24 heures avant de mourir
Par : Kom_T_Tristounet
Genre : Réaliste , Sentimental
Status : Terminée
Note :
Chapitre 4
4
Publié le 24/08/12 à 23:34:20 par Kom_T_Tristounet
7h33
Jean Théopolde ne répondit pas au sms, pourtant il se grouilla pour aller prendre le bus... En effet, il souhaitait passer cette dernière journée au lycée, comme toutes les autres. Il avait pensé rester toute la journée sur le PC, mais ça l'aurait sûrement attristé plus qu'autre chose de partager de bons moments avec ses camarades virtuels, en sachant que ce seraient les derniers
Lorsqu'il arriva à l'arrêt de bus, celui ci s'apprêtait à partir, les portes étaient déjà fermés. Il courra et arriva au niveau de la porte avant, ll donna alors de grand coup dans cette dernière pour contraindre le chauffeur à prendre en considération son retard, celui-ci ouvrit la porte, mais jeta un regard furieux à JT, le traitant de « jeune sauvageon insouciant ». JT ne releva pas l'insulte, ça n'était pas la première qu'on lui adressait, mais certainement une des plus polies
Il n'alla pas s'asseoir à côté de Pierre Bachir, mais il s'affala à la première rangé, encore tout essoufflé par la course qu'il avait effectué. Il était content d'avoir réussi à avoir le bus, c'était en quelque sorte, son premier succès depuis longtemps. Néanmoins, les réjouissances furent de courte durée, en effet, à sa droite, une jeune fille l'invita à aller se faire enculer si jamais le bus arrivait en retard par sa faute, car elle avait rendez vous avec son mec à 8h15.
Jean Théopolde avait laissé passé l'insulte du chauffeur, parce que c'était le chauffeur après tout, mais de quelle droit cette jeune inconnue le traitait comme ça ? Une paire de seins, aussi grosse soit elle, ne donnait pas tout les droits JT entreprit alors d'expliquer à la jeune effrontée que sa vie ne l'intéressait pas vraiment, et qu'a défaut de se faire enculer en cas de retard, il était bien disposé à se faire sucer si cela pouvait calmer les ardeurs guerrière de la jeune fille.
Cette dernière resta un moment sans répondre, puis insulta JT de tout les noms, ainsi que sa famille, ses ancêtres, ses chiens, et ses amis. Finalement, d'autres passagers prirent part à cet intéressant débat et le voyage se fit dans un joyeux bordel, pour la première fois de sa vie, Jean se trouvait au centre de l'intention de tout le monde, sauf de son pote Pierre Bachir qui feignait de ne pas le connaître.
A 8h10, soit 3 minutes avant l'heure normale et 5 avant le rdv de la jeune fille, le chauffeur lâcha tout le petit monde devant le bahut, en effet, ce dernier, excédé par le bordel dans son bus, avait grillé 3 feux rouge pour arriver le plus vite possible à destination, et se griller une clope.
JT se dépêcha alors de disparaître du champs de vision de la furie, car celle-ci se dirigeait promptement vers son mec pour chercher le soutien de ses poings contre la résistance que Jean avait offert lors de leur joute verbale
Il se mêla alors à un groupe de fumeur devant l'entré du lycée, le genre avec des dreads, des t shirt du ché, qui prétendent changer le monde en restant calé dans le canapé à fumé des joints, néanmoins, ces gens avaient l'avantage d'être relativement sympa avec tout le monde, mêmes les inconnus , et surtout, ils ne cherchaient pas à casser la gueule à Jean théopolde. Lorsque Pierre Bachir aperçu son pote avec les parias du lycée, il continua à faire comme si il n'existait pas, mais cela importait peu en fin de compte,
Jean se retrouvait au lycée, mais il ne savait pas vraiment quoi faire en réalité, bien sûr il songeait à aller parler à la fille qui avait occupé ses pensées pendant longtemps, mais pour lui dire quoi ? " Je t'aime, et je vais mourir "
devant son air crispé, un des types du groupe avec qui il avait trouvé refuge lui proposa une « cigarette » pour se détendre, JT accepta, bien qu'il n'avait jamais fumé auparavant. Ses toux déclenchèrent l'hilarité du groupe, et pour la deuxième fois en moins de 20 minutes, il se retrouvait encore au centre des intérêts...Ce qui dans le cas présent, ne l'arrangeait que moyennement vu que des gens cherchaient à lui péter la gueule...
Jean Théopolde ne répondit pas au sms, pourtant il se grouilla pour aller prendre le bus... En effet, il souhaitait passer cette dernière journée au lycée, comme toutes les autres. Il avait pensé rester toute la journée sur le PC, mais ça l'aurait sûrement attristé plus qu'autre chose de partager de bons moments avec ses camarades virtuels, en sachant que ce seraient les derniers
Lorsqu'il arriva à l'arrêt de bus, celui ci s'apprêtait à partir, les portes étaient déjà fermés. Il courra et arriva au niveau de la porte avant, ll donna alors de grand coup dans cette dernière pour contraindre le chauffeur à prendre en considération son retard, celui-ci ouvrit la porte, mais jeta un regard furieux à JT, le traitant de « jeune sauvageon insouciant ». JT ne releva pas l'insulte, ça n'était pas la première qu'on lui adressait, mais certainement une des plus polies
Il n'alla pas s'asseoir à côté de Pierre Bachir, mais il s'affala à la première rangé, encore tout essoufflé par la course qu'il avait effectué. Il était content d'avoir réussi à avoir le bus, c'était en quelque sorte, son premier succès depuis longtemps. Néanmoins, les réjouissances furent de courte durée, en effet, à sa droite, une jeune fille l'invita à aller se faire enculer si jamais le bus arrivait en retard par sa faute, car elle avait rendez vous avec son mec à 8h15.
Jean Théopolde avait laissé passé l'insulte du chauffeur, parce que c'était le chauffeur après tout, mais de quelle droit cette jeune inconnue le traitait comme ça ? Une paire de seins, aussi grosse soit elle, ne donnait pas tout les droits JT entreprit alors d'expliquer à la jeune effrontée que sa vie ne l'intéressait pas vraiment, et qu'a défaut de se faire enculer en cas de retard, il était bien disposé à se faire sucer si cela pouvait calmer les ardeurs guerrière de la jeune fille.
Cette dernière resta un moment sans répondre, puis insulta JT de tout les noms, ainsi que sa famille, ses ancêtres, ses chiens, et ses amis. Finalement, d'autres passagers prirent part à cet intéressant débat et le voyage se fit dans un joyeux bordel, pour la première fois de sa vie, Jean se trouvait au centre de l'intention de tout le monde, sauf de son pote Pierre Bachir qui feignait de ne pas le connaître.
A 8h10, soit 3 minutes avant l'heure normale et 5 avant le rdv de la jeune fille, le chauffeur lâcha tout le petit monde devant le bahut, en effet, ce dernier, excédé par le bordel dans son bus, avait grillé 3 feux rouge pour arriver le plus vite possible à destination, et se griller une clope.
JT se dépêcha alors de disparaître du champs de vision de la furie, car celle-ci se dirigeait promptement vers son mec pour chercher le soutien de ses poings contre la résistance que Jean avait offert lors de leur joute verbale
Il se mêla alors à un groupe de fumeur devant l'entré du lycée, le genre avec des dreads, des t shirt du ché, qui prétendent changer le monde en restant calé dans le canapé à fumé des joints, néanmoins, ces gens avaient l'avantage d'être relativement sympa avec tout le monde, mêmes les inconnus , et surtout, ils ne cherchaient pas à casser la gueule à Jean théopolde. Lorsque Pierre Bachir aperçu son pote avec les parias du lycée, il continua à faire comme si il n'existait pas, mais cela importait peu en fin de compte,
Jean se retrouvait au lycée, mais il ne savait pas vraiment quoi faire en réalité, bien sûr il songeait à aller parler à la fille qui avait occupé ses pensées pendant longtemps, mais pour lui dire quoi ? " Je t'aime, et je vais mourir "
devant son air crispé, un des types du groupe avec qui il avait trouvé refuge lui proposa une « cigarette » pour se détendre, JT accepta, bien qu'il n'avait jamais fumé auparavant. Ses toux déclenchèrent l'hilarité du groupe, et pour la deuxième fois en moins de 20 minutes, il se retrouvait encore au centre des intérêts...Ce qui dans le cas présent, ne l'arrangeait que moyennement vu que des gens cherchaient à lui péter la gueule...
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