-~ The Return of Evil ~-
Par : Misaki-Senpai
Genre : Action , Fantastique
Status : Terminée
Note :
Chapitre 11
- Tout feu, tout flamme -
Publié le 13/01/13 à 00:15:33 par Misaki-Senpai
Le pouvoir jaunâtre jaillissait de mon corps, et ce vivement. Je brandis mon épée, qui aspirait puis arborait en sa lame la magnifique lueur. Le dragon ouvrit la gueule et hurla férocement en ma direction. Ses yeux bleu turquoise se changèrent subitement en un rouge sombre. Ils évoquaient la haine, la rage qu'avait leur possesseur, Volcania.
« Tu... tu vas payer pour ça. Comment je vais faire pour retourner chez moi, maintenant ?... »
Saria se mit en garde, et je suivis son rythme. Ma compagne lança de longs lierres sur l'ennemi, pour l'immobiliser. Je serrai mon épée, m'élançai alors sur l'ennemi, puis déployai un large coup sauté. Le monstre s'éloigna, je m'écrasai au sol, puis tombai stupidement et violemment. Je choisis de me retourner vélocement, et lui infligeai un petit coup horizontal. Il reçut le tranchant de ma lame de plein fouet. Je fis une roulade, attrapai la pierre et m'éloignai directement du monstre.
« Misaki, je... je ne vais pas tenir ! »
En effet... le dragon cracha un nuage de flammes sur les fines plantes, qui se dissipèrent sur-le-champ.
«- Merde... ! Si seulement... Saria, j'ai comme une idée !
- Alors raconte !
- Oui !
Je lui fis part de mon plan, puis nous tentâmes de le mettre en oeuvre. Saria invoqua un puissant lierre qu'elle accrocha au sommet de la salle dans laquelle nous nous trouvions.
« Allez, meurs, stupide dragon ! »
Je le provoquai, m'agrippai ensuite au lierre, grimpai à la force de mes bras - beaucoup plus puissants avec l'aide du pouvoir du courage - puis stagnai au plafond. Une fois que j'avais repéré la stalactite idéale, je lançai une petite boule d'énergie lumineuse. Celle-ci vint à la rencontre du rocher, qui se décrocha bruyamment et tomba lourdement sur le crâne du dragon. Je descendis via la plante de mon amie puis plantai mon épée vers sa gueule béante.
À ma grande surprise, il bougea vélocement. Je l'avais manqué. Je recommençai, mais il réitéra son opération. Je posai mon épée, demandai à Saria de tenir la bête grâce à une de ses lianes puis préparai une immense boule de lumière jaune. Je la compressai, et compressai encore afin qu'elle soit la plus dévastatrice possible. Quand j'allais déposer la sphère sur le visage du monstre, il s'agita, encore et encore. Sa queue vint soudainement frapper le lourd rocher, puis le détruire.
- Non !...
- Ce n'était tout simplement pas la bonne technique... Tentons autre chose.
- Oui.
Je lui tendis un flacon d'eau, et nous bûmes. L'hydratation était importante dans un endroit où la température était aussi élevée. Je me concentrai alors sur le dragon, qui devait sûrement avoir un point faible visible ; comme dans tout les "Zelda".
J'avais beau observer attentivement, mais rien. Absolument rien ne semblait plus sensible que le reste de son corps bouillant. Mais ?!... Le bout de sa queue flambait plus que ses membres, que sa tête, que tout ! J'accourus vers Saria, ou plutôt je tentai : une énorme mâchoire m'attrapa le pied, me jeta dans les airs, puis une partie du dragon me frappa de manière puissante et je voltigeai contre une paroi de la pièce.
«- Hung... Putain, ma jambe... Il faut que je fasse plus attention... Saria ! Vise sa queue, c'est son poing faible !
- D'accord ! »
Ce fut sa réponse. Mon corps se paralysa un très court instant, puis mon pouvoir se dissipa immédiatement. Ma bague avait stoppée la dorure qui m'entourait.
« Je suis pas dans la merde..., pensai-je » Ma lame redevint blanche. Je pensai alors au point faible. Les flammes de sa queue étaient plus denses que n'importes lesquelles, sur son corps. Je créai un flux de magie bleu, d'eau azur. Je m'approchai de Saria, qui se concentrait longuement. Je m'accroupis, puis lui pris la main.
«- Désolé de te déconcentrer, mais tu ne voudrais pas me donner un peu de pouvoir aqueux ? Parce qu'il y a la queue de Volcania qui nous arrive droit dessus !
- Qu... Quoi ? Vite ! »
L'aura de notre pouvoir s'élargissait à vue d'oeil. Lorsque la masse devint assez importante, voire même trop, nous tentâmes de la compresser jusqu'à obtenir la bonne envergure, la taille parfaite. Saria esquiva la partie enflammée du dragon. Je pris la sphère cyan dans ma main, passai sous la queue du dragon et la lançai de toute ma puissance. Ce que j'imaginai prit forme sous mes yeux : les flammes s'estompèrent et la queue gela de toute part. Je me dirigeai vivement sur celle-ci puis la tranchai de nombreuses fois. Elle tomba, puis éclata.
«- Bravo, Misaki ! Maintenant que le cristal est apparut sur le sommet de son crâne, achève-le ! s'exclama Saria.
- O.K., j'arrive ! »
Le cristal ? Il y avait un cristal ?... Bref, je me traçai un chemin, puis arrivai devant le visage affaiblit du monstre. Je déployai ma magie... mais pas la magie adéquate. Le pouvoir du courage refit surface, et ce royalement. Mon corps tomba, paralysé. Je jetai dans un dernier espoir ma lame rayonnante à Saria, qui amplifiait son pouvoir concentré depuis tout à l'heure, et cette dernière le retransmit dans la garde puis la lame. Elle devint verte pomme. Mon amie envoya l'épée dans le joyau de la créature. Celle-ci gémissait, hurlait, tombait, puis décéda.
«- C'est fini, on l'a vaincu..., fit faiblement Saria.
- Non... tu l'as vaincu.
- Oui, mais je n'ai pas participé seule.
Elle tombait lentement de fatigue, je me levai puis me précipitai pour la rattraper. Mon corps s'était mis en mouvement, malgré la paralysie.
- Tu es certaine que ça va ?
- Oui, sûrement la fatigue.
- Rentrons... Je tiens à dire que moi, je n'ai pas dormi de la nuit, répondis-je, souriant.
- D'accord.
Avant de partir, je ramassai ma lame, lourdement tombée au sol, après avoir terrassée le monstre. Nous traversâmes la caverne, mais dans le chemin inverse. Ce fut moins difficile que la première fois. Une fois sortis, Je pris Saria dans mes bras, puis sautai là où se trouvait la surface grillagée. Mes jambes fléchirent, mais cela importait. Je prenais longuement le chemin pour revenir au village. Je rentrai dans le petit village, et déposai mon amie sur un lit. Darunia accourait pour vérifier notre état. Je m'asseyais longuement, puis finis par souffler.
- Alors, vous avez trouvés la pierre ancestrale ?
- Hung... oui, la voici.
- Mais ?!... elle est brisée ? Aïe, il faudrait la donner au forgeron Goron pour qu'il la répare, mais je ne suis pas certain que ça marche. Bref, reposez-vous, dit le chef, vous en avez vraiment besoin.
- Merci de le remarquer...
Je n'avais plus de force dans les membres. Mon corps chuta sur le lit, aux côtés de Saria...
« Tu... tu vas payer pour ça. Comment je vais faire pour retourner chez moi, maintenant ?... »
Saria se mit en garde, et je suivis son rythme. Ma compagne lança de longs lierres sur l'ennemi, pour l'immobiliser. Je serrai mon épée, m'élançai alors sur l'ennemi, puis déployai un large coup sauté. Le monstre s'éloigna, je m'écrasai au sol, puis tombai stupidement et violemment. Je choisis de me retourner vélocement, et lui infligeai un petit coup horizontal. Il reçut le tranchant de ma lame de plein fouet. Je fis une roulade, attrapai la pierre et m'éloignai directement du monstre.
« Misaki, je... je ne vais pas tenir ! »
En effet... le dragon cracha un nuage de flammes sur les fines plantes, qui se dissipèrent sur-le-champ.
«- Merde... ! Si seulement... Saria, j'ai comme une idée !
- Alors raconte !
- Oui !
Je lui fis part de mon plan, puis nous tentâmes de le mettre en oeuvre. Saria invoqua un puissant lierre qu'elle accrocha au sommet de la salle dans laquelle nous nous trouvions.
« Allez, meurs, stupide dragon ! »
Je le provoquai, m'agrippai ensuite au lierre, grimpai à la force de mes bras - beaucoup plus puissants avec l'aide du pouvoir du courage - puis stagnai au plafond. Une fois que j'avais repéré la stalactite idéale, je lançai une petite boule d'énergie lumineuse. Celle-ci vint à la rencontre du rocher, qui se décrocha bruyamment et tomba lourdement sur le crâne du dragon. Je descendis via la plante de mon amie puis plantai mon épée vers sa gueule béante.
À ma grande surprise, il bougea vélocement. Je l'avais manqué. Je recommençai, mais il réitéra son opération. Je posai mon épée, demandai à Saria de tenir la bête grâce à une de ses lianes puis préparai une immense boule de lumière jaune. Je la compressai, et compressai encore afin qu'elle soit la plus dévastatrice possible. Quand j'allais déposer la sphère sur le visage du monstre, il s'agita, encore et encore. Sa queue vint soudainement frapper le lourd rocher, puis le détruire.
- Non !...
- Ce n'était tout simplement pas la bonne technique... Tentons autre chose.
- Oui.
Je lui tendis un flacon d'eau, et nous bûmes. L'hydratation était importante dans un endroit où la température était aussi élevée. Je me concentrai alors sur le dragon, qui devait sûrement avoir un point faible visible ; comme dans tout les "Zelda".
J'avais beau observer attentivement, mais rien. Absolument rien ne semblait plus sensible que le reste de son corps bouillant. Mais ?!... Le bout de sa queue flambait plus que ses membres, que sa tête, que tout ! J'accourus vers Saria, ou plutôt je tentai : une énorme mâchoire m'attrapa le pied, me jeta dans les airs, puis une partie du dragon me frappa de manière puissante et je voltigeai contre une paroi de la pièce.
«- Hung... Putain, ma jambe... Il faut que je fasse plus attention... Saria ! Vise sa queue, c'est son poing faible !
- D'accord ! »
Ce fut sa réponse. Mon corps se paralysa un très court instant, puis mon pouvoir se dissipa immédiatement. Ma bague avait stoppée la dorure qui m'entourait.
« Je suis pas dans la merde..., pensai-je » Ma lame redevint blanche. Je pensai alors au point faible. Les flammes de sa queue étaient plus denses que n'importes lesquelles, sur son corps. Je créai un flux de magie bleu, d'eau azur. Je m'approchai de Saria, qui se concentrait longuement. Je m'accroupis, puis lui pris la main.
«- Désolé de te déconcentrer, mais tu ne voudrais pas me donner un peu de pouvoir aqueux ? Parce qu'il y a la queue de Volcania qui nous arrive droit dessus !
- Qu... Quoi ? Vite ! »
L'aura de notre pouvoir s'élargissait à vue d'oeil. Lorsque la masse devint assez importante, voire même trop, nous tentâmes de la compresser jusqu'à obtenir la bonne envergure, la taille parfaite. Saria esquiva la partie enflammée du dragon. Je pris la sphère cyan dans ma main, passai sous la queue du dragon et la lançai de toute ma puissance. Ce que j'imaginai prit forme sous mes yeux : les flammes s'estompèrent et la queue gela de toute part. Je me dirigeai vivement sur celle-ci puis la tranchai de nombreuses fois. Elle tomba, puis éclata.
«- Bravo, Misaki ! Maintenant que le cristal est apparut sur le sommet de son crâne, achève-le ! s'exclama Saria.
- O.K., j'arrive ! »
Le cristal ? Il y avait un cristal ?... Bref, je me traçai un chemin, puis arrivai devant le visage affaiblit du monstre. Je déployai ma magie... mais pas la magie adéquate. Le pouvoir du courage refit surface, et ce royalement. Mon corps tomba, paralysé. Je jetai dans un dernier espoir ma lame rayonnante à Saria, qui amplifiait son pouvoir concentré depuis tout à l'heure, et cette dernière le retransmit dans la garde puis la lame. Elle devint verte pomme. Mon amie envoya l'épée dans le joyau de la créature. Celle-ci gémissait, hurlait, tombait, puis décéda.
«- C'est fini, on l'a vaincu..., fit faiblement Saria.
- Non... tu l'as vaincu.
- Oui, mais je n'ai pas participé seule.
Elle tombait lentement de fatigue, je me levai puis me précipitai pour la rattraper. Mon corps s'était mis en mouvement, malgré la paralysie.
- Tu es certaine que ça va ?
- Oui, sûrement la fatigue.
- Rentrons... Je tiens à dire que moi, je n'ai pas dormi de la nuit, répondis-je, souriant.
- D'accord.
Avant de partir, je ramassai ma lame, lourdement tombée au sol, après avoir terrassée le monstre. Nous traversâmes la caverne, mais dans le chemin inverse. Ce fut moins difficile que la première fois. Une fois sortis, Je pris Saria dans mes bras, puis sautai là où se trouvait la surface grillagée. Mes jambes fléchirent, mais cela importait. Je prenais longuement le chemin pour revenir au village. Je rentrai dans le petit village, et déposai mon amie sur un lit. Darunia accourait pour vérifier notre état. Je m'asseyais longuement, puis finis par souffler.
- Alors, vous avez trouvés la pierre ancestrale ?
- Hung... oui, la voici.
- Mais ?!... elle est brisée ? Aïe, il faudrait la donner au forgeron Goron pour qu'il la répare, mais je ne suis pas certain que ça marche. Bref, reposez-vous, dit le chef, vous en avez vraiment besoin.
- Merci de le remarquer...
Je n'avais plus de force dans les membres. Mon corps chuta sur le lit, aux côtés de Saria...
13/01/13 à 13:27:46
Ah ? T'aime ? Merci, je poste la suite aujourd'hui.
J'irai lire la sweet de la tienne, évidemment.
13/01/13 à 12:18:51
wow ! :sweet:
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