-~ The Return of Evil ~-
Par : Misaki-Senpai
Genre : Action , Fantastique
Status : Terminée
Note :
Chapitre 17
- Temps -
Publié le 18/01/13 à 12:41:32 par Misaki-Senpai
Je pris solidement la garde de l'épée dans mes paumes, puis tirai. Je forçai beaucoup, beaucoup plus que je l'aurais imaginé. L'épée crissait légèrement, en se retirant lentement du piédestal. Puis soudainement, elle vint dans les mains. Une magnifique lueur bleutée s'en suivit, puis je fus transporté...
« Où... où suis-je ?! »
Ce furent mes seuls mots à mon éveil. Ma vue n'était pas encore très nette, et mon esprit ne répondait pas encore présent. Lorsque je me rétablis, j'observai les alentours et je vis... le temple de lumière ! Alors que tous les fans de « Zelda » voulaient y pénétrer dans le jeu, dans un monde irréel ; moi j'y étais dans un monde sous le joug de l'existence, un monde existentiel. Ce n'était plus le moment de montrer ma satisfaction, mais plutôt de demander comment avais-je été transporté ici. Je levai les yeux et vis exactement deux sages : Impa, la guerrière Sheika, et Rauru, le sage de lumière.
«- Vous... vous êtes tous les deux des sages, n'est-ce pas ?
- Oui, c'est exact, Misaki..., répondirent les deux sages, simultanément.
- Je vois... Pouvez-vous m'expliquer ce que je fais ici ?
- Eh bien, tu as été choisi pour sauver Hyrule des ténèbres qui le menace.
- D'accord, mais pourquoi suis-je ici, dans ce cas ?
- Tu n'étais pas assez mûr, réfléchi et fort, brave héros... Maintenant, regarde-toi, regarde ton corps ! fit vivement le sage lumineux.
- Whoah !
Mon corps était... plus développé. Et j'avais grandi ! Le processus qui avait affecté Link venait de s'emparer de moi... Je dégainai alors ma lame, aussi je vis la Master Sword.
- Alors comme ça, j'ai grandi...
- Bien sûr, tu récupérais depuis exactement deux longues années. Allons, héros, pars pour ton périple et sauve Hyrule, sauve notre monde !
- Bien entendu. »
Je deux sages me dématérialisèrent grâce à de puissants pouvoirs. Durant mon voyage intemporel, je me sentais terriblement mal...
Une fois revenu dans le temple du temps, je me retournai et ne vis absolument personne. Saria n'était pas là, et c'était tout à fait normal puisque deux ans venaient de s'écouler. Je sortis alors du temple, aussi majestueux que la dernière fois. Je vis un paysage encore plus désolé que la dernière fois : plusieurs personnes traînaient leurs corps à terre, suffoquant, ainsi que plusieurs gardes... Finissant par certaines femmes, accroupies contres de longs murs... Le spectacle était totalement affreux, inhumain... Tout cela était la faute d'un seul homme, un homme dont j'ignorai tout, un homme qui allait payer !
« Merde, merde ! C'est quoi ce foutoir ! »
Après avoir prononcé ma phrase à vive voix, je décidai de rejoindre Saria au village Kokiri... Mais en deux ans, de nombreuses choses auraient pu arriver, surtout à Saria !... Je me précipitai hors de la place du marché, courus à toute jambe sur le pont-levis, puis rejoignis l'entrée de la forêt accueillant le peuple sylvestre, et ce très rapidement.
«- Je... je suis arrivé, maintenant... il... faut que je... trouve Saria, mon amie... dis-je, complètement épuisé.
- Tu me cherches ? Je suis là, Misaki.
- Saria ? C'est bien toi ?
- Oui, qui veux-tu que ce soit d'autre ?
- Merci, tu n'as pas été... hé !
Ce n'était pas Saria, mais une autre Kokiri qui m'avait fait une bien méchante blague. Elle était sertie de deux yeux d'une magnifique couleur cyan, de cheveux vert pomme, attachés en deux énormes couettes, puis un visage radieux.
- Heu... pourrais-tu me dire où Saria se trouve, s'il-te-plaît ?
- Désolé, je n'en ai aucune idée..., me répondit-elle.
- Tu mens ! Tu dois forcément savoir où elle est, elle fait partie du village, je te rappelle !
- Mais...
- Je... je suis désolé, la colère m'a emportée. Enfin bref... Je finirai bien par le retrouver. Merci quand même.
Je traversai le pont constitué de chêne avec gêne, puis sortis du village par un passage étroit. Je marchai, marchai, et marchai encore dans les plaines verdoyantes d'Hyrule, jusqu'à croiser quelqu'un ou plutôt une connaissance.
«- Saria, te... te voilà ! Tu m'as manqué !
- Oui... toi aussi...
- Qu'est-ce qu'il y a ?
Soudainement, un homme, ou plutôt l'homme que je haïssais apparut derrière Saria, puis prononça quelques mots.
- Maintenant, je vais te tuer, sale gamin. Deux ans que j'attends cela..., finit-il sur un rire mauvais. Et merci de me l'avoir ramené, gamine.
- Pardon ? Tu t'es servi de Saria ?... Espèce de connard, tu vas payer très cher ! Maintenant, ça suffit !
- Ho, c'est qu'il serait dangereux, le gosse, hou là... !
- Bien sûr, plus dangereux que toi, froussard. Ce n'est pas moi qui fuis comme un lapin à chacune de nos rencontres.
- Tu parles bien, mais ce n'est là tout ce dont tu peux faire. Tu ne sais rien faire même avec une telle lame !
- Et tu crois que je suis resté deux ans à rien faire ? Tu rêves ! Saria, écarte-toi : cette fois-ci, c'est la bonne.
- D'accord... Misaki, désolé... de t'obliger à combattre, il m'a forcée à...
- C'est pas grave, je vais en finir une bonne fois pour toute, en garde !
C'est sur ceci que je dégainai puis que je sortis mon bouclier, prêt à combattre jusqu'à la mort cet homme...
« Où... où suis-je ?! »
Ce furent mes seuls mots à mon éveil. Ma vue n'était pas encore très nette, et mon esprit ne répondait pas encore présent. Lorsque je me rétablis, j'observai les alentours et je vis... le temple de lumière ! Alors que tous les fans de « Zelda » voulaient y pénétrer dans le jeu, dans un monde irréel ; moi j'y étais dans un monde sous le joug de l'existence, un monde existentiel. Ce n'était plus le moment de montrer ma satisfaction, mais plutôt de demander comment avais-je été transporté ici. Je levai les yeux et vis exactement deux sages : Impa, la guerrière Sheika, et Rauru, le sage de lumière.
«- Vous... vous êtes tous les deux des sages, n'est-ce pas ?
- Oui, c'est exact, Misaki..., répondirent les deux sages, simultanément.
- Je vois... Pouvez-vous m'expliquer ce que je fais ici ?
- Eh bien, tu as été choisi pour sauver Hyrule des ténèbres qui le menace.
- D'accord, mais pourquoi suis-je ici, dans ce cas ?
- Tu n'étais pas assez mûr, réfléchi et fort, brave héros... Maintenant, regarde-toi, regarde ton corps ! fit vivement le sage lumineux.
- Whoah !
Mon corps était... plus développé. Et j'avais grandi ! Le processus qui avait affecté Link venait de s'emparer de moi... Je dégainai alors ma lame, aussi je vis la Master Sword.
- Alors comme ça, j'ai grandi...
- Bien sûr, tu récupérais depuis exactement deux longues années. Allons, héros, pars pour ton périple et sauve Hyrule, sauve notre monde !
- Bien entendu. »
Je deux sages me dématérialisèrent grâce à de puissants pouvoirs. Durant mon voyage intemporel, je me sentais terriblement mal...
Une fois revenu dans le temple du temps, je me retournai et ne vis absolument personne. Saria n'était pas là, et c'était tout à fait normal puisque deux ans venaient de s'écouler. Je sortis alors du temple, aussi majestueux que la dernière fois. Je vis un paysage encore plus désolé que la dernière fois : plusieurs personnes traînaient leurs corps à terre, suffoquant, ainsi que plusieurs gardes... Finissant par certaines femmes, accroupies contres de longs murs... Le spectacle était totalement affreux, inhumain... Tout cela était la faute d'un seul homme, un homme dont j'ignorai tout, un homme qui allait payer !
« Merde, merde ! C'est quoi ce foutoir ! »
Après avoir prononcé ma phrase à vive voix, je décidai de rejoindre Saria au village Kokiri... Mais en deux ans, de nombreuses choses auraient pu arriver, surtout à Saria !... Je me précipitai hors de la place du marché, courus à toute jambe sur le pont-levis, puis rejoignis l'entrée de la forêt accueillant le peuple sylvestre, et ce très rapidement.
«- Je... je suis arrivé, maintenant... il... faut que je... trouve Saria, mon amie... dis-je, complètement épuisé.
- Tu me cherches ? Je suis là, Misaki.
- Saria ? C'est bien toi ?
- Oui, qui veux-tu que ce soit d'autre ?
- Merci, tu n'as pas été... hé !
Ce n'était pas Saria, mais une autre Kokiri qui m'avait fait une bien méchante blague. Elle était sertie de deux yeux d'une magnifique couleur cyan, de cheveux vert pomme, attachés en deux énormes couettes, puis un visage radieux.
- Heu... pourrais-tu me dire où Saria se trouve, s'il-te-plaît ?
- Désolé, je n'en ai aucune idée..., me répondit-elle.
- Tu mens ! Tu dois forcément savoir où elle est, elle fait partie du village, je te rappelle !
- Mais...
- Je... je suis désolé, la colère m'a emportée. Enfin bref... Je finirai bien par le retrouver. Merci quand même.
Je traversai le pont constitué de chêne avec gêne, puis sortis du village par un passage étroit. Je marchai, marchai, et marchai encore dans les plaines verdoyantes d'Hyrule, jusqu'à croiser quelqu'un ou plutôt une connaissance.
«- Saria, te... te voilà ! Tu m'as manqué !
- Oui... toi aussi...
- Qu'est-ce qu'il y a ?
Soudainement, un homme, ou plutôt l'homme que je haïssais apparut derrière Saria, puis prononça quelques mots.
- Maintenant, je vais te tuer, sale gamin. Deux ans que j'attends cela..., finit-il sur un rire mauvais. Et merci de me l'avoir ramené, gamine.
- Pardon ? Tu t'es servi de Saria ?... Espèce de connard, tu vas payer très cher ! Maintenant, ça suffit !
- Ho, c'est qu'il serait dangereux, le gosse, hou là... !
- Bien sûr, plus dangereux que toi, froussard. Ce n'est pas moi qui fuis comme un lapin à chacune de nos rencontres.
- Tu parles bien, mais ce n'est là tout ce dont tu peux faire. Tu ne sais rien faire même avec une telle lame !
- Et tu crois que je suis resté deux ans à rien faire ? Tu rêves ! Saria, écarte-toi : cette fois-ci, c'est la bonne.
- D'accord... Misaki, désolé... de t'obliger à combattre, il m'a forcée à...
- C'est pas grave, je vais en finir une bonne fois pour toute, en garde !
C'est sur ceci que je dégainai puis que je sortis mon bouclier, prêt à combattre jusqu'à la mort cet homme...
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