Apocalypse ЯUSSE
Par : Tarse
Genre : Action , Sentimental
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 25
Publié le 28/11/14 à 21:34:28 par Tarse
Je me réveillai quelques heures plus tard à côté de Nastya, encore nue, mais désormais sous la couette. Nastya était encore relativement collée à moi, et, alors que je l'entourais de mes bras, nos deux bassins étaient collés l'un à l'autre.
Je jetai un coup d’œil vers le reste de la tente, pour voir, éparpillé un peu partout, une nuée de vêtements, allant du soutien-gorge de marque "Fenrir" de Nastya, à mon t-shirt bleu de marque "ktmzaer". Je tendis l'oreille vers l'extérieur, la pluie d'hier soir s'était arrêtée pour laisser place aux cris de la nature.
Je posai mon bras sur Nastya, espérant la réveiller d'une manière assez... douce... Au bout de quelques instants, la tente s'ouvra, laissant apercevoir une silhouette d'abord méconnaissable à cause de la lumière. Je cessai toute tentative envers Nastya, le sang me montant aux joues, mon visage se teintant peu à peu couleur sang.
Très vite, la lumière du soleil s’estompant, et mes yeux habitués (au bout de quelques secondes, je dirais), je pus apercevoir un... homme ? Oui, un homme, que je n'avais jamais vu jusque là.
- Hey guys, wake up, we're leaving the place in a few minutes, dit-il de son accent américain si reconnaissable.
- Euh... yes ?
Je me relevai sur le coup, torse nu, réalisant à peine ce qui était en train de se passer. Faut dire, j'avais toujours l'esprit embourbé par le matin, comme à mon habitude. L'homme, vêtu d'une tenue militaire avait déjà refermé l'entrée, et je pouvais l'entendre discuter autant qu'il ne pouvait avec nos compagnons rencontrés la veille.
Je tournai le regard. A coté de moi, Nastya se rhabillait tranquillement, les yeux cernés, comme prête à retomber dans les vapes en quelques secondes. Je ne tardai pas à la suivre.
...
Hors de la tente. Nastya, Nico, Cynthia, Duncan, Bastien (toujours dans le coma) et moi étions en route pour notre destination, notre objectif, le point sur lequel nous étions fixés depuis des jours : Bourgelet. Ils étaient trois. Trois soldats à nous suivre. D'après eux, ces soldats, pour le moins étranges, étaient venus respectivement du Mexique, du Congo et des États-Unis. Ils n'avaient pas voulu nous en dire plus. Et je n'aurais pas osé demander.
- C'est louche, tout ça, me dit Nastya alors que j'étais sur le point de trébucher.
J'avais effectivement failli renverser Becky, et forcément Bastien avec elle.
Les soldats derrière nous n'avaient pas daigné lâcher un seul sourire, ou esquissé ne serait-ce quoique ce soit de positif durant notre marche, dénuée de toute animosité, et qui avait bien duré au moins deux heures, nos estomacs creux. ils avaient les armes à la main, et n'avaient jamais relâché leur garde. Parfois, lorsqu'un bruit parvenait de la forêt, les trois étaient pris d'une animosité passagère, prêts à tirer sur n'importe quoi, au grand dam de Nico, dépité de ce qu'il avait pu entendre hier soir...
- Tu crois qu'il y a eu une sorte de débarquement ? murmura Nastya, pour une fois curieuse. Si c'est le cas, on aurait peut-être des chances de s'en sortir...
Quand elle eut finit sa phrase, l'écho d'une explosion fracassante se fit entendre au loin.
Je jetai un coup d’œil vers le reste de la tente, pour voir, éparpillé un peu partout, une nuée de vêtements, allant du soutien-gorge de marque "Fenrir" de Nastya, à mon t-shirt bleu de marque "ktmzaer". Je tendis l'oreille vers l'extérieur, la pluie d'hier soir s'était arrêtée pour laisser place aux cris de la nature.
Je posai mon bras sur Nastya, espérant la réveiller d'une manière assez... douce... Au bout de quelques instants, la tente s'ouvra, laissant apercevoir une silhouette d'abord méconnaissable à cause de la lumière. Je cessai toute tentative envers Nastya, le sang me montant aux joues, mon visage se teintant peu à peu couleur sang.
Très vite, la lumière du soleil s’estompant, et mes yeux habitués (au bout de quelques secondes, je dirais), je pus apercevoir un... homme ? Oui, un homme, que je n'avais jamais vu jusque là.
- Hey guys, wake up, we're leaving the place in a few minutes, dit-il de son accent américain si reconnaissable.
- Euh... yes ?
Je me relevai sur le coup, torse nu, réalisant à peine ce qui était en train de se passer. Faut dire, j'avais toujours l'esprit embourbé par le matin, comme à mon habitude. L'homme, vêtu d'une tenue militaire avait déjà refermé l'entrée, et je pouvais l'entendre discuter autant qu'il ne pouvait avec nos compagnons rencontrés la veille.
Je tournai le regard. A coté de moi, Nastya se rhabillait tranquillement, les yeux cernés, comme prête à retomber dans les vapes en quelques secondes. Je ne tardai pas à la suivre.
...
Hors de la tente. Nastya, Nico, Cynthia, Duncan, Bastien (toujours dans le coma) et moi étions en route pour notre destination, notre objectif, le point sur lequel nous étions fixés depuis des jours : Bourgelet. Ils étaient trois. Trois soldats à nous suivre. D'après eux, ces soldats, pour le moins étranges, étaient venus respectivement du Mexique, du Congo et des États-Unis. Ils n'avaient pas voulu nous en dire plus. Et je n'aurais pas osé demander.
- C'est louche, tout ça, me dit Nastya alors que j'étais sur le point de trébucher.
J'avais effectivement failli renverser Becky, et forcément Bastien avec elle.
Les soldats derrière nous n'avaient pas daigné lâcher un seul sourire, ou esquissé ne serait-ce quoique ce soit de positif durant notre marche, dénuée de toute animosité, et qui avait bien duré au moins deux heures, nos estomacs creux. ils avaient les armes à la main, et n'avaient jamais relâché leur garde. Parfois, lorsqu'un bruit parvenait de la forêt, les trois étaient pris d'une animosité passagère, prêts à tirer sur n'importe quoi, au grand dam de Nico, dépité de ce qu'il avait pu entendre hier soir...
- Tu crois qu'il y a eu une sorte de débarquement ? murmura Nastya, pour une fois curieuse. Si c'est le cas, on aurait peut-être des chances de s'en sortir...
Quand elle eut finit sa phrase, l'écho d'une explosion fracassante se fit entendre au loin.
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