-~ The Return of Evil ~-
Par : Misaki-Senpai
Genre : Action , Fantastique
Status : Terminée
Note :
Chapitre 15
- Convictions -
Publié le 14/01/13 à 19:40:10 par Misaki-Senpai
J'entendis une voix féminine hurler la panique, puis je me sentais en mouvement, en déplacement perpétuel. L'eau exerçait une pression sur ma corporation. Ensuite, une fine bruine ruisselait alors sur mon membre inférieur droit, bien abîmé à cause de la marque de magie, m'ayant brûlée un quart du corps... Je ne voyais plus rien, je ressentis un petit saut suivit d'un autre, beaucoup plus long... Je tentai de bouger un bras, ce que je réussis, mais il s'immobilisa immédiatement. Je voulus pousser un cri de douleur causé par ma blessure noire... Mon corps chuta à terre puis j'entendis un crissement ferreux ainsi qu?un affrontement. Saria menait un duel avec un... un homme ? Non, ce n'était pas lui ?
«- Alors, petite. Tu es seule, maintenant ? Ton « ami » est mort ? Quel dommage...
- Il... il n'est pas mort, je te dis ; et C'EST mon ami ! »
Il s'approcha de moi, vu la résonance des pas, puis m'asséna un violent coup de pied dans le ventre, que je ressentis immédiatement... Mes yeux s'ouvrirent, puis j'attrapai vivement la jambe de l'agresseur et lui broyai. Un cri cinglant se fit entendre, même à travers ma situation...
« Ne la traite... plus jamais. » Cinq petits mots sortirent de ma bouche, puis je me levai. Je me levai ?! Mon esprit suivait, mais pas ma conscience. Je lui assénai nombre de coups, que moi-même éveillé n'aurais pus effectuer... L'agresseur s'enfuit à travers l'eau d'après mon sens auditif. Je tombai alors lourdement au sol. Mes yeux s'éveillèrent puis je retrouvais la vue, seulement partiellement...
- Saria... il... il est parti.
- Je sais... Comment as-tu fais cela, tu n'es pas censé être conscients, ni vivant ? Mais c'est pour le mieux !
- Je ne... »
Je m'endormis subitement. Je ne savais même pas si mon réveil se ferait un jour, mais les chances étaient plus élevées que la dernière fois. Une voix me parlait, mais n'obtenait aucune réponse... Une lueur prit forme au dessus de moi, puis une silhouette, proportionnée de manière quasi-parfaite... Puis, la personne que je vis fut Saria.
- Sa... salut, Saria.
- Tu m'as encore fais peur. Tu me vois, au moins ? Tu sais qui te parles ? demanda-t-elle.
- Oui, Saria, avec un flambeau dans la main droite.
- Ouf... Allez, assieds-toi. »
La nuit était rendue à son paroxysme, j'étais encore éveillé. Quand je demandai vivement.
«- C'est toi qui a mon épée ?
- Bien sûr, regarde.
- Merci de l'avoir récupérée...
- Mais de rien. Heu, Misaki ?
- Oui ? Qu'y a t'il ?
- Hum, l'agresseur... L'homme masqué, tu me jures que tu ne le laisseras pas s'approcher de moi, hein ? (Elle baissa le vidage, et lia ses mains.)
Je la regardai avec questionnement : pourquoi le laisserai-je faire ça ?
- Non, ne t'inquiète pas, jamais il ne te touchera, jamais.
- Merci, mais... Tu penses qu'il est à la tête du malheur de ce monde ?
- Non, je pense que lui, c'est qu?un serviteur. Il n'a pas l'air très fort, il fuit assez régulièrement, tu as vu ? dis-je, souriant.
- Oui, je ne suis pas faiblarde, mais lui, il m'a vraiment fait peur la dernière fois...
- Ne t'inquiète pas, conclus-je la discussion. »
La nuit passa relativement vite, et nous partîmes dès l'aube. Nous traversâmes la moitié des plaines sans - ou presque - encombre. Le seul monstre qui se présenta à nous fut un vulgaire Effroi. Il fut glacé, brûlé, et exterminé...
Nous arrivâmes devant le pont-levis du château d'Hyrule, ou plutôt ce qu'il en restait. Nous avançâmes dès lors jusqu'aux abords d'une maison, mais nous vîmes des gardes, solidement armés.
«- Mais qu'est-ce qu'ils fichent ici, eux ?
- Misaki, c'est la nuit, les gardes patrouillent, ce sont des sentinelles de garde.
- Oui, je sais bien, mais on fait comment pour aller au temple du temps ? chuchotai-je.
- Je n'en sais rien.
- Hep, vous, là : qu'est-ce que vous faites ici en pleine nuit ? prononça la mystérieuse voix grave.
- Ah ! (Ce fut ma seule réaction possible dans une situation pareille.) Hé bien, nous voulions nous rendre au temple du temps pour remettre les trois pierres ancestrales à leur place, pour sauver le monde de ses ténèbres, dis-je, dévoilant la vérité...
- Ah oui, c'est vrai, mais pourquoi n'y ai-je pas pensé plus tôt, tu es un guerrier envoyé pour le bien de ce « monde » ?
- Heu... oui, mais... Vous me croyez, alors ?
- Certainement pas ! Foutez-moi le camp en-dehors de la ville, personne ne peut accéder au temple sans autorisation de la princesse Zelda.
Il jeta Saria, puis vin mon tour. Et il répliqua, comme pour humilier mon statut.
- De toute manière, un « gamin » de ta posture et de ta carrure ne peut pas être un héros, continua-t-il en riant.
- Hung, rira bien qui rira le dernier, couillon.
Il rejoignit sa troupe, pressé de raconter ses « aventures » palpitantes, tordantes, ou encore hilarantes... Cela m'horripilait de voir ce comportement dans une situation aussi délicate que la misère dans le monde...
- Bon, comment on s'y prend, maintenant ?
- En temps normal, je ne ferai pas ça, mais... c'est une situation des plus complexes, et je ne vois pas d'autres solutions possibles...
- Et c'est quoi, alors ?..., dis-je, impatient.
- Nous allons nous débarrasser des gardes.
- Quoi, mais ?
- Tu veux rester et mourir ici ?
- Non.
Sur ces mots, nous avançâmes rapidement, puis nous nous arrêtâmes au même point auquel nous étions précédemment. Plusieurs gardes se jetèrent sur nous sans nous demander notre avis... Ils furent éjectés grâce au souffle de nos magies. Trois autres vinrent à l'assaut, stupidement... Je les renvoyais d'où ils venaient avec une large coupe horizontale via mon épée. Nous arrivâmes devant le temple puis entrâmes.
- Voilà mon objectif depuis de début, je ne décevrais personne. »
Je rangeai mon épée et entrai dans la magnifique architecture toute colorée de gris. Le temple du temps.
«- Alors, petite. Tu es seule, maintenant ? Ton « ami » est mort ? Quel dommage...
- Il... il n'est pas mort, je te dis ; et C'EST mon ami ! »
Il s'approcha de moi, vu la résonance des pas, puis m'asséna un violent coup de pied dans le ventre, que je ressentis immédiatement... Mes yeux s'ouvrirent, puis j'attrapai vivement la jambe de l'agresseur et lui broyai. Un cri cinglant se fit entendre, même à travers ma situation...
« Ne la traite... plus jamais. » Cinq petits mots sortirent de ma bouche, puis je me levai. Je me levai ?! Mon esprit suivait, mais pas ma conscience. Je lui assénai nombre de coups, que moi-même éveillé n'aurais pus effectuer... L'agresseur s'enfuit à travers l'eau d'après mon sens auditif. Je tombai alors lourdement au sol. Mes yeux s'éveillèrent puis je retrouvais la vue, seulement partiellement...
- Saria... il... il est parti.
- Je sais... Comment as-tu fais cela, tu n'es pas censé être conscients, ni vivant ? Mais c'est pour le mieux !
- Je ne... »
Je m'endormis subitement. Je ne savais même pas si mon réveil se ferait un jour, mais les chances étaient plus élevées que la dernière fois. Une voix me parlait, mais n'obtenait aucune réponse... Une lueur prit forme au dessus de moi, puis une silhouette, proportionnée de manière quasi-parfaite... Puis, la personne que je vis fut Saria.
- Sa... salut, Saria.
- Tu m'as encore fais peur. Tu me vois, au moins ? Tu sais qui te parles ? demanda-t-elle.
- Oui, Saria, avec un flambeau dans la main droite.
- Ouf... Allez, assieds-toi. »
La nuit était rendue à son paroxysme, j'étais encore éveillé. Quand je demandai vivement.
«- C'est toi qui a mon épée ?
- Bien sûr, regarde.
- Merci de l'avoir récupérée...
- Mais de rien. Heu, Misaki ?
- Oui ? Qu'y a t'il ?
- Hum, l'agresseur... L'homme masqué, tu me jures que tu ne le laisseras pas s'approcher de moi, hein ? (Elle baissa le vidage, et lia ses mains.)
Je la regardai avec questionnement : pourquoi le laisserai-je faire ça ?
- Non, ne t'inquiète pas, jamais il ne te touchera, jamais.
- Merci, mais... Tu penses qu'il est à la tête du malheur de ce monde ?
- Non, je pense que lui, c'est qu?un serviteur. Il n'a pas l'air très fort, il fuit assez régulièrement, tu as vu ? dis-je, souriant.
- Oui, je ne suis pas faiblarde, mais lui, il m'a vraiment fait peur la dernière fois...
- Ne t'inquiète pas, conclus-je la discussion. »
La nuit passa relativement vite, et nous partîmes dès l'aube. Nous traversâmes la moitié des plaines sans - ou presque - encombre. Le seul monstre qui se présenta à nous fut un vulgaire Effroi. Il fut glacé, brûlé, et exterminé...
Nous arrivâmes devant le pont-levis du château d'Hyrule, ou plutôt ce qu'il en restait. Nous avançâmes dès lors jusqu'aux abords d'une maison, mais nous vîmes des gardes, solidement armés.
«- Mais qu'est-ce qu'ils fichent ici, eux ?
- Misaki, c'est la nuit, les gardes patrouillent, ce sont des sentinelles de garde.
- Oui, je sais bien, mais on fait comment pour aller au temple du temps ? chuchotai-je.
- Je n'en sais rien.
- Hep, vous, là : qu'est-ce que vous faites ici en pleine nuit ? prononça la mystérieuse voix grave.
- Ah ! (Ce fut ma seule réaction possible dans une situation pareille.) Hé bien, nous voulions nous rendre au temple du temps pour remettre les trois pierres ancestrales à leur place, pour sauver le monde de ses ténèbres, dis-je, dévoilant la vérité...
- Ah oui, c'est vrai, mais pourquoi n'y ai-je pas pensé plus tôt, tu es un guerrier envoyé pour le bien de ce « monde » ?
- Heu... oui, mais... Vous me croyez, alors ?
- Certainement pas ! Foutez-moi le camp en-dehors de la ville, personne ne peut accéder au temple sans autorisation de la princesse Zelda.
Il jeta Saria, puis vin mon tour. Et il répliqua, comme pour humilier mon statut.
- De toute manière, un « gamin » de ta posture et de ta carrure ne peut pas être un héros, continua-t-il en riant.
- Hung, rira bien qui rira le dernier, couillon.
Il rejoignit sa troupe, pressé de raconter ses « aventures » palpitantes, tordantes, ou encore hilarantes... Cela m'horripilait de voir ce comportement dans une situation aussi délicate que la misère dans le monde...
- Bon, comment on s'y prend, maintenant ?
- En temps normal, je ne ferai pas ça, mais... c'est une situation des plus complexes, et je ne vois pas d'autres solutions possibles...
- Et c'est quoi, alors ?..., dis-je, impatient.
- Nous allons nous débarrasser des gardes.
- Quoi, mais ?
- Tu veux rester et mourir ici ?
- Non.
Sur ces mots, nous avançâmes rapidement, puis nous nous arrêtâmes au même point auquel nous étions précédemment. Plusieurs gardes se jetèrent sur nous sans nous demander notre avis... Ils furent éjectés grâce au souffle de nos magies. Trois autres vinrent à l'assaut, stupidement... Je les renvoyais d'où ils venaient avec une large coupe horizontale via mon épée. Nous arrivâmes devant le temple puis entrâmes.
- Voilà mon objectif depuis de début, je ne décevrais personne. »
Je rangeai mon épée et entrai dans la magnifique architecture toute colorée de gris. Le temple du temps.
16/01/13 à 14:09:34
Où as-tu vu les fautes ? Dans quelle partie ? ^^
Oui, la relecture, c'est chiant, mais vu les fautes d'avant, je trouve ça plutôt pas mal.
Beaucoup mieux, oui.
15/01/13 à 23:12:24
Ça me parrait pas mal. J'ai vu une faute d'accord, une répétition et une faute d'orthographe, mais je sais très bien que c'est dur de se relire. Très encourageant. Et mieux que l'original, je suppose.
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