Je crois que je suis taray
Par : GodeHatesUs
Genre : Nawak , Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 14
Publié le 28/02/12 à 22:29:52 par GodeHatesUs
Eh bien, je me rends compte que le style évolue de chapitre en chapitre, j'explore mes propres capacités, bande de gens, ça c'est intéressant
Non ?
...
Ah, et séquence racontage de vie, j'ai quelques problèmes au niveau scolaire qui me pourrissent un peu la vie, sûr que rédiger cette fic de psychopathe va me défouler de ce niveau-là. Si mes soucis ne s'arrangent pas la fic risque de devenir plus violente que jamais, je sais pas si c'est une bonne chose, à vous de me le dire si c'est le cas
C'est pour la même raison que je trouve pas le temps d'écrire.
...
Bon, on lance le chapitre
------------------------------------------------------
Mélanie et moi n'avions pas couru, soucieux d'attirer le regard des gens, mais nous avions marché à bonne allure jusqu'à arriver à l'orée de ce qui semblait être une forêt assez dense. Mélanie tomba à genoux. Je raillai :
- Ben alors, je te croyais increvable
- Je suis qu'une jeune fille faible et exposée à tous les dangers
- Bien sûr, tu veux pas que je te porte non plus ?
-
- Nan nan
Je la relevai par les cheveux tel un maître relèverait son esclave et nous nous engageâmes dans la forêt.
Nous étions arrivé d'un côté de la forêt non aménagé, et nous avions du escalader quelques grillages et murets avant d'arriver là, et il n'y avait pas de sentier ou quoi que ce soit. On allait marcher à travers les orties et les ronces, y'avait peut-être des serpents ou des conneries du genre, moi ça me stressait mais mieux valait ne pas le montrer La végétation était dense et le soleil commençait tout doucement à fuir, ce qui me fit me féliciter d'avoir pris la lampe torche.
Après une dizaine de minutes de marche hasardeuse, on arriva sur une sorte de clairière isolée, où des gamins jouaient au foot sur un terrain qu'ils avaient du aménager eux-même trolol. Lorsqu'ils nous virent, ils arrêtêrent de jouer en se foutant de notre gueule les doigts pointés vers nous, on devait avoir l'air de vieux paumés
- HAHA LER POUILLEU gueula un enfoiré de gamin.
- VI VOUZAVER VU IL SON TOU SALE cria un autre.
- AWAI JAVOU fit une mini-femelle de leur groupe.
Alors que je pensais avoir perdu patience le premier, Mélanie sortit un couteau de sa poche et le balança en plein dans le bide du premier gamin, qui hurla dans son atroce souffrance Les autres n'avaient rien vu et continuaient de beugler en rigolant.
- Loïc, tu crois qu'ils ont quel âge eux ?
- Chais pas, ils font 10 ans, pourquoi ?
- D'ac, suis-moi et occupe-toi de la fille
Elle s'avança vers deux des garçons et enleva d'un coup son haut, ce qui eut pour effet de déstabiliser complètement les jeunes puceaux prépubères
- OMFG REGARDER DER NICHON
Je profitai de l'incrédulité de la gamine pour sortir ma batte et lui foutre un coup dans le genou, que j'entendis se briser assez violemment. Le cri de truie qu'on égorge qui suivit ce son de craquement me fit tellement frissonner de plaisir que je pris son bras pour lui déboîter l'épaule à main nues
Alors que je tabassais la fille pour la finir, je vis Mélanie briser la nuque d'un morveux et en égorger un autre avec les dents
Elle avait l'air d'avoir eu son compte, alors je me relevai et envoyai ma batte dans les jambes d'un enfoiré qui essayait de s'enfuir, il est fou lui
- LAISSER MOA
- Y'a pas moyen, on s'éclate là
J'écrasai son torse avec mon pied, ramassai ma batte et lui déglinguai la mâchoire d'un coup bien placé. Sa mâchoire pendait et son visage était défiguré par la douleur, la gueule que ça lui faisait OMG
Comme un dément, je sortis mon marteau, m'assis sur lui et commençai à lui éclater le crâne, à grands coups incontrôlés. A chaque impact, j'entendais un craquement, et à chaque craquement, je frappais plus fort.
Il avait arrêté de crier depuis longtemps, mais je n'en avais jamais assez, j'y allais à la main et au marteau en même temps, je voulais que même mort il ait encore mal, j'avais ce désir de la souffrance. Je me rendis même compte à un moment que je hurlais moi aussi à chaque coup donné, lorsque je sentis Mélanie m'attraper les poignets. Cet arrêt soudain relâcha mon corps brusquement et j'eus un mal de tête assez atroce
Je levai la tête et vis le visage de Mélanie couvert de sang du nez jusqu'au menton. Cette allure démoniaque accompagnée de la chute d'adrénaline me fit exploser de rire.
- OMG on dirait un vieux cosplay de vampire
Pour toute réponse, elle me cracha du sang dans la gueule Je me levai pour la latter comme elle le méritait, mais je vis sa dernière victime pendue à un arbre, ce qui me fit reconnaître qu'elle avait une certaine grâce dans ses meurtres Je décidai de la laisser tranquille.
- T'es pas si mal comme ça
Elle fit mine de me mordre le cou d'une façon bien baveuse, ce qui laissa une tâche de sang assez dégueulasse.
- Je t'avoue que toi tu m'as un peu fait peur, sur le coup
- Ouais je sais
- Non mais vraiment, t'es un vrai malade, non ?
Venant d'elle, qui venait de bouffer la gorge d'un enfant innoncent (), je trouvais ça fort déplacé et dégradant
- Pas plus que toi j'imagine
- Ah ouais ?
Elle se jeta sur moi et s'empara de mes lèvres pour la deuxième fois depuis qu'on se connaissait, mais sans aucune raison cette fois Je savais pas comment le prendre, mais j'ai senti ma tension et mes nerfs relâcher complètement, comme si j'avais eu besoin de ça, même si le goût du sang qui s'écoulait dans ma bouche commençait à me retourner le coeur sévère
Au bout d'une dizaine de secondes, je la repoussai un peu à contre-coeur, mais par nécessité stomacale, car je sentais mon diaphragme remonter dangereusement. Je crachai tout ce liquide rouge dégueulasse qu'elle venait de me faire boire en l'insultant de tous les noms, ce qui la fit rire, bien évidemment
- Petite nature
- Comment tu m'as appelé, jeune pute ?
- :)
J'attendais pas de réponse, j'avais très bien entendu ce qu'elle avait dit... Mais ce sourire sanglant empli d’innocence qu'elle me faisait me suffisait amplement.
Non ?
...
Ah, et séquence racontage de vie, j'ai quelques problèmes au niveau scolaire qui me pourrissent un peu la vie, sûr que rédiger cette fic de psychopathe va me défouler de ce niveau-là. Si mes soucis ne s'arrangent pas la fic risque de devenir plus violente que jamais, je sais pas si c'est une bonne chose, à vous de me le dire si c'est le cas
C'est pour la même raison que je trouve pas le temps d'écrire.
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Bon, on lance le chapitre
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Mélanie et moi n'avions pas couru, soucieux d'attirer le regard des gens, mais nous avions marché à bonne allure jusqu'à arriver à l'orée de ce qui semblait être une forêt assez dense. Mélanie tomba à genoux. Je raillai :
- Ben alors, je te croyais increvable
- Je suis qu'une jeune fille faible et exposée à tous les dangers
- Bien sûr, tu veux pas que je te porte non plus ?
-
- Nan nan
Je la relevai par les cheveux tel un maître relèverait son esclave et nous nous engageâmes dans la forêt.
Nous étions arrivé d'un côté de la forêt non aménagé, et nous avions du escalader quelques grillages et murets avant d'arriver là, et il n'y avait pas de sentier ou quoi que ce soit. On allait marcher à travers les orties et les ronces, y'avait peut-être des serpents ou des conneries du genre, moi ça me stressait mais mieux valait ne pas le montrer La végétation était dense et le soleil commençait tout doucement à fuir, ce qui me fit me féliciter d'avoir pris la lampe torche.
Après une dizaine de minutes de marche hasardeuse, on arriva sur une sorte de clairière isolée, où des gamins jouaient au foot sur un terrain qu'ils avaient du aménager eux-même trolol. Lorsqu'ils nous virent, ils arrêtêrent de jouer en se foutant de notre gueule les doigts pointés vers nous, on devait avoir l'air de vieux paumés
- HAHA LER POUILLEU gueula un enfoiré de gamin.
- VI VOUZAVER VU IL SON TOU SALE cria un autre.
- AWAI JAVOU fit une mini-femelle de leur groupe.
Alors que je pensais avoir perdu patience le premier, Mélanie sortit un couteau de sa poche et le balança en plein dans le bide du premier gamin, qui hurla dans son atroce souffrance Les autres n'avaient rien vu et continuaient de beugler en rigolant.
- Loïc, tu crois qu'ils ont quel âge eux ?
- Chais pas, ils font 10 ans, pourquoi ?
- D'ac, suis-moi et occupe-toi de la fille
Elle s'avança vers deux des garçons et enleva d'un coup son haut, ce qui eut pour effet de déstabiliser complètement les jeunes puceaux prépubères
- OMFG REGARDER DER NICHON
Je profitai de l'incrédulité de la gamine pour sortir ma batte et lui foutre un coup dans le genou, que j'entendis se briser assez violemment. Le cri de truie qu'on égorge qui suivit ce son de craquement me fit tellement frissonner de plaisir que je pris son bras pour lui déboîter l'épaule à main nues
Alors que je tabassais la fille pour la finir, je vis Mélanie briser la nuque d'un morveux et en égorger un autre avec les dents
Elle avait l'air d'avoir eu son compte, alors je me relevai et envoyai ma batte dans les jambes d'un enfoiré qui essayait de s'enfuir, il est fou lui
- LAISSER MOA
- Y'a pas moyen, on s'éclate là
J'écrasai son torse avec mon pied, ramassai ma batte et lui déglinguai la mâchoire d'un coup bien placé. Sa mâchoire pendait et son visage était défiguré par la douleur, la gueule que ça lui faisait OMG
Comme un dément, je sortis mon marteau, m'assis sur lui et commençai à lui éclater le crâne, à grands coups incontrôlés. A chaque impact, j'entendais un craquement, et à chaque craquement, je frappais plus fort.
Il avait arrêté de crier depuis longtemps, mais je n'en avais jamais assez, j'y allais à la main et au marteau en même temps, je voulais que même mort il ait encore mal, j'avais ce désir de la souffrance. Je me rendis même compte à un moment que je hurlais moi aussi à chaque coup donné, lorsque je sentis Mélanie m'attraper les poignets. Cet arrêt soudain relâcha mon corps brusquement et j'eus un mal de tête assez atroce
Je levai la tête et vis le visage de Mélanie couvert de sang du nez jusqu'au menton. Cette allure démoniaque accompagnée de la chute d'adrénaline me fit exploser de rire.
- OMG on dirait un vieux cosplay de vampire
Pour toute réponse, elle me cracha du sang dans la gueule Je me levai pour la latter comme elle le méritait, mais je vis sa dernière victime pendue à un arbre, ce qui me fit reconnaître qu'elle avait une certaine grâce dans ses meurtres Je décidai de la laisser tranquille.
- T'es pas si mal comme ça
Elle fit mine de me mordre le cou d'une façon bien baveuse, ce qui laissa une tâche de sang assez dégueulasse.
- Je t'avoue que toi tu m'as un peu fait peur, sur le coup
- Ouais je sais
- Non mais vraiment, t'es un vrai malade, non ?
Venant d'elle, qui venait de bouffer la gorge d'un enfant innoncent (), je trouvais ça fort déplacé et dégradant
- Pas plus que toi j'imagine
- Ah ouais ?
Elle se jeta sur moi et s'empara de mes lèvres pour la deuxième fois depuis qu'on se connaissait, mais sans aucune raison cette fois Je savais pas comment le prendre, mais j'ai senti ma tension et mes nerfs relâcher complètement, comme si j'avais eu besoin de ça, même si le goût du sang qui s'écoulait dans ma bouche commençait à me retourner le coeur sévère
Au bout d'une dizaine de secondes, je la repoussai un peu à contre-coeur, mais par nécessité stomacale, car je sentais mon diaphragme remonter dangereusement. Je crachai tout ce liquide rouge dégueulasse qu'elle venait de me faire boire en l'insultant de tous les noms, ce qui la fit rire, bien évidemment
- Petite nature
- Comment tu m'as appelé, jeune pute ?
- :)
J'attendais pas de réponse, j'avais très bien entendu ce qu'elle avait dit... Mais ce sourire sanglant empli d’innocence qu'elle me faisait me suffisait amplement.
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