Je suis un looser.
Par : Pseudoencartoon
Genre : Action , Fantastique
Status : Terminée
Note :
Chapitre 1
Début de la merde.
Publié le 07/06/12 à 19:08:18 par Pseudoencartoon
Salut.
J'm'appelle Joshua, j'ai 14 ans, et je suis un looser.
J'ai des notes tout juste au-dessus de la moyenne, pas d'amis, et j'ai jamais eu de copines. Je vais tout les jours au collège Montaigne à Tours, dans le 37.
Donc bref, je suis un looser. Échec scolaire, échec social. Même mes parents préfèrent ma sœur à moi. Mais il m'est arrivé un truc de malade, cependant. Un truc qui a fait de moi en quelque sorte un héros, oui, c'est ça, un héros. Mais toujours un looser.
Tout a commencé un vendredi, en sortant du collège. J'étais en train de rentrer chez moi quand j'ai vu un 6ème en train de se faire racketter par 4 3èmes, dans une petite rue. J'accélérai le pas. Fallait jamais se mêler à ses affaires, ça finissait toujours en cassage de gueule.
Mais ils m'avaient vus. Ai-je aussi oublier de préciser que j'avais une carrure à peine supérieure à celle d'un brin d'herbe ?
Ils croyaient que j'allais les dénoncer. Ils se sont mis à paniquer et ont commencé à discuter de ce qu'ils feraient de moi. Je ne comprenais pas. Ils étaient plutôt nerveux pour un simple racket.
Ils m'ont tiré dans la rue où ils étaient avec le 6ème, à peine quelques secondes plus tôt.
Et c'est là que j'ai compris. En guise de gosse qu'il rackettais il y avait un cadavre, avec un couteau planté dans le ventre. A peine 5 secondes après les avoir vus ils avaient mis à mort le gamin.
C'est là que le "truc" s'est produit. J'avais peur. Mais aussi, et surtout, j'étais furax. Ces cons avaient mis fin à une vie juste pour récupérer un vieil Ipod et des baskets ! (
Ils étaient en train de discuter de mon sort. J'ai chuchoté (allez savoir pourquoi) :
- Crevez, salauds.
Et là ils se sont effondrés. Sous mon nez, comme ça.
Je me suis approché, j'ai collé mon oreille contre leur poitrine, rien.
J'ai entendu un cri étouffé. Ma prof de français se tenait dans le cadre de la ruelle et me voyait moi, au milieu de 4 cadavres. Elle s'est mise à courir. J'ai voulu la rattraper mais je me suis ravisé. Je me suis mis à courir.
Chez moi.
J'm'appelle Joshua, j'ai 14 ans, et je suis un looser.
J'ai des notes tout juste au-dessus de la moyenne, pas d'amis, et j'ai jamais eu de copines. Je vais tout les jours au collège Montaigne à Tours, dans le 37.
Donc bref, je suis un looser. Échec scolaire, échec social. Même mes parents préfèrent ma sœur à moi. Mais il m'est arrivé un truc de malade, cependant. Un truc qui a fait de moi en quelque sorte un héros, oui, c'est ça, un héros. Mais toujours un looser.
Tout a commencé un vendredi, en sortant du collège. J'étais en train de rentrer chez moi quand j'ai vu un 6ème en train de se faire racketter par 4 3èmes, dans une petite rue. J'accélérai le pas. Fallait jamais se mêler à ses affaires, ça finissait toujours en cassage de gueule.
Mais ils m'avaient vus. Ai-je aussi oublier de préciser que j'avais une carrure à peine supérieure à celle d'un brin d'herbe ?
Ils croyaient que j'allais les dénoncer. Ils se sont mis à paniquer et ont commencé à discuter de ce qu'ils feraient de moi. Je ne comprenais pas. Ils étaient plutôt nerveux pour un simple racket.
Ils m'ont tiré dans la rue où ils étaient avec le 6ème, à peine quelques secondes plus tôt.
Et c'est là que j'ai compris. En guise de gosse qu'il rackettais il y avait un cadavre, avec un couteau planté dans le ventre. A peine 5 secondes après les avoir vus ils avaient mis à mort le gamin.
C'est là que le "truc" s'est produit. J'avais peur. Mais aussi, et surtout, j'étais furax. Ces cons avaient mis fin à une vie juste pour récupérer un vieil Ipod et des baskets ! (
Ils étaient en train de discuter de mon sort. J'ai chuchoté (allez savoir pourquoi) :
- Crevez, salauds.
Et là ils se sont effondrés. Sous mon nez, comme ça.
Je me suis approché, j'ai collé mon oreille contre leur poitrine, rien.
J'ai entendu un cri étouffé. Ma prof de français se tenait dans le cadre de la ruelle et me voyait moi, au milieu de 4 cadavres. Elle s'est mise à courir. J'ai voulu la rattraper mais je me suis ravisé. Je me suis mis à courir.
Chez moi.
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