avances que j'avais sur mes poursuivants.
Le gros tas fut le 1er à me poser sa main sur mon épaule et à m'attraper. Puis le 2ème ne se posa pas de question et se jeta sur moi avant de me plaquer sur la porte en me tenant par le col. L'autre me passa les menottes et ils m'emmenèrent sans plus de cérémonie dans leur véhicule. Ils ne m'énumérèrent même pas mes droits.
Je n'eu qu'une pensée.
L'adrénaline courait dans mes veines. Rarement dans ma vie j'avais eu aussi peur. Mon cœur tambourinait dans la poitrine et mes poumons se vidaient avant de se remplir de nouveau. Le policier n'était plus qu'à quelques marches.
Je déboulais dans le rez-de-chaussé. Faudrait qu'un jour je remercie la vieille dame du dessous. Mais le tant de penser ça, les portes de l'ascenseur s'ouvrirent. Sans regarder je me jetais vers la porte de l'immeuble et donnait un violent coup de pied dedans pour l'ouvrir. La douleur remonta le long de ma jambe et de mon tibia.
J'avais oublié. Notre immeuble était vieux et ne respectait pas toutes les normes de sécurité.
La porte se tirait
J'avais perdu en un instant les quelques centièmes de secondes d'avances que j'avais sur mes poursuivants.
Le gros tas fut le 1er à me poser sa main sur mon épaule et à m'attraper. Puis le 2ème ne se posa pas de question et se jeta sur moi avant de me plaquer sur la porte en me tenant par le col. L'autre me passa les menottes et ils m'emmenèrent sans plus de cérémonie dans leur véhicule. Ils ne m'énumérèrent même pas mes droits.
Je n'eu qu'une pensée.
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