La vie d'une classe de seconde.
Par : WhatCanIDo
Genre : Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 29
Publié le 19/05/12 à 18:38:47 par WhatCanIDo
Chapitre 28.
Anis.
Tout allait au mieux pour moi. Je venais de payer le kebab (avec ma paye certes) à Elodie qui était ravie. J'étais sûrement en tête de sa liste et ses regards envers moi étaient de plus en plus francs et amoureux. Du moins c'est ce que je pensais.
Mais on ne sait jamais, les femmes ne sont pas des créatures simples et il est clairement difficile d'analyser leurs pensées. Mais je me chargerai de m'occuper de mes rivaux, si jamais Elodie se mettait à se rapprocher d'autres gars. De toute façon, je suis assez macho, pour moi une fille, elle m'appartient un point c'est tout. Elles n'ont pas le droit de sortir seule, ni d'aller voir ailleurs. Ce qui ne m'empêche pas à moi de matter les p'tits culs sur la plage quand mon père nous emmène en Corse tous les étés..
Mais ça, Elodie ne le sait pas, elle n'est pas au courant de ma misogynie, ce sentiment haineux envers les dames.
Et en fin d'après-midi, j'avais les burnes en feu, je pouvais plus me retenir et je suis ainsi par la case toilette. Et cinq minutes après une bonne petite pissette, quand je revenus, et bien je les vois.. Une scène d'horreur pour moi. Comme un couteau qui me poignarde dans le dos.
Je m'absente quelques temps et je vois la situation se détourner. Plus moyen d'inverser la vapeur, j'ai perdu..
Jean.
J'eus mangé en compagnie de ma nouvelle bande, Pilou, Gaël, Seb et Noé. On commençait à vraiment bien s'entendre même si on avait pas beaucoup de points communs. Donc quand on ne sait pas de quoi parler, je sais pas vous parler de quoi vous ? Et bien nous, ça en ramène au sujet de discussion suivant : Les filles. C'est comme ça. C'est la référence de la cochonnerie masculine. Moi je pensais à Elodie, avec laquelle je m'étais clairement expliqué. J'avais parlé avec mon coeur, ne pouvant rien faire de plus. En outre, elle avait fait les yeux doux à ce Anis, dragueur et faux-cul professionnel. Celui-ci n'avait pas encore fait polémique dans la classe, on en parlait pas de trop. Mais je pense qu'il pourrait bien s'avérer être la relève de Samy, en terme d'emmerdeur.
Quand on eut fini de déguster les succulents choux fleurs au poivre de la resplendissante cantine du lycée (humour) j'abandonnai les autres mecs pour aller faire un tour en dehors du lycée, fumer une petite clope.
Je ne fumais pas beaucoup, juste que j'étais mal dans ma tête. Une fois par mois maxi. Or là, un mal de crâne ébouriffant me hantait. Je pensais incessamment à Elodie et à cette salope de Juliette. Qu'avait-elle derrière la tête à me persécuter comme cela.
En tout cas, j'eus vite écraser mon mégot avec ma chaussure par terre, qu'arrivaient Elodie et Anis. Je fus rassuré de ne pas les voir main dans la main, mais il n'y avait pas de quoi jubiler. Sauf quand je vis Anis se diriger vers les toilettes. J'eus la sournoise idée qu'il bandait comme un gros porc et était parti se branler, mais j'échappais ses narquoises pensées et me dirigeais vers Elodie tandis qu'Anis était sûrement parti pisser.
Je pris donc mon courage à deux mains. A vrai dire, je n'avais rien à lui dire (note la répétition faite exprès), mais je voulais juste entendre le son de sa voix, si fine et tendre. Mais finalement, ce fut elle qui vint déclencher la conversation la première.
- Tu sais Jean, j'ai réfléchi. Je te crois vraiment, je sentais déjà Juliette comme quelqu'un de.. fourbe. Excuse-moi pour la claque..
- Pas de problème, tu as agi normalement..
J'avais l'habitude de m'exprimer avec les filles, mais Elodie était différente des autres pétasses dont la culture se résume à vernis à ongle et maquillage. Comme on était seuls et qu'il y avait vraiment très peu de personnes à nos côtés, je mourrais d'envie de l'embrasser.. Mais j'imaginais un retour hypothétique de Anis.
- Sinon.. Pour Anis.. Tu ?
- Non c'est juste un ami, je ne compte pas sortir avec.
Je devins tout rouge.. Elle continua :
- Mon style de mec n'est pas le sien. Son intelligence ne vole pas haut tu sais.. Je préfère les petits, timides mais ayant un coeur et une certaine maturité. Jean tu me plais plus que n'importe qui..
Je voulus l'embrasser, et enfin me libérer de ce sentiment de stress, mais elle fut plus rapide. la vache, elle embrassait bien.. Mais je vis Anis sortir des WC, vert, prêt à tout exploser..
Anis.
Tout allait au mieux pour moi. Je venais de payer le kebab (avec ma paye certes) à Elodie qui était ravie. J'étais sûrement en tête de sa liste et ses regards envers moi étaient de plus en plus francs et amoureux. Du moins c'est ce que je pensais.
Mais on ne sait jamais, les femmes ne sont pas des créatures simples et il est clairement difficile d'analyser leurs pensées. Mais je me chargerai de m'occuper de mes rivaux, si jamais Elodie se mettait à se rapprocher d'autres gars. De toute façon, je suis assez macho, pour moi une fille, elle m'appartient un point c'est tout. Elles n'ont pas le droit de sortir seule, ni d'aller voir ailleurs. Ce qui ne m'empêche pas à moi de matter les p'tits culs sur la plage quand mon père nous emmène en Corse tous les étés..
Mais ça, Elodie ne le sait pas, elle n'est pas au courant de ma misogynie, ce sentiment haineux envers les dames.
Et en fin d'après-midi, j'avais les burnes en feu, je pouvais plus me retenir et je suis ainsi par la case toilette. Et cinq minutes après une bonne petite pissette, quand je revenus, et bien je les vois.. Une scène d'horreur pour moi. Comme un couteau qui me poignarde dans le dos.
Je m'absente quelques temps et je vois la situation se détourner. Plus moyen d'inverser la vapeur, j'ai perdu..
Jean.
J'eus mangé en compagnie de ma nouvelle bande, Pilou, Gaël, Seb et Noé. On commençait à vraiment bien s'entendre même si on avait pas beaucoup de points communs. Donc quand on ne sait pas de quoi parler, je sais pas vous parler de quoi vous ? Et bien nous, ça en ramène au sujet de discussion suivant : Les filles. C'est comme ça. C'est la référence de la cochonnerie masculine. Moi je pensais à Elodie, avec laquelle je m'étais clairement expliqué. J'avais parlé avec mon coeur, ne pouvant rien faire de plus. En outre, elle avait fait les yeux doux à ce Anis, dragueur et faux-cul professionnel. Celui-ci n'avait pas encore fait polémique dans la classe, on en parlait pas de trop. Mais je pense qu'il pourrait bien s'avérer être la relève de Samy, en terme d'emmerdeur.
Quand on eut fini de déguster les succulents choux fleurs au poivre de la resplendissante cantine du lycée (humour) j'abandonnai les autres mecs pour aller faire un tour en dehors du lycée, fumer une petite clope.
Je ne fumais pas beaucoup, juste que j'étais mal dans ma tête. Une fois par mois maxi. Or là, un mal de crâne ébouriffant me hantait. Je pensais incessamment à Elodie et à cette salope de Juliette. Qu'avait-elle derrière la tête à me persécuter comme cela.
En tout cas, j'eus vite écraser mon mégot avec ma chaussure par terre, qu'arrivaient Elodie et Anis. Je fus rassuré de ne pas les voir main dans la main, mais il n'y avait pas de quoi jubiler. Sauf quand je vis Anis se diriger vers les toilettes. J'eus la sournoise idée qu'il bandait comme un gros porc et était parti se branler, mais j'échappais ses narquoises pensées et me dirigeais vers Elodie tandis qu'Anis était sûrement parti pisser.
Je pris donc mon courage à deux mains. A vrai dire, je n'avais rien à lui dire (note la répétition faite exprès), mais je voulais juste entendre le son de sa voix, si fine et tendre. Mais finalement, ce fut elle qui vint déclencher la conversation la première.
- Tu sais Jean, j'ai réfléchi. Je te crois vraiment, je sentais déjà Juliette comme quelqu'un de.. fourbe. Excuse-moi pour la claque..
- Pas de problème, tu as agi normalement..
J'avais l'habitude de m'exprimer avec les filles, mais Elodie était différente des autres pétasses dont la culture se résume à vernis à ongle et maquillage. Comme on était seuls et qu'il y avait vraiment très peu de personnes à nos côtés, je mourrais d'envie de l'embrasser.. Mais j'imaginais un retour hypothétique de Anis.
- Sinon.. Pour Anis.. Tu ?
- Non c'est juste un ami, je ne compte pas sortir avec.
Je devins tout rouge.. Elle continua :
- Mon style de mec n'est pas le sien. Son intelligence ne vole pas haut tu sais.. Je préfère les petits, timides mais ayant un coeur et une certaine maturité. Jean tu me plais plus que n'importe qui..
Je voulus l'embrasser, et enfin me libérer de ce sentiment de stress, mais elle fut plus rapide. la vache, elle embrassait bien.. Mais je vis Anis sortir des WC, vert, prêt à tout exploser..
24/05/12 à 22:11:34
Sweet
Vous devez être connecté pour poster un commentaire