Cours_(tres)_particuliers
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 24
Petit coquin
Publié le 19/08/13 à 01:11:33 par Pseudo supprimé
:mac: Chapitre 24 : Petit coquin ! :mac:
L : Allez, mon grand, va prendre une petite douche qu’on puisse partir… On a quand même de la route à faire avant Stuttgart.
J : Pas question.
L : Comment ça « pas question » ?
J : Ben j’prends pas d’douche… En tout cas... pas sans toi…
L : Hmmm petit coquin… Allez, passe devant, j’te suis…
Jules se lève, toujours totalement nu, son sexe désormais au repos qui se balance entre ses jambes. Qu’il est impressionnant ce sexe d’ailleurs… Le surnom donné par Étienne est vraiment approprié. Ce n’est pas que son sexe soit anormalement long et large, mais, compte tenu de son physique beaucoup plus juvénile que son âge réel, le contraste est saisissant.
Il pénètre dans la salle de bains et me laisse au passage une magnifique vue sur son dos et sur ses deux petites fesses bien rondes que je n’ai pas encore eu le plaisir de toucher…
Mais je compte bien me rattraper.
Je me lève, toujours vêtu uniquement de mon boxer noir, et rejoins Jules dans la salle de bains.
Il a déjà mis les deux pieds dans le bac de douche et sa nudité ne semble absolument plus le gêner. Il est tourné vers moi, m’offrant la vision merveilleuse de son corps. Son torse fin et musclé, sa peau légèrement bronzée, son ventre ferme aux abdos apparents, sa belle queue longue et large, et surmontée d’une très légère couche de poils, ses deux bourses légèrement pendantes, ses cuisses musclées et ses beaux petits pieds.
Je m’apprête à le rejoindre dans la douche et à me débarrasser de mon boxer quand il me dit :
J : Attends ! Ne bouge surtout pas.
J’obéis à ses ordres et m’appuie sur le lavabo pour le regarder.
Il se saisit alors du pommeau de douche et met en marche l’eau.
Je commence à me lever car j’ai très envie de le rejoindre mais il me fait à nouveau signe de ne pas bouger.
Il commence par placer le jet au-dessus de sa tête. L’eau ruisselle dans ses cheveux et sur son visage. Je ne peux m’empêcher d’observer le filet d’eau qui continue à s’écouler sur son petit corps si craquant. Voir l’eau se glisser entre ses deux pectoraux bien fermes, parcourir le ventre plat et s’arrêter l’espace d’un instant dans son nombril puis venir couler le long de sa verge.
Haaa, tu veux m’exciter mon p’tit salaud !
Il laisse le pommeau quelques instants et s’empare du flacon de gel douche pour en déposer une noisette dans sa paume. Il fait couler à nouveau l’eau sur son corps et commence à se savonner tout doucement, sensuellement, en levant la tête de temps à autre et en ondulant du bassin au rythme de ses caresses. De temps en temps, il me lance un regard coquin en entrouvrant la bouche. Puis il passe la main sur son sexe et commence à se toucher cette partie de son anatomie
L : Jules, j’en peux plus…
J : Patience, mon grand… Laisse faire ton élève…
Inutile de dire que mon sexe tambourine à la porte de mon boxer pour qu’on le libère.
Fais-moi sortir Lucas, fais-moi sortir ! S’il-te-plaît !!
Jules se tourne alors et me laisse admirer ses fesses en se tortillant un petit peu. Il accroche le pommeau et se cambre un grand coup en venant poser ses mains sur la paroi de la douche en face de lui.
Sous ses fesses ruisselantes, je peux voir ses bourses pendre et son sexe dépasser.
Il passe ensuite sa main sur son beau petit cul et réussit à se cambrer encore davantage.
Adossé au lavabo, je suis dans un état lamentable. Je n’ai jamais connu une si grande excitation, une si grande envie de le rejoindre et de lui montrer tout mon amour, toute ma passion…
Il se tourne alors de nouveau vers moi et me fait un petit sourire…
J : J’ai essayé… Je sais pas si c’était bien…
T’imagines même pas à quel point mon grand… Deux minutes de plus et mon caleçon était aussi humide que si j’m’étais jeté dans l’grand bassin…
L : Je t’assure, c’était très très très bien… Je peux te rejoindre maintenant ?
Il me fait un petit signe de tête. Je baisse mon caleçon et constate qu’il a les yeux braqués sur mon sexe, ce qui est bien normal après tout.
Je m’approche tout doucement de lui et monte à mon tour dans le bac de douche. Je me saisis du pommeau et colle mon corps au sien. Je place le jet d’eau brûlante au-dessus de nos deux têtes et observe le visage d’ange qui me regarde.
Il se met sur la pointe des pieds et me dépose un petit baiser sur les lèvres. Puis il pose sa tête contre mon cœur et m’enlace de ses bras.
J : Je suis bien là, avec toi… Tu peux pas imaginer ce que c’est ma vie à la maison…
L : J’ai cru m’en rendre compte un petit peu… Mais maintenant je suis là, et je ne te laisserai jamais, je te le promets…
Nous nous embrassons à nouveau et nos corps se frottent de plus en plus l’un à l’autre…
Je sens que son sexe à retrouver la vigueur passée et que le mien est toujours au garde-à-vous.
L : Ça te dit de recommencer ce qu’on a fait tout à l’heure ?
Son regard malicieux me suffit comme réponse.
L : Mais on change un peu les règles ce coup-ci… Donne-moi ta main.
Je saisis son poignet et viens placer ses doigts sur mon sexe. Je sens qu’il tremble, que sa prise n’est pas ferme.
L : T’inquiète pas…
J : J’ai peur de te faire mal…
L : T’en fais pas, j’te l’dirai si ça va pas. Vas-y, fais comme tout à l’heure, comme si c’était le tien.
Il commence alors à faire coulisser ma queue entre ses doigts inexperts. Je guide son poignet pour lui imposer le rythme qui me convient et resserre la prise de ses doigts autour de mon sexe pour lui montrer qu’il n’a pas à être inquiet.
Je saisis à mon tour son sexe tendu et lui applique des mouvements similaires.
J : Oh putain Lucas, c’est trop bon !
L’eau coule toujours sur nos deux corps tendus par l’excitation et notre amour naissant. En quelques minutes, je sens que Jules arrive à un point de non-retour et il place sa main gauche sur mon épaule pour garder l’équilibre lorsque sa semence sort pour la deuxième fois de la verge que je tiens entre les mains.
Jules ne cesse pas pour autant les aller-retour sur mon sexe et je vois à ses yeux qu’il tient absolument à ce que j’éprouve le même plaisir que lui.
Mon regard se perd dans le sien et je déverse entre ses doigts le fruit du bonheur que sa présence me procure...
L : Allez, mon grand, va prendre une petite douche qu’on puisse partir… On a quand même de la route à faire avant Stuttgart.
J : Pas question.
L : Comment ça « pas question » ?
J : Ben j’prends pas d’douche… En tout cas... pas sans toi…
L : Hmmm petit coquin… Allez, passe devant, j’te suis…
Jules se lève, toujours totalement nu, son sexe désormais au repos qui se balance entre ses jambes. Qu’il est impressionnant ce sexe d’ailleurs… Le surnom donné par Étienne est vraiment approprié. Ce n’est pas que son sexe soit anormalement long et large, mais, compte tenu de son physique beaucoup plus juvénile que son âge réel, le contraste est saisissant.
Il pénètre dans la salle de bains et me laisse au passage une magnifique vue sur son dos et sur ses deux petites fesses bien rondes que je n’ai pas encore eu le plaisir de toucher…
Mais je compte bien me rattraper.
Je me lève, toujours vêtu uniquement de mon boxer noir, et rejoins Jules dans la salle de bains.
Il a déjà mis les deux pieds dans le bac de douche et sa nudité ne semble absolument plus le gêner. Il est tourné vers moi, m’offrant la vision merveilleuse de son corps. Son torse fin et musclé, sa peau légèrement bronzée, son ventre ferme aux abdos apparents, sa belle queue longue et large, et surmontée d’une très légère couche de poils, ses deux bourses légèrement pendantes, ses cuisses musclées et ses beaux petits pieds.
Je m’apprête à le rejoindre dans la douche et à me débarrasser de mon boxer quand il me dit :
J : Attends ! Ne bouge surtout pas.
J’obéis à ses ordres et m’appuie sur le lavabo pour le regarder.
Il se saisit alors du pommeau de douche et met en marche l’eau.
Je commence à me lever car j’ai très envie de le rejoindre mais il me fait à nouveau signe de ne pas bouger.
Il commence par placer le jet au-dessus de sa tête. L’eau ruisselle dans ses cheveux et sur son visage. Je ne peux m’empêcher d’observer le filet d’eau qui continue à s’écouler sur son petit corps si craquant. Voir l’eau se glisser entre ses deux pectoraux bien fermes, parcourir le ventre plat et s’arrêter l’espace d’un instant dans son nombril puis venir couler le long de sa verge.
Haaa, tu veux m’exciter mon p’tit salaud !
Il laisse le pommeau quelques instants et s’empare du flacon de gel douche pour en déposer une noisette dans sa paume. Il fait couler à nouveau l’eau sur son corps et commence à se savonner tout doucement, sensuellement, en levant la tête de temps à autre et en ondulant du bassin au rythme de ses caresses. De temps en temps, il me lance un regard coquin en entrouvrant la bouche. Puis il passe la main sur son sexe et commence à se toucher cette partie de son anatomie
L : Jules, j’en peux plus…
J : Patience, mon grand… Laisse faire ton élève…
Inutile de dire que mon sexe tambourine à la porte de mon boxer pour qu’on le libère.
Fais-moi sortir Lucas, fais-moi sortir ! S’il-te-plaît !!
Jules se tourne alors et me laisse admirer ses fesses en se tortillant un petit peu. Il accroche le pommeau et se cambre un grand coup en venant poser ses mains sur la paroi de la douche en face de lui.
Sous ses fesses ruisselantes, je peux voir ses bourses pendre et son sexe dépasser.
Il passe ensuite sa main sur son beau petit cul et réussit à se cambrer encore davantage.
Adossé au lavabo, je suis dans un état lamentable. Je n’ai jamais connu une si grande excitation, une si grande envie de le rejoindre et de lui montrer tout mon amour, toute ma passion…
Il se tourne alors de nouveau vers moi et me fait un petit sourire…
J : J’ai essayé… Je sais pas si c’était bien…
T’imagines même pas à quel point mon grand… Deux minutes de plus et mon caleçon était aussi humide que si j’m’étais jeté dans l’grand bassin…
L : Je t’assure, c’était très très très bien… Je peux te rejoindre maintenant ?
Il me fait un petit signe de tête. Je baisse mon caleçon et constate qu’il a les yeux braqués sur mon sexe, ce qui est bien normal après tout.
Je m’approche tout doucement de lui et monte à mon tour dans le bac de douche. Je me saisis du pommeau et colle mon corps au sien. Je place le jet d’eau brûlante au-dessus de nos deux têtes et observe le visage d’ange qui me regarde.
Il se met sur la pointe des pieds et me dépose un petit baiser sur les lèvres. Puis il pose sa tête contre mon cœur et m’enlace de ses bras.
J : Je suis bien là, avec toi… Tu peux pas imaginer ce que c’est ma vie à la maison…
L : J’ai cru m’en rendre compte un petit peu… Mais maintenant je suis là, et je ne te laisserai jamais, je te le promets…
Nous nous embrassons à nouveau et nos corps se frottent de plus en plus l’un à l’autre…
Je sens que son sexe à retrouver la vigueur passée et que le mien est toujours au garde-à-vous.
L : Ça te dit de recommencer ce qu’on a fait tout à l’heure ?
Son regard malicieux me suffit comme réponse.
L : Mais on change un peu les règles ce coup-ci… Donne-moi ta main.
Je saisis son poignet et viens placer ses doigts sur mon sexe. Je sens qu’il tremble, que sa prise n’est pas ferme.
L : T’inquiète pas…
J : J’ai peur de te faire mal…
L : T’en fais pas, j’te l’dirai si ça va pas. Vas-y, fais comme tout à l’heure, comme si c’était le tien.
Il commence alors à faire coulisser ma queue entre ses doigts inexperts. Je guide son poignet pour lui imposer le rythme qui me convient et resserre la prise de ses doigts autour de mon sexe pour lui montrer qu’il n’a pas à être inquiet.
Je saisis à mon tour son sexe tendu et lui applique des mouvements similaires.
J : Oh putain Lucas, c’est trop bon !
L’eau coule toujours sur nos deux corps tendus par l’excitation et notre amour naissant. En quelques minutes, je sens que Jules arrive à un point de non-retour et il place sa main gauche sur mon épaule pour garder l’équilibre lorsque sa semence sort pour la deuxième fois de la verge que je tiens entre les mains.
Jules ne cesse pas pour autant les aller-retour sur mon sexe et je vois à ses yeux qu’il tient absolument à ce que j’éprouve le même plaisir que lui.
Mon regard se perd dans le sien et je déverse entre ses doigts le fruit du bonheur que sa présence me procure...
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