La vie d'une classe de seconde.
Par : WhatCanIDo
Genre : Action
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 21
Publié le 17/05/12 à 22:50:33 par WhatCanIDo
Charles-Honoré.
J'avais déjà parlé à père des soucis de cette pitoyable classe, où les élèves n'étaient autres que des gloutons dont l'intelligence sombrait. L'attitude de ces gens furent impardonnables durant mes premiers jours. Personnellement, je ne tiens pas à m'intégrer à ces boeufs, et je leur ai déjà fait savoir. Mais comme ces gens-là ne réfléchissent pas et qu'ils ne comprennent qu'à moitié mes propos objectifs, et bien je n'écope pas d'une mauvaise réputation.
Je considère les personnes riches comme supérieures aux autres, comme me l'ont toujours dit mes parents dans une éducation stricte et sévère ayant fait de moi le parfait gentleman.
Les petits ouvriers ne sont que des feignasses ignorantes et incultes tandis que les chômeurs sont les pires des créatures qui existent. J'ai eu raison de croire à ce qu'on m'ont dit mes parents, et je pense désormais comme eux, méprisant les faibles ne méritant que ce qu'ils ont.
Par ailleurs, je sens que l'ambiance de la seconde 4 s'aggrave de plus en plus avec Samy.
Mes parents connaissent son père qui est le préfet, mais je ne comprends pas que le fils Obey soit aussi désagréable. En tout cas actuellement nous sommes en histoire et je suis assis seul au fond de la classe. Subitement, le prof se lève et nous indique qu'il va faire une photocopie et qu'il en a pour cinq minutes. Non mais quel salaud !
Déjà les profs sont surpayés, leur 6 mois de vacances par an et leur 2 heures de préparation par cours c'est de la connerie, je les méprise moi !
Bref et au moment où ce dernier, Laulet, quitte la salle, et bien une personne se lève.
Elodie.
Oh non, pas ça. C'est reparti.. Samy se lève brusquement faisant un bruit énorme avec sa chaise. Les traits qu'ils dégagent de son visage sont signes de très mauvaise humeur. Néanmoins avec son sourire narquois, il donne une impression d'homme sûr de lui.
Sans grande surprise, il s'approche de Noé et blablate simplement avec lui. Mais sa voix lui donne un ton de moins en moins rassurant, mais menaçant. Dans la classe, tout le monde sait ce qu'il va se passer ce soir.
Et là, je ne sais pas ce qu'il me prend à moi, comme un mauvais pressentiment. Mes jambes se lèvent, et je range ma chaise. Puis, sans avoir le contrôle sur mon corps, je me dirige vers eux pour écouter la discussion. Par contre, je ne suis pas non plus aveugle et vois bien Jean en train de me matter derrière..
Tous les autres sont choqués. " Mais qu'est-ce qu'elle fait elle ? "
Samy, ayant vu ma présence, commence à m'agresser. A partir de ce moment, je sais que ça va dégénérer..
- Wesh, qu'est-ce tu veux toi c'est une discussion privée. Je lui demande les devoirs c'est tout wesh.
Sa réaction m'énerva encore plus, et là, je ne sais toujours pas pourquoi j'ai répondu. Sûrement pour ne pas passer pour une soumise..
- Mais Samy arrête, tout le monde ici sait que t'as pas de couilles. Tu vas ramener tes potes parce que t'as peur de te faire défoncer. Et là, tu le menaces pour qu'il arrive encore plus affaibli ce soir au rendez-vous. Mais tu sais quoi ? Tes emmerdes on en a marre, toute la classe. Je parle au nom de toutes les personnes ici. Je sais que ma parole ne résonnera pas ton ultime débilité, alors je préfère aller me rassoir. Hijo de puta.
Le dernier mot, l'insulte lâchée sans faire exprès, fut de trop. Je n'eus même pas le temps de bouger pour me replacer que Samy me sauta dessus, piqué au vif. Oui, à vrai dire c'était la seule expression espagnole qu'il connaissait..
Il plongea sur moi et mon agilité due à mes dix années de gymnastique me permit de l'esquiver. L'autre se ramassa une table en pleine mâchoire. Je vis sa bouche inondé de sang et trois de ses dents se briser.
Il fut pris d'une colère noire. Pas celle de Grégory qui a oublié de faire son DM, celle d'une vraie racaille, humiliée par le sexe opposé qu'il considère inférieur aux hommes.
Il se releva, la gueule complètement défigurée, et à ce moment, je sus que j'étais vraiment en danger avec son regard perçant et ses yeux rouges de folie. Mon seul recours, quitter la salle et me servir de ma rapidité.
Je quittai donc à toute vitesse la salle, un vrai pit-bull derrière moi en train de me courser. A ma grande surprise, plus des trois-quarts de la classe nous imitèrent et prenaient la fuite, pour choper Samy, enfin je ne sais pas, je donnais tout pour ne pas me faire rattraper. Le stress montait petit à petit. Où devais-je me diriger ? D'autant plus je ne connaissais l'enceinte du lycée qu'à moitié..
J'avais déjà parlé à père des soucis de cette pitoyable classe, où les élèves n'étaient autres que des gloutons dont l'intelligence sombrait. L'attitude de ces gens furent impardonnables durant mes premiers jours. Personnellement, je ne tiens pas à m'intégrer à ces boeufs, et je leur ai déjà fait savoir. Mais comme ces gens-là ne réfléchissent pas et qu'ils ne comprennent qu'à moitié mes propos objectifs, et bien je n'écope pas d'une mauvaise réputation.
Je considère les personnes riches comme supérieures aux autres, comme me l'ont toujours dit mes parents dans une éducation stricte et sévère ayant fait de moi le parfait gentleman.
Les petits ouvriers ne sont que des feignasses ignorantes et incultes tandis que les chômeurs sont les pires des créatures qui existent. J'ai eu raison de croire à ce qu'on m'ont dit mes parents, et je pense désormais comme eux, méprisant les faibles ne méritant que ce qu'ils ont.
Par ailleurs, je sens que l'ambiance de la seconde 4 s'aggrave de plus en plus avec Samy.
Mes parents connaissent son père qui est le préfet, mais je ne comprends pas que le fils Obey soit aussi désagréable. En tout cas actuellement nous sommes en histoire et je suis assis seul au fond de la classe. Subitement, le prof se lève et nous indique qu'il va faire une photocopie et qu'il en a pour cinq minutes. Non mais quel salaud !
Déjà les profs sont surpayés, leur 6 mois de vacances par an et leur 2 heures de préparation par cours c'est de la connerie, je les méprise moi !
Bref et au moment où ce dernier, Laulet, quitte la salle, et bien une personne se lève.
Elodie.
Oh non, pas ça. C'est reparti.. Samy se lève brusquement faisant un bruit énorme avec sa chaise. Les traits qu'ils dégagent de son visage sont signes de très mauvaise humeur. Néanmoins avec son sourire narquois, il donne une impression d'homme sûr de lui.
Sans grande surprise, il s'approche de Noé et blablate simplement avec lui. Mais sa voix lui donne un ton de moins en moins rassurant, mais menaçant. Dans la classe, tout le monde sait ce qu'il va se passer ce soir.
Et là, je ne sais pas ce qu'il me prend à moi, comme un mauvais pressentiment. Mes jambes se lèvent, et je range ma chaise. Puis, sans avoir le contrôle sur mon corps, je me dirige vers eux pour écouter la discussion. Par contre, je ne suis pas non plus aveugle et vois bien Jean en train de me matter derrière..
Tous les autres sont choqués. " Mais qu'est-ce qu'elle fait elle ? "
Samy, ayant vu ma présence, commence à m'agresser. A partir de ce moment, je sais que ça va dégénérer..
- Wesh, qu'est-ce tu veux toi c'est une discussion privée. Je lui demande les devoirs c'est tout wesh.
Sa réaction m'énerva encore plus, et là, je ne sais toujours pas pourquoi j'ai répondu. Sûrement pour ne pas passer pour une soumise..
- Mais Samy arrête, tout le monde ici sait que t'as pas de couilles. Tu vas ramener tes potes parce que t'as peur de te faire défoncer. Et là, tu le menaces pour qu'il arrive encore plus affaibli ce soir au rendez-vous. Mais tu sais quoi ? Tes emmerdes on en a marre, toute la classe. Je parle au nom de toutes les personnes ici. Je sais que ma parole ne résonnera pas ton ultime débilité, alors je préfère aller me rassoir. Hijo de puta.
Le dernier mot, l'insulte lâchée sans faire exprès, fut de trop. Je n'eus même pas le temps de bouger pour me replacer que Samy me sauta dessus, piqué au vif. Oui, à vrai dire c'était la seule expression espagnole qu'il connaissait..
Il plongea sur moi et mon agilité due à mes dix années de gymnastique me permit de l'esquiver. L'autre se ramassa une table en pleine mâchoire. Je vis sa bouche inondé de sang et trois de ses dents se briser.
Il fut pris d'une colère noire. Pas celle de Grégory qui a oublié de faire son DM, celle d'une vraie racaille, humiliée par le sexe opposé qu'il considère inférieur aux hommes.
Il se releva, la gueule complètement défigurée, et à ce moment, je sus que j'étais vraiment en danger avec son regard perçant et ses yeux rouges de folie. Mon seul recours, quitter la salle et me servir de ma rapidité.
Je quittai donc à toute vitesse la salle, un vrai pit-bull derrière moi en train de me courser. A ma grande surprise, plus des trois-quarts de la classe nous imitèrent et prenaient la fuite, pour choper Samy, enfin je ne sais pas, je donnais tout pour ne pas me faire rattraper. Le stress montait petit à petit. Où devais-je me diriger ? D'autant plus je ne connaissais l'enceinte du lycée qu'à moitié..
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