Je crois que je suis taray
Par : GodeHatesUs
Genre : Nawak , Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 11
Publié le 26/02/12 à 00:25:45 par GodeHatesUs
On s'éloigna discrètement de la scène du crime, entendant des voix se rapprochant dangereusement de notre position, et pour la remercier d'être aussi epic, je dis à... C'quoi son prénom ?
- Au fait, moi c'est Mélanie
Bien, brave fille, j'avais pas envie de demander
Je dis donc à Mélanie que j'allai lui acheter sa glace àlakon, qu'elle voulait à la vanille. Elle l'entama avec une excitation un peu embarrassante.
- Tu te calmes jamais ?
- Non, et toi, c'est quoi ton prénom ?
- Loïc, mais c'est pas ce que je t'ai demandé...
- Enchantée, Loïc !
Un vrai phénomène cette fille, j'allais lui demander de se présenter un peu plus lorsque mon estomac émit un son que je qualifierai d'atroce.
- Amène-moi à un resto, please, je crève vraiment la dalle.
- Oulà, le premier est assez loin, on est un peu isolé dans ce quartier...
- Je m'en fous, on y va.
Elle s'arrêta.
- Sinon pour tenir un peu, on peut retourner manger un peu du type que j'ai puni ?
- Tu déconnes ?
- Si t'as vraiment faim, pourquoi pas ? :)
Je cherche même plus à la comprendre, quoi
- Non vraiment, on va au resto s'too.
- Oki
Et là, je me remandai pourquoi je traînais avec cette fille depuis tout à l'heure, j'aurais tout simplement pu lui demander de me montrer où était le restaurant salope ou je t'éclate, mais au lieu de ça je surprenais à trouver sa compagnie intéressante Quoique vu l'état dans lequel elle avait laissé l'autre pauvre gars, je savais pas comment elle avait fait ça mais il valait mieux l'avoir avec soi
Après une quarantaine de minutes de marche, on arriva à un quartier un peu plus fréquenté, et un McDo était en vue.
- Parfait, cela
- Je t'offre le repas
J'aime pas dire merci, merde
- Non non, c'est bon...
- Si, j'insiste
- M'okay
Remerciements esquivés, ce que je suis rustre et profiteur, roh j'abuse d'elle me direz-vous, oui un petit peu.
Peu de monde dans le fast-food, la commande fut vite prise et on s'installa à une table. Mélanie n'avait rien pris et se contentait de me regarder manger d'un regard insistant. Je lui dis :
- C'est quoi ton problème, t'es vraiment spéciale comme fille
Elle eut un petit rire cristallin.
Son rire.
Il me déstabilisa, j'eus une impression de déjà-vu, ou plutôt de déjà-entendu, bref une sorte de réminiscence inexpliquée. Une migraine commença à m'assaillir le crâne, je voyais trouble.
- Un problème, Loïc ?
Je relevai la tête pour la regarder.
Putain.
Derrière Mélanie, y'avait encore ces quatre mecs qui me fixaient, assis à une table. Toujours propres sur eux, toujours les mêmes lunettes qui m'empêchaient de voir clairement à quoi ils ressemblaient. Je me levai brusquement, pris ma batte dans mon sac et m'approchai d'eux en titubant légèrement.
- OMG c'est quoi votre problème, pourquoi vous me suivez ?
Ils ne répondirent pas, aucun ne bougea. Encore une fois, l'un deux commença à prendre des notes. J'en pouvais plus, je lui ai foutu un coup de batte sur la tête, son visage heurta la table, et je continuai à lui fracasser le crâne furieusement.
- PUTAIN CREVE, CREVE, ARRÊTEZ DE M'OBSERVER (
Un autre se leva enfin, mais je lui mis deux mandales dans le nez avant de l'envoyer valser par la fenêtre. Pourquoi n'opposaient-ils pas plus de résistance, ils pourraient me maîtriser vu leur carrure ? J'en pouvais plus, je me suis retourné pour aller chercher mes affaires, mais Mélanie semblait me regarder avec une pointe d'incompréhension.
- Qu'est-ce que t'as, toi ?
- Pourquoi t'as fait ça... ?
- De quoi...
Les quatres mecs étaient plus là, à la place il y avait une petite famille, ou du moins ce qu'il en restait, il semblait que j'avais dégommé un grand-père et envoyé je sais pas qui par la fenêtre, tout ce que je savais c'est que les quatre types avaient disparu. Qu'est-ce qui se passe ?
Un petit garçon et sa soeur étaient là à se cacher sur la banquette de la table, sanglotant et tremblant. Je venais sûrement de buter leurs grand-parents, sans faire exprès pour une fois, ils allaient pas recevoir leur argent de poche de l'année, je comprends leur peine, mais je décidai de les laisser tranquille
Mélanie me fit revenir à la raison en m'attrapant la main et en m'incitant à sortir, qu'il valait mieux sortir d'ici le plus possible.
- T'as raison mademoiselle, on se bouge
----------------------------
Un peu moins d'humour, mais ça va revenir
- Au fait, moi c'est Mélanie
Bien, brave fille, j'avais pas envie de demander
Je dis donc à Mélanie que j'allai lui acheter sa glace àlakon, qu'elle voulait à la vanille. Elle l'entama avec une excitation un peu embarrassante.
- Tu te calmes jamais ?
- Non, et toi, c'est quoi ton prénom ?
- Loïc, mais c'est pas ce que je t'ai demandé...
- Enchantée, Loïc !
Un vrai phénomène cette fille, j'allais lui demander de se présenter un peu plus lorsque mon estomac émit un son que je qualifierai d'atroce.
- Amène-moi à un resto, please, je crève vraiment la dalle.
- Oulà, le premier est assez loin, on est un peu isolé dans ce quartier...
- Je m'en fous, on y va.
Elle s'arrêta.
- Sinon pour tenir un peu, on peut retourner manger un peu du type que j'ai puni ?
- Tu déconnes ?
- Si t'as vraiment faim, pourquoi pas ? :)
Je cherche même plus à la comprendre, quoi
- Non vraiment, on va au resto s'too.
- Oki
Et là, je me remandai pourquoi je traînais avec cette fille depuis tout à l'heure, j'aurais tout simplement pu lui demander de me montrer où était le restaurant salope ou je t'éclate, mais au lieu de ça je surprenais à trouver sa compagnie intéressante Quoique vu l'état dans lequel elle avait laissé l'autre pauvre gars, je savais pas comment elle avait fait ça mais il valait mieux l'avoir avec soi
Après une quarantaine de minutes de marche, on arriva à un quartier un peu plus fréquenté, et un McDo était en vue.
- Parfait, cela
- Je t'offre le repas
J'aime pas dire merci, merde
- Non non, c'est bon...
- Si, j'insiste
- M'okay
Remerciements esquivés, ce que je suis rustre et profiteur, roh j'abuse d'elle me direz-vous, oui un petit peu.
Peu de monde dans le fast-food, la commande fut vite prise et on s'installa à une table. Mélanie n'avait rien pris et se contentait de me regarder manger d'un regard insistant. Je lui dis :
- C'est quoi ton problème, t'es vraiment spéciale comme fille
Elle eut un petit rire cristallin.
Son rire.
Il me déstabilisa, j'eus une impression de déjà-vu, ou plutôt de déjà-entendu, bref une sorte de réminiscence inexpliquée. Une migraine commença à m'assaillir le crâne, je voyais trouble.
- Un problème, Loïc ?
Je relevai la tête pour la regarder.
Putain.
Derrière Mélanie, y'avait encore ces quatre mecs qui me fixaient, assis à une table. Toujours propres sur eux, toujours les mêmes lunettes qui m'empêchaient de voir clairement à quoi ils ressemblaient. Je me levai brusquement, pris ma batte dans mon sac et m'approchai d'eux en titubant légèrement.
- OMG c'est quoi votre problème, pourquoi vous me suivez ?
Ils ne répondirent pas, aucun ne bougea. Encore une fois, l'un deux commença à prendre des notes. J'en pouvais plus, je lui ai foutu un coup de batte sur la tête, son visage heurta la table, et je continuai à lui fracasser le crâne furieusement.
- PUTAIN CREVE, CREVE, ARRÊTEZ DE M'OBSERVER (
Un autre se leva enfin, mais je lui mis deux mandales dans le nez avant de l'envoyer valser par la fenêtre. Pourquoi n'opposaient-ils pas plus de résistance, ils pourraient me maîtriser vu leur carrure ? J'en pouvais plus, je me suis retourné pour aller chercher mes affaires, mais Mélanie semblait me regarder avec une pointe d'incompréhension.
- Qu'est-ce que t'as, toi ?
- Pourquoi t'as fait ça... ?
- De quoi...
Les quatres mecs étaient plus là, à la place il y avait une petite famille, ou du moins ce qu'il en restait, il semblait que j'avais dégommé un grand-père et envoyé je sais pas qui par la fenêtre, tout ce que je savais c'est que les quatre types avaient disparu. Qu'est-ce qui se passe ?
Un petit garçon et sa soeur étaient là à se cacher sur la banquette de la table, sanglotant et tremblant. Je venais sûrement de buter leurs grand-parents, sans faire exprès pour une fois, ils allaient pas recevoir leur argent de poche de l'année, je comprends leur peine, mais je décidai de les laisser tranquille
Mélanie me fit revenir à la raison en m'attrapant la main et en m'incitant à sortir, qu'il valait mieux sortir d'ici le plus possible.
- T'as raison mademoiselle, on se bouge
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Un peu moins d'humour, mais ça va revenir
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