Note de la fic : 
Publié le 29/11/2012 à 20:51:31 par Diabolo
J'observe longtemps le plafond.
C'est le klaxon d'un camion qui me fait brutalement tomber de mon lit et revenir à la réalité. Je me remémore la violente raclée que j'ai subis hier grâce à mon mollet endommagé. Et Clém. Je revoit son visage, il l'a poussée à terre, et si elle s'était fait mal... ?
Je frappe rageusement mon matelas, détruisant trois lattes à travers celui-ci. J’attrape un coin de l'oreiller que je fait tourner dans les airs et qui finit pas atterrir contre la vitre. Je mets un coup de pied dans un tas de fringues avant de pousser la table de nuit par terre. Je hurle en abattant mon poing sur le mur. Je me glisse le long du mur et me recroqueville en serrant les dents. Je tends l’oreille pour écouter mon père qui fulmine.
- Hé Hulk ! Détruit pas l’hôtel, tu veux ?
- Ta gueule !
- Quoi ?!
Je me relève et ouvre violemment la porte pour venir lui crier plus près.
- J'ai dit ta...
La paume de la main de mon père fouette ma joue.
- Je fait tout pour toi et c'est comme ça que tu me remercie ?
- On à pas la même notion du mot « tout », je marmonne.
- Bon allez on arrête. Ce soir t'as une autre commande et demain aussi. Nettoie moi tes blessures, j'ai une surprise pour toi.
- Moins explosive que celle d'hier soir ?
- Oui.
Je n'aurais jamais pu deviner ce que mon père allait me sortir. Et pourtant c'était un cadeau alléchant pour quelqu'un d'aussi... impulsif que moi.
J'ai longtemps étudié le poing américain qu'il m'a offert, je l'ai enfilé et testé, fier du résultat destructeur. Il m'a dit que c'était pour les prochaines commandes car j'entrai dans la cour des grands mais aussi pour les deux ou trois gamins qui voulaient m'emmerder.
La commande de ce soir était simple, le client à disparu dès qu'il m'a donné l'argent, légèrement apeuré.
Depuis quelques jours je vis chez mon père après une violente engueulade avec ma mère. Je vais au lycée mais je reste assez réservé. Clem se rapproche un peu de moi malgré qu'elle soit toujours aussi mystérieuse. Elle avait même comme projet de quitter son copain officiel. J’étais assez heureux entre le sport, la came et ma copine.
Jusqu'à aujourd'hui.
C'est le klaxon d'un camion qui me fait brutalement tomber de mon lit et revenir à la réalité. Je me remémore la violente raclée que j'ai subis hier grâce à mon mollet endommagé. Et Clém. Je revoit son visage, il l'a poussée à terre, et si elle s'était fait mal... ?
Je frappe rageusement mon matelas, détruisant trois lattes à travers celui-ci. J’attrape un coin de l'oreiller que je fait tourner dans les airs et qui finit pas atterrir contre la vitre. Je mets un coup de pied dans un tas de fringues avant de pousser la table de nuit par terre. Je hurle en abattant mon poing sur le mur. Je me glisse le long du mur et me recroqueville en serrant les dents. Je tends l’oreille pour écouter mon père qui fulmine.
- Hé Hulk ! Détruit pas l’hôtel, tu veux ?
- Ta gueule !
- Quoi ?!
Je me relève et ouvre violemment la porte pour venir lui crier plus près.
- J'ai dit ta...
La paume de la main de mon père fouette ma joue.
- Je fait tout pour toi et c'est comme ça que tu me remercie ?
- On à pas la même notion du mot « tout », je marmonne.
- Bon allez on arrête. Ce soir t'as une autre commande et demain aussi. Nettoie moi tes blessures, j'ai une surprise pour toi.
- Moins explosive que celle d'hier soir ?
- Oui.
Je n'aurais jamais pu deviner ce que mon père allait me sortir. Et pourtant c'était un cadeau alléchant pour quelqu'un d'aussi... impulsif que moi.
J'ai longtemps étudié le poing américain qu'il m'a offert, je l'ai enfilé et testé, fier du résultat destructeur. Il m'a dit que c'était pour les prochaines commandes car j'entrai dans la cour des grands mais aussi pour les deux ou trois gamins qui voulaient m'emmerder.
La commande de ce soir était simple, le client à disparu dès qu'il m'a donné l'argent, légèrement apeuré.
Depuis quelques jours je vis chez mon père après une violente engueulade avec ma mère. Je vais au lycée mais je reste assez réservé. Clem se rapproche un peu de moi malgré qu'elle soit toujours aussi mystérieuse. Elle avait même comme projet de quitter son copain officiel. J’étais assez heureux entre le sport, la came et ma copine.
Jusqu'à aujourd'hui.