Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

La fic pas drôle et absurde


Par : Sipro
Genre : Nawak, No-Fake
Statut : Abandonnée



Chapitre 9 : Coucou les loulous


Publié le 04/03/2011 à 00:17:36 par Sipro

Bon, salut à tous, après cette absence, voilà la suite de la fic que vous attendiez tous, j’ai nommé la Compagnie de Noelfic V2 (Hop hop, un peu de pub au passage, et je fais ça gratuitement, sans être payé, c’est vraiment sympa tout ça). Rappelez vous, le dernier chapitre de cette fic (Celle là, pas la Compagnie de Noelfic) est à chier. (Si si, même moi je le reconnais alors bon.) Tout d’abord, avant de continuer l’histoire (On était au Viêt Nam), je vais vous remercier, vous, lecteurs, parce qu’on le fait pas assez, et que vous avez du courage de lire la diarrhée (Fuck, j’avais encore mal écrit le mot, heureusement qu’il y a le dictionnaire) verbale que j’écris, et donc vous méritez mes remerciements les plus sincères. Merci à vous.

-Good morning Viêt Nam !

C’est ce que cria le troll de notre groupe (pas Clemi, le vrai troll) avant de se faire embarquer par des gens qui avaient l’air bien sympa, en costard-cravate, parce qu’il avait commis une « violation de la propriété intellectuelle d’un certain et connu cinéaste ». Bon, je voulais m’en débarrasser, tant mieux, y a déjà trop de monde, de toutes façons.

Par exemple j’ai du mal à placer tout le monde, et moi-même je ne suis en fait que le narrateur de l’histoire, je n’agis pas beaucoup, vous l’aurez remarqué. Anyway. Comme le Viêt Nam c’est une guerre, (ok, en vrai c’est un pays, avouez que je vous ait bien eut hein), et que la guerre ce n’est pas cool, mais alors pas cool du tout (suffit de regarder les films de guerre, y a rien de drôle. Stalone il pleure à la fin de Rambo (le premier du nom (ha ha, petite blague)), alors si même lui il pleure, bordel de merde, c’est que ça doit pas être cool. En plus, on ne sait même pas où ils sont… Hein, où ils sont, tous ?

Alors qu’on se digérait, et dirigeait (repérez le mot faux) vers un autel, et un hôtel (même chose), on avait vu une superbe femme dans la rue. Snake-Suicide lançait des coups d’œil furtif en direction de cette poitrine alléchante, elle est chiante (pareil qu’avant), mais en même temps furtif pour pas se faire capter par Vaga, faut pas déconner non plus, les femmes c’est déjà l’horreur, mais alors une femme en colère, c’est quoi ? Le Nether ? Une fic de Hui ? Un album de Céline Dion ? Deux albums de Céline Dion ? Big Rigs ? (Bon, j’arrête là le musée des horreurs).

On décida, les plus aventureux et les plus célibataires d’entre nous de l’aborder. Pas dans le sens « Aya moussaillons, souquez ferme ! Tirez les voiles de ¾, fermez les bouches de canons, et laisse la dunette arrière de cette demoiselle tranquille ! ». Plutôt dans le sens… « Aya mademoiselle ! ça te dirait de venir dans ma chambre pour que je te répare la dunette arrière avec ma grosse boite à outil ? ». (Forme déformée de « Oh la, mate un peu la nassebo, j’te jure sisi, l’impératrice, sisi la mille-fa, wesh, comme j’ai envie de te fonce-dé le cul, mademoiselle ! »).

En fait, non, oubliez, on n’est pas allé la voir comme ça. Alors déjà on était 3. ClemHW, GreenStatik, et moi. Chacun avait sa propre technique pour l’approcher, technique que nous verrons prochainement, dans un avenir proche, dans un prochain chapitre, si bien sur le monde n’est pas détruit avant demain. Cette fois-ci, pas grand-chose à vous mettre sous la dent, mais c’est toujours mieux que le précédent chapitre, avec les talibans et Mass Effect. D’ailleurs, je ne sais pas si je vais le supprimer. Ils seraient peut être pas contents… Mais en même temps, c’est un affront à la race humaine. (Mon chapitre, pas les talibans, bande de vilains).


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