La vie d'une classe de seconde.
Par : WhatCanIDo
Genre : Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 31
Publié le 12/06/12 à 18:52:42 par WhatCanIDo
Jean.
16h45, ça sonne. Enfin, j'attendais plus que ça. L'année a beau avoir seulement commencé, les courbatures ne manquent pas et la fatigue se fait intensément ressentir. Heureusement, je vais passer un bon p'tit week-end dehors à flâner en ville avec Elodie, une fois libéré de mes devoirs que j'expédierai ce soir, une fois rentré chez moi.
A la sortie du bahut, Elodie rentre à pied chez elle et mon car part vite. Je l'embrasse très longuement avant de prendre la route, tel un ange n'ayant plus aucun poids sur ses épaules. Fini les Samy et autres embrouilles embarrassantes, place à la joie et à l'amour.
Je vois donc ma chérie repartir, fine et heureuse dans sa demeure tandis que je m'apprête à grimper dans mon bus, quand Juliette m'appelle au loin :
- Jeeeeeaaaan !
Je suis trop de bonne humeur pour lui mettre un vent et vois donc débarquer à moi en courant Juliette. Que veut-elle me dire ? Aucune idée mais le bonheur me comble alors les doutes et inquiétudes passent après. Arrivée comme une fusée à moi, elle se jette dans mes bras et m'embrasse passionnément. Pas le temps de réagir que nos lèvres sont collées. Et cette pute n'hésite pas à mettre la langue, impressionnant.
Je la repousse violemment et m'énerve en la poussant à terre.
- Mais t'es conne ou quoi ? Espèce de salope ! dis-je totalement énervé.
Juliette ne répondit même pas et s'en allant en sautillant, telle une gamine ayant réussie son coup. Je ne sais pas pourquoi, je sens qu'il y a une histoire derrière tout ça et que cela va me retomber dessus.. Mais je suis tellement épuisé que je ne m'entête pas à la courser, mon bus est là..
Une heure avant tout cela. - Cours d'histoire.
Anis.
Je suis un génie machiavélique, qui cache bien son jeu. Putain je ressens encore le sentiment du mec fier de lui, de ma duplicité mesquine. J'ai trouvé un plan infaillible. Et un cobaye aussi. En histoire, alors que je voyais Jean et Elodie rigoler et s'aimer assis l'un à côté de l'autre au dernier rang, je mettais en oeuvre ma stratégie avec une autre fille de la classe, Juliette..
- Alors toi aussi tu veux leur faire du mal ?
- Ouais, depuis quelques temps, j'ai fait de Jean ma victime. Et cette crâneuse d'Elodie je peux pas la voir..
- Moi aussi je veux briser le couple, alors même si on ne s'entend pas forcément bien et que l'on a pas le même but, on a un centre d'intérêt précis et commun. Ca te dit qu'on s'allie ?
- Ouais. C'est quoi ton idée ?
- A la sortie, quand Elodie aura quitté son chérie, tu iras rouler une bonne grosse pelle à Jean, moi je serai derrière en train de mitrailler avec mon appareil photo. Demain, je montre tout ça à Elodie, et le tour est joué !
- Je vais passer pour une salope, mais.. ça me plait ! On fait comme ça !
Je tapai dans sa main et préparai donc mon mini appareil numérique. J'en ai toujours un sur moi. Mon père est l'un des plus grands photographes de la région, il se fait du blé là-dedans, alors j'ai hérité de sa passion. Et visiblement cette petite merveille va me permettre de détruire un amour entier, haha j'aime !
Juliette.
- Je vais passer pour une salope, mais.. ça me plait ! On fait comme ça !
Je ne sais pas réellement si j'aurais du accepter. Oh et pis si, j'ai tellement envie de les voir souffrir. Le courant électrique et vicieux circule en moi, j'espère que je jouerai à merveille mon rôle.
Ah la sonnerie ! Je quitte excitée comme une puce la salle d'histoire pour aller me planquer derrière la poubelle du lycée. J'ai une vue d'ensemble sur la sortie des élèves .
Je vis donc Jean dire au revoir à Elodie et attendre, le sourire aux lèvres, son bus.
A ce moment-là mon rôle commence et je donne le signal à Anis, situé environ 100 mètres plus loin, le zoom de son appareil activé.
Deux minutes plus tard, mission accomplie, je retourne voir Anis.
- Alors ?
- C'est bon. J'annonce officiellement. Jean est désormais célibataire..
16h45, ça sonne. Enfin, j'attendais plus que ça. L'année a beau avoir seulement commencé, les courbatures ne manquent pas et la fatigue se fait intensément ressentir. Heureusement, je vais passer un bon p'tit week-end dehors à flâner en ville avec Elodie, une fois libéré de mes devoirs que j'expédierai ce soir, une fois rentré chez moi.
A la sortie du bahut, Elodie rentre à pied chez elle et mon car part vite. Je l'embrasse très longuement avant de prendre la route, tel un ange n'ayant plus aucun poids sur ses épaules. Fini les Samy et autres embrouilles embarrassantes, place à la joie et à l'amour.
Je vois donc ma chérie repartir, fine et heureuse dans sa demeure tandis que je m'apprête à grimper dans mon bus, quand Juliette m'appelle au loin :
- Jeeeeeaaaan !
Je suis trop de bonne humeur pour lui mettre un vent et vois donc débarquer à moi en courant Juliette. Que veut-elle me dire ? Aucune idée mais le bonheur me comble alors les doutes et inquiétudes passent après. Arrivée comme une fusée à moi, elle se jette dans mes bras et m'embrasse passionnément. Pas le temps de réagir que nos lèvres sont collées. Et cette pute n'hésite pas à mettre la langue, impressionnant.
Je la repousse violemment et m'énerve en la poussant à terre.
- Mais t'es conne ou quoi ? Espèce de salope ! dis-je totalement énervé.
Juliette ne répondit même pas et s'en allant en sautillant, telle une gamine ayant réussie son coup. Je ne sais pas pourquoi, je sens qu'il y a une histoire derrière tout ça et que cela va me retomber dessus.. Mais je suis tellement épuisé que je ne m'entête pas à la courser, mon bus est là..
Une heure avant tout cela. - Cours d'histoire.
Anis.
Je suis un génie machiavélique, qui cache bien son jeu. Putain je ressens encore le sentiment du mec fier de lui, de ma duplicité mesquine. J'ai trouvé un plan infaillible. Et un cobaye aussi. En histoire, alors que je voyais Jean et Elodie rigoler et s'aimer assis l'un à côté de l'autre au dernier rang, je mettais en oeuvre ma stratégie avec une autre fille de la classe, Juliette..
- Alors toi aussi tu veux leur faire du mal ?
- Ouais, depuis quelques temps, j'ai fait de Jean ma victime. Et cette crâneuse d'Elodie je peux pas la voir..
- Moi aussi je veux briser le couple, alors même si on ne s'entend pas forcément bien et que l'on a pas le même but, on a un centre d'intérêt précis et commun. Ca te dit qu'on s'allie ?
- Ouais. C'est quoi ton idée ?
- A la sortie, quand Elodie aura quitté son chérie, tu iras rouler une bonne grosse pelle à Jean, moi je serai derrière en train de mitrailler avec mon appareil photo. Demain, je montre tout ça à Elodie, et le tour est joué !
- Je vais passer pour une salope, mais.. ça me plait ! On fait comme ça !
Je tapai dans sa main et préparai donc mon mini appareil numérique. J'en ai toujours un sur moi. Mon père est l'un des plus grands photographes de la région, il se fait du blé là-dedans, alors j'ai hérité de sa passion. Et visiblement cette petite merveille va me permettre de détruire un amour entier, haha j'aime !
Juliette.
- Je vais passer pour une salope, mais.. ça me plait ! On fait comme ça !
Je ne sais pas réellement si j'aurais du accepter. Oh et pis si, j'ai tellement envie de les voir souffrir. Le courant électrique et vicieux circule en moi, j'espère que je jouerai à merveille mon rôle.
Ah la sonnerie ! Je quitte excitée comme une puce la salle d'histoire pour aller me planquer derrière la poubelle du lycée. J'ai une vue d'ensemble sur la sortie des élèves .
Je vis donc Jean dire au revoir à Elodie et attendre, le sourire aux lèvres, son bus.
A ce moment-là mon rôle commence et je donne le signal à Anis, situé environ 100 mètres plus loin, le zoom de son appareil activé.
Deux minutes plus tard, mission accomplie, je retourne voir Anis.
- Alors ?
- C'est bon. J'annonce officiellement. Jean est désormais célibataire..
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