La vie d'une classe de seconde.
Par : WhatCanIDo
Genre : Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 25
Publié le 17/05/12 à 22:52:28 par WhatCanIDo
Jean.
Ca devenait vraiment sérieux.
Ses approches se firent donc de plus en plus intimes, jusqu'au moment où Juliette vint m'embrasser, toujours dans un silence plombant. Mais à peine elle eut le temps de coller ses lèvres sur les miennes que je la repoussai violemment de ma main. Elle n'eut même pas l'air déçue, choquée, elle s'en foutait royalement de s'être prit un vent intersidéral. Mais pourquoi ? Je sais qu'en général, les filles tombent à mes pieds grâce à ma beauté, mais sa réaction était anormale. Même si au fond de moi je savais qu'elle avait fait ça par jalousie, je lui posai la question :
- Mais t'es folle.. Pourquoi t'as fait ça ?
Elle ne devint même pas toute rouge, l'émotion elle ne connaissait, les sentiments non plus. Juliette n'éprouvait absolument rien, tel un robot.
D'une voix sèche et mensongère elle me répondit, sans bien grande conviction :
- Désolé, je voulais pas..
Aucunement convaincu par sa riposte, je commençai à m'énerver :
- Mais putain ne me dis pas que tu pouvais plus contrôler ta bouche espèce de salope. Il suffit que je parle d'Elodie pour que tu rages d'elle et te venge ? C'est ça, dis-le ! Elle est actuellement inconsciente et toi t'en profite pour foutre la merde, sale truie. C'est pas parce que tu es rusée que tu deviendras une femme, fais preuve de maturité petite gamine..
Maintenant casse-toi, Elodie n'a pas besoin d'une fille comme toi.
Même chose, elle se ficha de mes paroles et ne répondit même pas. Ainsi je me mis à m'endormir exaspéré par ses conneries. J'espère ne pas avoir ronflé comme un phacochère devant Juliette m'enfin... Je fus réveillé une heure plus tard par le docteur qui vint m'annoncer le verdict final :
- Monsieur, monsieur.
- Mmmmh quoi ? Ah c'est vous docteur ! Alors ?
- Rien de grave pour votre camarade, vous pouvez partir, ses parents vont arriver.
- Et elle revient quand en cours ?
- Elle manquera l'école demain, ensuite elle sera de nouveau apte à étudier.
- Très bien, merci docteur. Hé mais ! Elle est où Juliette ?
- Euh.. Je ne sais pas, personne ne l'a vu partir.
Instinctivement, je fouille mes poches en tapotant mon pantalon.
- Putain ! Mon portable ! Il est où ?
Sans même dire au revoir au médecin, je partis en courant à la poursuite de cette salope. Encore un de ses coups foireux. Elle a voulu que je m'en aille de l'hôpital pour retrouver mon phone afin de laisser seule Elodie. Cette fille est une vipère avec un caractère inhumain et immonde. Et j'imagine même pas ce qu'elle est en train de trafiquer avec mon téléphone. Je la trouve, elle va avoir des ennuis celle-là..
Mais sur la route, je croisai les parents d'Elodie qui me reconnurent je ne sais comment.
- Vous êtes Jean ?
- Euh oui.. Et vous le père d'Elodie ? Enchanté. dis-je fièrement en serrant la main à son père.
Il avait la quarantaine mais assez beau gars pour son âge, tout comme sa mère.
- Comment va notre fille ?
- Rien de grave monsieur, mais je dois vous laisser. Je dois aller chercher mon petit frère à l'école primaire. Ravi d'avoir fait votre connaissance. Vous souhaiterez un prompt rétablissement à votre fille de ma part.
J'avais géré pour le coup de l'excuse du petit frère.. Et je repris ma course. J'avais fait le mec simple et poli pour faire bonne impression devant mes futurs beaux-parents.. Mais j'avais un autre problème à régler, celui du cas Juliette..
Pendant ce temps-là, en maths.
Gaël.
Dernière heure de la journée et on se fait terriblement chier avec notre prof sadique. A environ un quart d'heure de la fin, on entendit frapper à la porte. Avec crainte, monsieur Gilbert hurla :
- Entreez !
Et tous les élèves fixèrent leurs yeux sur la poignée qui s'actionnait, doucement..
Ca devenait vraiment sérieux.
Ses approches se firent donc de plus en plus intimes, jusqu'au moment où Juliette vint m'embrasser, toujours dans un silence plombant. Mais à peine elle eut le temps de coller ses lèvres sur les miennes que je la repoussai violemment de ma main. Elle n'eut même pas l'air déçue, choquée, elle s'en foutait royalement de s'être prit un vent intersidéral. Mais pourquoi ? Je sais qu'en général, les filles tombent à mes pieds grâce à ma beauté, mais sa réaction était anormale. Même si au fond de moi je savais qu'elle avait fait ça par jalousie, je lui posai la question :
- Mais t'es folle.. Pourquoi t'as fait ça ?
Elle ne devint même pas toute rouge, l'émotion elle ne connaissait, les sentiments non plus. Juliette n'éprouvait absolument rien, tel un robot.
D'une voix sèche et mensongère elle me répondit, sans bien grande conviction :
- Désolé, je voulais pas..
Aucunement convaincu par sa riposte, je commençai à m'énerver :
- Mais putain ne me dis pas que tu pouvais plus contrôler ta bouche espèce de salope. Il suffit que je parle d'Elodie pour que tu rages d'elle et te venge ? C'est ça, dis-le ! Elle est actuellement inconsciente et toi t'en profite pour foutre la merde, sale truie. C'est pas parce que tu es rusée que tu deviendras une femme, fais preuve de maturité petite gamine..
Maintenant casse-toi, Elodie n'a pas besoin d'une fille comme toi.
Même chose, elle se ficha de mes paroles et ne répondit même pas. Ainsi je me mis à m'endormir exaspéré par ses conneries. J'espère ne pas avoir ronflé comme un phacochère devant Juliette m'enfin... Je fus réveillé une heure plus tard par le docteur qui vint m'annoncer le verdict final :
- Monsieur, monsieur.
- Mmmmh quoi ? Ah c'est vous docteur ! Alors ?
- Rien de grave pour votre camarade, vous pouvez partir, ses parents vont arriver.
- Et elle revient quand en cours ?
- Elle manquera l'école demain, ensuite elle sera de nouveau apte à étudier.
- Très bien, merci docteur. Hé mais ! Elle est où Juliette ?
- Euh.. Je ne sais pas, personne ne l'a vu partir.
Instinctivement, je fouille mes poches en tapotant mon pantalon.
- Putain ! Mon portable ! Il est où ?
Sans même dire au revoir au médecin, je partis en courant à la poursuite de cette salope. Encore un de ses coups foireux. Elle a voulu que je m'en aille de l'hôpital pour retrouver mon phone afin de laisser seule Elodie. Cette fille est une vipère avec un caractère inhumain et immonde. Et j'imagine même pas ce qu'elle est en train de trafiquer avec mon téléphone. Je la trouve, elle va avoir des ennuis celle-là..
Mais sur la route, je croisai les parents d'Elodie qui me reconnurent je ne sais comment.
- Vous êtes Jean ?
- Euh oui.. Et vous le père d'Elodie ? Enchanté. dis-je fièrement en serrant la main à son père.
Il avait la quarantaine mais assez beau gars pour son âge, tout comme sa mère.
- Comment va notre fille ?
- Rien de grave monsieur, mais je dois vous laisser. Je dois aller chercher mon petit frère à l'école primaire. Ravi d'avoir fait votre connaissance. Vous souhaiterez un prompt rétablissement à votre fille de ma part.
J'avais géré pour le coup de l'excuse du petit frère.. Et je repris ma course. J'avais fait le mec simple et poli pour faire bonne impression devant mes futurs beaux-parents.. Mais j'avais un autre problème à régler, celui du cas Juliette..
Pendant ce temps-là, en maths.
Gaël.
Dernière heure de la journée et on se fait terriblement chier avec notre prof sadique. A environ un quart d'heure de la fin, on entendit frapper à la porte. Avec crainte, monsieur Gilbert hurla :
- Entreez !
Et tous les élèves fixèrent leurs yeux sur la poignée qui s'actionnait, doucement..
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