Cours_(tres)_particuliers
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 30
Publié le 19/08/13 à 01:11:33 par Pseudo supprimé
:mac: Chapitre 30 :mac:
Raaa il m’a bien eu sur ce coup-là…
Je reste seul dans la salle de bains avec une trique d’enfer et l’ordre de me laver au plus vite…
Je commence par me savonner le haut du corps puis descends petit à petit vers mon sexe en érection que je commence à malaxer tout doucement. Je ne me lasse pas de cette toute nouvelle sensation mais me force à arrêter rapidement mes caresses pour me « préserver » car je sens que les jours à venir risquent d’être éprouvants pour les réserves accumulées depuis tant d’années…
Je passe ensuite les mains sur mes fesses, les écarte tout doucement et m’approche de cette zone que je n’ai jamais réellement osé explorer. Mon index s’arrête sur l’entrée, hésitant. J’appuie un petit peu, rien ne se passe. Un peu plus fort, je sens ma phalange qui commence à rentrer mais aussi une petite douleur. J’arrive finalement à y insérer le début de mon doigt et aime sentir les parois de mon rectum qui l’emprisonne en se resserrant autour de lui.
Je m’amuse à le retirer et à le replonger afin de m’habituer à cette sensation si nouvelle, si étrange mais si excitante…
Je me sens désormais prêt à enfoncer mon index un peu plus loin. Je me cambre davantage, viens poser ma main gauche sur la paroi et m’aperçois qu’une fois la première phalange passée, il n’y a plus vraiment de difficulté.
Me savoir avec un doigt dans le cul me fait rire et je m’amuse à le bouger afin d’avoir quelques sensations. J’essaye ensuite d’imiter ce que Lucas a fait en insérant mon majeur.
Mais là, impossible, j’ai beau essayé de forcer, ça ne rentre pas. Et en y allant plus fort, j’ai peur d’avoir mal. J’essaye de me représenter le sexe large et puissant de mon amoureux et me rends compte qu’il faudrait que je mette aisément trois de mes doigts pour arriver à accueillir sa queue entre mes fesses. Je pense alors à haute voix :
J : Mais ça rentrera jamais !
L : T’inquiète, on y arrivera…
Je me tourne vers la porte, surpris.
L : Tu croyais quand même pas que j’allais t’laisser prendre ta douche sans venir mater un peu ? Allez, viens par là.
Je m’approche de lui. Il se saisit d’une grande serviette blanche et m’enveloppe le torse et le dos avec, puis me tire vers lui. Blotti contre son corps, il me frotte tendrement, puis remonte la serviette sur mes cheveux. Mon sexe toujours à découvert, humide et terriblement dur, frotte contre son jean.
Puis Lucas se met à genoux, et me sèche tout d’abord les pieds, puis les jambes, les cuisses et remonte jusqu’à mon membre tendu. Il exerce des va-et-vient à l’aide de la serviette, de plus en plus rapides et de plus en plus amples. Puis, alors que je suis terriblement excité, il me dit de me tourner. Je lui laisse alors une vue imprenable sur mes petites fesses rebondies. Il s’applique à passer la serviette méticuleusement sur le moindre centimètre carré de celles-ci et, par moment, ses doigts viennent directement au contact de ma peau.
L : Maintenant, penche-toi en avant.
J’obéis à ses ordres et je sens la serviette descendre tout doucement le long de ma raie humide, puis s’arrêter sur mon anus et y exercer une légère pression.
L : Allez, on y va maintenant…
Et Lucas me laisse une nouvelle fois planté là, au bord de l’éjaculation, avec pour mot d’ordre de m’habiller prestement.
Tu vas le regretter, toi… Tu vas voir…
Durant tout le trajet, je ne dis pas un seul mot, répondant par des grognements affirmatifs ou négatifs au grand dam de Lucas qui essaie de me faire parler.
Même quand je remarque qu’il se trompe de direction et ne suit plus les indications fournies par le GPS, je continue obstinément à me taire et à le laisser critiquer le manque de clarté des panneaux routiers allemands.
L : Mais putain Jules, aide-moi ! Tu vois bien que j’suis paumé !
J : …
L : Mais qu’est-ce qu’il y a ?
J : …
L : Roo ! Je sais que c’était pas très drôle de t’avoir laissé en plan dans la salle de bains comme ça…
J : Deux fois !
L : Ha ben tu vois qu’tu parles ! Et tu souris en plus !
Hé merde ! Bon, allez, je reboude avant qu’il ne s’aperçoive que je simule depuis l’début !
J : …
L : J’me demande bien comment j’pourrais m’faire pardonner…
J’aurais bien une petite idée moi…
Ha non, mais il va pas oser ! Pas là ! Pas en conduisant !
La main de Lucas s’approche de mon pantalon.
L : Viens un peu sur la gauche.
Il met la main sur mon paquet et tire dessus pour m’obliger à me décaler sur mon siège.
Il s’amuse ensuite à malaxer doucement mon entrejambe pour que mon sexe retrouve sa vigueur perdue. Puis il glisse ses doigts jusqu’à ma braguette et la descend doucement.
De mon côté, je fixe la route, inquiet par la conduite de Lucas. Mais il arrive à gérer les deux activités à merveille : me tripoter d’une main, naviguer dans le trafic routier allemand de l’autre main. Il se paye même le luxe de mettre son clignotant pour doubler…
Ses doigts viennent maintenant s’infiltrer dans mon pantalon, à la recherche de l’ouverture de mon caleçon. Après quelques essais infructueux, je sens sa peau et ses ongles toucher la base de mon sexe tendu.
Il arrive difficilement à sortir ma bite à l’air libre et je deviens rouge de honte à l’idée que les personnes se trouvant dans les cars, dans les camions ou même dans les voitures qui nous dépassent, puissent voir toute mon anatomie.
Il commence alors ses longs aller-retour sur ma verge qui me font tant d’effet, dépose de la salive sur ses doigts pour qu’ils glissent mieux sur ma peau et finit par adopter une cadence et une force infernales qui me font éjaculer en un temps record.
Heureusement pour mes vêtements, Lucas recouvre mon gland de sa main au moment de la libération de mon sperme et évite ainsi qu’une grande partie des projections ne se répandent tout autour de mon sexe.
Je pars à la recherche d’un paquet de mouchoirs dans mon sac à dos et essuie tranquillement ma verge ainsi que la main de mon conducteur.
L : Laisses-en un peu…
Alors que je m’apprête à finir de nettoyer, Lucas approche ses doigts de ma bouche et m’invite à goûter mon propre sperme. J’avance timidement mes lèvres mais finis par en ingurgiter une petite quantité. Le goût est peut-être légèrement différent du sien mais n’est pas vraiment agréable malgré tout.
Lucas s’empresse alors d’en faire autant, au moment même où nous franchissons la pancarte de notre nouvelle étape : Nuremberg.
Raaa il m’a bien eu sur ce coup-là…
Je reste seul dans la salle de bains avec une trique d’enfer et l’ordre de me laver au plus vite…
Je commence par me savonner le haut du corps puis descends petit à petit vers mon sexe en érection que je commence à malaxer tout doucement. Je ne me lasse pas de cette toute nouvelle sensation mais me force à arrêter rapidement mes caresses pour me « préserver » car je sens que les jours à venir risquent d’être éprouvants pour les réserves accumulées depuis tant d’années…
Je passe ensuite les mains sur mes fesses, les écarte tout doucement et m’approche de cette zone que je n’ai jamais réellement osé explorer. Mon index s’arrête sur l’entrée, hésitant. J’appuie un petit peu, rien ne se passe. Un peu plus fort, je sens ma phalange qui commence à rentrer mais aussi une petite douleur. J’arrive finalement à y insérer le début de mon doigt et aime sentir les parois de mon rectum qui l’emprisonne en se resserrant autour de lui.
Je m’amuse à le retirer et à le replonger afin de m’habituer à cette sensation si nouvelle, si étrange mais si excitante…
Je me sens désormais prêt à enfoncer mon index un peu plus loin. Je me cambre davantage, viens poser ma main gauche sur la paroi et m’aperçois qu’une fois la première phalange passée, il n’y a plus vraiment de difficulté.
Me savoir avec un doigt dans le cul me fait rire et je m’amuse à le bouger afin d’avoir quelques sensations. J’essaye ensuite d’imiter ce que Lucas a fait en insérant mon majeur.
Mais là, impossible, j’ai beau essayé de forcer, ça ne rentre pas. Et en y allant plus fort, j’ai peur d’avoir mal. J’essaye de me représenter le sexe large et puissant de mon amoureux et me rends compte qu’il faudrait que je mette aisément trois de mes doigts pour arriver à accueillir sa queue entre mes fesses. Je pense alors à haute voix :
J : Mais ça rentrera jamais !
L : T’inquiète, on y arrivera…
Je me tourne vers la porte, surpris.
L : Tu croyais quand même pas que j’allais t’laisser prendre ta douche sans venir mater un peu ? Allez, viens par là.
Je m’approche de lui. Il se saisit d’une grande serviette blanche et m’enveloppe le torse et le dos avec, puis me tire vers lui. Blotti contre son corps, il me frotte tendrement, puis remonte la serviette sur mes cheveux. Mon sexe toujours à découvert, humide et terriblement dur, frotte contre son jean.
Puis Lucas se met à genoux, et me sèche tout d’abord les pieds, puis les jambes, les cuisses et remonte jusqu’à mon membre tendu. Il exerce des va-et-vient à l’aide de la serviette, de plus en plus rapides et de plus en plus amples. Puis, alors que je suis terriblement excité, il me dit de me tourner. Je lui laisse alors une vue imprenable sur mes petites fesses rebondies. Il s’applique à passer la serviette méticuleusement sur le moindre centimètre carré de celles-ci et, par moment, ses doigts viennent directement au contact de ma peau.
L : Maintenant, penche-toi en avant.
J’obéis à ses ordres et je sens la serviette descendre tout doucement le long de ma raie humide, puis s’arrêter sur mon anus et y exercer une légère pression.
L : Allez, on y va maintenant…
Et Lucas me laisse une nouvelle fois planté là, au bord de l’éjaculation, avec pour mot d’ordre de m’habiller prestement.
Tu vas le regretter, toi… Tu vas voir…
Durant tout le trajet, je ne dis pas un seul mot, répondant par des grognements affirmatifs ou négatifs au grand dam de Lucas qui essaie de me faire parler.
Même quand je remarque qu’il se trompe de direction et ne suit plus les indications fournies par le GPS, je continue obstinément à me taire et à le laisser critiquer le manque de clarté des panneaux routiers allemands.
L : Mais putain Jules, aide-moi ! Tu vois bien que j’suis paumé !
J : …
L : Mais qu’est-ce qu’il y a ?
J : …
L : Roo ! Je sais que c’était pas très drôle de t’avoir laissé en plan dans la salle de bains comme ça…
J : Deux fois !
L : Ha ben tu vois qu’tu parles ! Et tu souris en plus !
Hé merde ! Bon, allez, je reboude avant qu’il ne s’aperçoive que je simule depuis l’début !
J : …
L : J’me demande bien comment j’pourrais m’faire pardonner…
J’aurais bien une petite idée moi…
Ha non, mais il va pas oser ! Pas là ! Pas en conduisant !
La main de Lucas s’approche de mon pantalon.
L : Viens un peu sur la gauche.
Il met la main sur mon paquet et tire dessus pour m’obliger à me décaler sur mon siège.
Il s’amuse ensuite à malaxer doucement mon entrejambe pour que mon sexe retrouve sa vigueur perdue. Puis il glisse ses doigts jusqu’à ma braguette et la descend doucement.
De mon côté, je fixe la route, inquiet par la conduite de Lucas. Mais il arrive à gérer les deux activités à merveille : me tripoter d’une main, naviguer dans le trafic routier allemand de l’autre main. Il se paye même le luxe de mettre son clignotant pour doubler…
Ses doigts viennent maintenant s’infiltrer dans mon pantalon, à la recherche de l’ouverture de mon caleçon. Après quelques essais infructueux, je sens sa peau et ses ongles toucher la base de mon sexe tendu.
Il arrive difficilement à sortir ma bite à l’air libre et je deviens rouge de honte à l’idée que les personnes se trouvant dans les cars, dans les camions ou même dans les voitures qui nous dépassent, puissent voir toute mon anatomie.
Il commence alors ses longs aller-retour sur ma verge qui me font tant d’effet, dépose de la salive sur ses doigts pour qu’ils glissent mieux sur ma peau et finit par adopter une cadence et une force infernales qui me font éjaculer en un temps record.
Heureusement pour mes vêtements, Lucas recouvre mon gland de sa main au moment de la libération de mon sperme et évite ainsi qu’une grande partie des projections ne se répandent tout autour de mon sexe.
Je pars à la recherche d’un paquet de mouchoirs dans mon sac à dos et essuie tranquillement ma verge ainsi que la main de mon conducteur.
L : Laisses-en un peu…
Alors que je m’apprête à finir de nettoyer, Lucas approche ses doigts de ma bouche et m’invite à goûter mon propre sperme. J’avance timidement mes lèvres mais finis par en ingurgiter une petite quantité. Le goût est peut-être légèrement différent du sien mais n’est pas vraiment agréable malgré tout.
Lucas s’empresse alors d’en faire autant, au moment même où nous franchissons la pancarte de notre nouvelle étape : Nuremberg.
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