Comment Chloé squatta ma vie...
Par : OminiousO
Genre : Sentimental
Status : Terminée
Note :
Chapitre 10
Douce appréhension
Publié le 15/12/12 à 17:24:30 par OminiousO
En y repensant, cet enchaînement de circonstances n’était-elle pas l’œuvre d’une volonté supérieure qui voulait que nous nous rapprochions ? Les deux cœurs perdus que nous étions ( ).
Voulait-il que ces deux êtres s’unissent ? Ne m’avait-elle pas déjà offerte son âme en me la dévoilant ?
Il ne restait plus qu’à unir nos deux corps par une étreinte passionnelle en cette nuit marquée par la causalité.
Une force supérieure l’avait décidé ainsi: je n’ai jamais demandé d’aller dans ce magasin, je n’ai pas commandé la pluie, et encore moins planifié notre escale dans cet hôtel.
Je me résolus donc à accomplir mon destin, et cela en toute sécurité.
Il me fallait donc aller quérir un moyen de contraception bon marché, fiable et peu incommodant (une capote quoi). Il se devait d’y en avoir dans des endroits comme celui-ci.
Je sortis donc, pendant que Chloé était toujours occupée dans la salle de bain. Arrivé devant la machine, j’eus une désagréable sensation de remords, j’avais l’estomac noué. Cette sensation qu’on a quand on réalise que faire quelque chose est plus difficile à faire lorsque ce n’est plus dans la tête.
Je me souvins alors d’un excellent documentaire vidéo traitant de la réaction 'bitch-butterfly', et je décidai que je serais une bitch no more et que je devais me lancer, même en ayant le butterfly.
Je retournai donc à la chambre, le courage pris à deux mains. Mon cœur battait à 100 à la seconde (léthal si ça n’avait pas été une figure de style).
J’ouvris la porte, il faisait noir, Chloé était allongée sur le lit...
Voulait-il que ces deux êtres s’unissent ? Ne m’avait-elle pas déjà offerte son âme en me la dévoilant ?
Il ne restait plus qu’à unir nos deux corps par une étreinte passionnelle en cette nuit marquée par la causalité.
Une force supérieure l’avait décidé ainsi: je n’ai jamais demandé d’aller dans ce magasin, je n’ai pas commandé la pluie, et encore moins planifié notre escale dans cet hôtel.
Je me résolus donc à accomplir mon destin, et cela en toute sécurité.
Il me fallait donc aller quérir un moyen de contraception bon marché, fiable et peu incommodant (une capote quoi). Il se devait d’y en avoir dans des endroits comme celui-ci.
Je sortis donc, pendant que Chloé était toujours occupée dans la salle de bain. Arrivé devant la machine, j’eus une désagréable sensation de remords, j’avais l’estomac noué. Cette sensation qu’on a quand on réalise que faire quelque chose est plus difficile à faire lorsque ce n’est plus dans la tête.
Je me souvins alors d’un excellent documentaire vidéo traitant de la réaction 'bitch-butterfly', et je décidai que je serais une bitch no more et que je devais me lancer, même en ayant le butterfly.
Je retournai donc à la chambre, le courage pris à deux mains. Mon cœur battait à 100 à la seconde (léthal si ça n’avait pas été une figure de style).
J’ouvris la porte, il faisait noir, Chloé était allongée sur le lit...
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