Cours_(tres)_particuliers
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 27
Publié le 19/08/13 à 01:11:33 par Pseudo supprimé
:mac: Chapitre 27 :mac:
Nous atteignons finalement notre hôtel.
L : Putain, j’trouve plus les clés… Arrête de m’embrasser, j’arrive pas à regarder dans mon sac !
Mais je continue à embrasser mon Lucas, je ne veux plus quitter sa bouche, plus quitter ses lèvres…
Il finit par mettre la main sur les clés et en introduit une dans la serrure. Une fois entrés, nous montons au plus vite les escaliers et courons dans le couloir qui mène à notre chambre.
Nous finissons par y entrer. Lucas me plaque contre la porte qu’il referme derrière nous et se met à embrasser fougueusement mon cou en serrant son corps contre le mien. Puis il s’éloigne de quelques centimètres, m’attrape par le col de la chemise et me fait venir vers lui. Il pivote ensuite sur le côté et me pousse pour que je tombe sur le lit.
Je regarde mon bel Apollon enlever ses chaussures et son pull, puis venir me rejoindre à quatre pattes sur le matelas.
Nous ne sommes éclairés que par la lumière de la Lune que l’on peut voir à travers la fenêtre de la chambre mais comme je veux pouvoir admirer son corps à mon gré, je me retourne et rampe sur le lit pour atteindre l’interrupteur de la lampe de chevet.
Mais Lucas s’amuse à s’agripper à ma ceinture et à m’attirer vers lui pour m’empêcher d’y arriver. Je me débats à plat ventre pour essayer d’avancer mais sa prise est ferme. Sans qu’il ne le remarque, je desserre un peu ma ceinture pour pouvoir quitter mon pantalon si Lucas continue à me tenir. Je pars de nouveau vers l’avant mais je ne me souviens plus que je porte un caleçon de Lucas, bien trop grand pour moi, et me retrouve à ramper sur le lit les fesses à l’air…
Quand je me retourne, ayant enfin allumé la lampe, je laisse fièrement le loisir à Lucas de contempler mon sexe qui commence tout doucement à se réveiller.
L : Alors ? Prêt pour cette nouvelle leçon ?
J : Et en quoi elle consiste ?
L : Bouge pas… On commence par la démonstration du maître…
Il se dirige vers sa valise et y trouve un petit caleçon noir.
Mais qu’est-ce qu’il veut faire avec ça ?
L : Tiens, allonge-toi complètement, enlève ta chemise et mets ça sur tes yeux… Attention ! Ne triche pas !
Devant mon regard méfiant, il ajoute :
L : Allez, on obéit ! Et plus vite que ça ! Sinon j’écris un mot à tes parents pour leur dire que tu n’écoutes pas bien tes leçons !
Amusé, je pose son caleçon sur mes yeux et me détends.
Je sens ses mains qui remontent tout doucement sur mes cuisses, puis sa bouche qui vient se poser sur mon nombril et sa langue qui s’y introduit. Ses doigts se rapprochent petit à petit de mon sexe mais le contourne finalement pour venir sur mes côtes et sur mes pectoraux. Puis c’est sa tête qui remonte elle aussi : mon ventre, mon torse, mes tétons…
Par moment, avec ma main, je soulève un peu le boxer qui me couvre les yeux pour observer ce que fait Lucas mais je reçois systématiquement un regard désapprobateur et une petite tape en riant pour que je remette le sous-vêtement en place.
L : P’tit tricheur !
Mais j’veux savoir, moi ! C’est pô juste !
Je me résous donc à rester dans le noir pendant qu’il parcourt mon corps.
Mon sexe a bien sûr retrouver son garde-à-vous désormais habituel, le gland venant toucher le bas de mon nombril.
Lucas reprend ses activités. Sa langue vient se perdre sur mes épaules, puis entre mes pectoraux, redescends vers mon nombril et s’approche petit à petit de mon sexe dont il caresse désormais les testicules.
Il va quand même pas…
Sa bouche vient tout doucement déposer de petits baisers sur ma verge en commençant par le bas, puis en remontant petit à petit jusqu’à mon gland.
Oh putain, c’est trop bon !
Mon sexe devient encore plus dur qu’il l’était et je sens l’émotion qui m’envahit.
Quand sa bouche vient se poser sur mon frein, je sens le bout de sa petite langue venir s’échapper d’entre ses lèvres et titiller cette zone si sensible.
L : T’es prêt Jules ?
J : Prêt à quoi ?
Il engloutit alors mon gland d’un coup, me laissant à peine le temps de répondre à sa question. Je ne peux m’empêcher de pousser un grand « Haaaaan » dû au plaisir qu’il me procure. Il s’est emparé de ma verge avec sa main et la branle vigoureusement pendant que sa langue virevolte autour de ma queue tendue et vient aspirer les quelques gouttes de liquide qui s’échappent déjà de mon sexe. Il ne cesse de faire bouger sa tête de haut en bas et parfois enfonce davantage ma bite dans sa bouche, ce qui me procure encore plus de sensations.
Je découvre mes yeux pour voir ce qu’il fait, comment il fait ! Car je veux pouvoir redonner le même plaisir à Lucas un peu plus tard.
J’observe les mouvements amples de sa tête et me surprends à donner de petits coups de bassin involontaires pour qu’il prenne davantage mon sexe en bouche. Puis, je lui passe la main dans les cheveux, les agrippe presque et commence à dicter le rythme qui me convient. Un rythme extrêmement rapide, à tel point que je me demande comment Lucas parvient à reprendre son souffle. Mais il ne s’en plaint pas : il continue à me pomper encore et encore, donnant de plus en plus d’ardeur à la tâche, tétant mon gland gonflé par le plaisir de cette première fellation, masturbant frénétiquement ma verge large et virile.
Je sens tout à coup monter en moi la même vague de plaisir que ce matin, ce tsunami qui a tout emporté sur son passage et je sais désormais ce qu’il signifie.
J : Lucas, arrête ! Ça va sortir !
Mais Lucas n’arrête pas, bien au contraire… Il continue à faire entrer en lui mon sexe qui tressaille sous la montée de la semence dans mon membre. J’essaye de pousser la tête de Lucas, d’en sortir mon sexe mais il le laisse fermement dans sa bouche et je ne peux que me résigner à déverser le témoignage de mon excitation entre ses lèvres gourmandes.
Nous atteignons finalement notre hôtel.
L : Putain, j’trouve plus les clés… Arrête de m’embrasser, j’arrive pas à regarder dans mon sac !
Mais je continue à embrasser mon Lucas, je ne veux plus quitter sa bouche, plus quitter ses lèvres…
Il finit par mettre la main sur les clés et en introduit une dans la serrure. Une fois entrés, nous montons au plus vite les escaliers et courons dans le couloir qui mène à notre chambre.
Nous finissons par y entrer. Lucas me plaque contre la porte qu’il referme derrière nous et se met à embrasser fougueusement mon cou en serrant son corps contre le mien. Puis il s’éloigne de quelques centimètres, m’attrape par le col de la chemise et me fait venir vers lui. Il pivote ensuite sur le côté et me pousse pour que je tombe sur le lit.
Je regarde mon bel Apollon enlever ses chaussures et son pull, puis venir me rejoindre à quatre pattes sur le matelas.
Nous ne sommes éclairés que par la lumière de la Lune que l’on peut voir à travers la fenêtre de la chambre mais comme je veux pouvoir admirer son corps à mon gré, je me retourne et rampe sur le lit pour atteindre l’interrupteur de la lampe de chevet.
Mais Lucas s’amuse à s’agripper à ma ceinture et à m’attirer vers lui pour m’empêcher d’y arriver. Je me débats à plat ventre pour essayer d’avancer mais sa prise est ferme. Sans qu’il ne le remarque, je desserre un peu ma ceinture pour pouvoir quitter mon pantalon si Lucas continue à me tenir. Je pars de nouveau vers l’avant mais je ne me souviens plus que je porte un caleçon de Lucas, bien trop grand pour moi, et me retrouve à ramper sur le lit les fesses à l’air…
Quand je me retourne, ayant enfin allumé la lampe, je laisse fièrement le loisir à Lucas de contempler mon sexe qui commence tout doucement à se réveiller.
L : Alors ? Prêt pour cette nouvelle leçon ?
J : Et en quoi elle consiste ?
L : Bouge pas… On commence par la démonstration du maître…
Il se dirige vers sa valise et y trouve un petit caleçon noir.
Mais qu’est-ce qu’il veut faire avec ça ?
L : Tiens, allonge-toi complètement, enlève ta chemise et mets ça sur tes yeux… Attention ! Ne triche pas !
Devant mon regard méfiant, il ajoute :
L : Allez, on obéit ! Et plus vite que ça ! Sinon j’écris un mot à tes parents pour leur dire que tu n’écoutes pas bien tes leçons !
Amusé, je pose son caleçon sur mes yeux et me détends.
Je sens ses mains qui remontent tout doucement sur mes cuisses, puis sa bouche qui vient se poser sur mon nombril et sa langue qui s’y introduit. Ses doigts se rapprochent petit à petit de mon sexe mais le contourne finalement pour venir sur mes côtes et sur mes pectoraux. Puis c’est sa tête qui remonte elle aussi : mon ventre, mon torse, mes tétons…
Par moment, avec ma main, je soulève un peu le boxer qui me couvre les yeux pour observer ce que fait Lucas mais je reçois systématiquement un regard désapprobateur et une petite tape en riant pour que je remette le sous-vêtement en place.
L : P’tit tricheur !
Mais j’veux savoir, moi ! C’est pô juste !
Je me résous donc à rester dans le noir pendant qu’il parcourt mon corps.
Mon sexe a bien sûr retrouver son garde-à-vous désormais habituel, le gland venant toucher le bas de mon nombril.
Lucas reprend ses activités. Sa langue vient se perdre sur mes épaules, puis entre mes pectoraux, redescends vers mon nombril et s’approche petit à petit de mon sexe dont il caresse désormais les testicules.
Il va quand même pas…
Sa bouche vient tout doucement déposer de petits baisers sur ma verge en commençant par le bas, puis en remontant petit à petit jusqu’à mon gland.
Oh putain, c’est trop bon !
Mon sexe devient encore plus dur qu’il l’était et je sens l’émotion qui m’envahit.
Quand sa bouche vient se poser sur mon frein, je sens le bout de sa petite langue venir s’échapper d’entre ses lèvres et titiller cette zone si sensible.
L : T’es prêt Jules ?
J : Prêt à quoi ?
Il engloutit alors mon gland d’un coup, me laissant à peine le temps de répondre à sa question. Je ne peux m’empêcher de pousser un grand « Haaaaan » dû au plaisir qu’il me procure. Il s’est emparé de ma verge avec sa main et la branle vigoureusement pendant que sa langue virevolte autour de ma queue tendue et vient aspirer les quelques gouttes de liquide qui s’échappent déjà de mon sexe. Il ne cesse de faire bouger sa tête de haut en bas et parfois enfonce davantage ma bite dans sa bouche, ce qui me procure encore plus de sensations.
Je découvre mes yeux pour voir ce qu’il fait, comment il fait ! Car je veux pouvoir redonner le même plaisir à Lucas un peu plus tard.
J’observe les mouvements amples de sa tête et me surprends à donner de petits coups de bassin involontaires pour qu’il prenne davantage mon sexe en bouche. Puis, je lui passe la main dans les cheveux, les agrippe presque et commence à dicter le rythme qui me convient. Un rythme extrêmement rapide, à tel point que je me demande comment Lucas parvient à reprendre son souffle. Mais il ne s’en plaint pas : il continue à me pomper encore et encore, donnant de plus en plus d’ardeur à la tâche, tétant mon gland gonflé par le plaisir de cette première fellation, masturbant frénétiquement ma verge large et virile.
Je sens tout à coup monter en moi la même vague de plaisir que ce matin, ce tsunami qui a tout emporté sur son passage et je sais désormais ce qu’il signifie.
J : Lucas, arrête ! Ça va sortir !
Mais Lucas n’arrête pas, bien au contraire… Il continue à faire entrer en lui mon sexe qui tressaille sous la montée de la semence dans mon membre. J’essaye de pousser la tête de Lucas, d’en sortir mon sexe mais il le laisse fermement dans sa bouche et je ne peux que me résigner à déverser le témoignage de mon excitation entre ses lèvres gourmandes.
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