Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Le réprouvé


Par : Dark-arena
Genre : Fantastique, Action
Statut : C'est compliqué



Chapitre 2


Publié le 25/10/2011 à 11:11:50 par Dark-arena

C’était un jour comme tous les autres, après les cours, vers 18h00, je rentrais chez moi.
J’habitais Paris au XIXème arrondissement.
Il commençait a faire sombre et les lampadaires s’illuminèrent pour m’éclairer la route.
Tout était calme comme d’habitude, trop calme même.
J’ai même finis par remarquer qu’il n’y avait personne !
Je continue comme si de rien était, de toute façon j’avais encore une tonne de devoirs à faire, comme d’habitude, alors il ne valait mieux pas que je traine sur le chemin.
Mais tout à coup un coup de feu se fit entendre.
Je mis au sol, comme un geste de survie, puis je me relevai pour voir où était atterrit le projectile.
Il se trouvait en fait quelques mètres derrière moi, en plein cœur d’une personne qui gisait a présent au sol.
J’écarquillais les yeux et pris mes jambes a mon cou.
Un deuxième coup de feu retentit et explosa une vitre à proximité de moi, je du mettre mes mains devant mon visage pour me protéger des éclats de verre tout en continuant à courir.
Pendant la course-poursuite, je voulu prendre mon portable pour appeler directement la police, mais il m’échappa des mains.
Le tireur, arme à la main voulut tenter de me tuer de loin.
Il était vêtu de la tenu habituel d’un cambrioleur.
Il pointa son pistolet vers moi, mais la sirène de la police le déconcentra il décida de fuir.
Moi, pendant ce temps je continuais à courir, j’étais a présent arrivé dans un cimetière.
Mais le truc que je ne savais pas, c’est que le même type me suivait toujours !
Je me planquai derrière une tombe et attendis un peu.
Je voulu glisser ma tête pour voir ce qui se passer, et j’entendis le tireur charger son arme.
Une goutte de sueur coula sur ma joue, je le regardais droit dans les yeux, comme si je regardais la mort en face.
C’était trop tard, il tira.
Et là, je vis toute ma vie défiler en une seule seconde, avant que la balle n’atterrisse dans ma tête.
Je m’effondrai sur le sol, la vie m’avait quittée.
La dernière chose que je pu voir, ce fut le visage du tireur qui avait retiré son masque, il avait un immonde sourire qui bordait son visage, un sourire qui restera graver dans ma mémoire, même dans la mort.
Puis je fus comme aspirer, et une lumière blanche éclatante ce rependu partout dans mon champ de vision.
Et je les vis : les fameuses portes du paradis.
Un homme avec des ailes de plumes blanches et les bras ouverts comme pour m’accueillir m’adressa la parole :
-Bienvenu au paradis, Jim, dit-il d’une voix douce.
-Vous êtes un ange, demandai-je ?
-Je suis l’archange Gabriel, me répondit l’archange en souriant.
-Es-ce-que je suis …
-Mort, oui.
Je baissai la tête en ayant un sentiment de tristesse : Comment aller réagir ma mère, en l’apprenant ?
-Ne t’en fais pas pour elle, dans quelques années elle te rejoindra bientôt.
Il tendit les mains vers les portes et elle s’ouvrèrent.
Une ombre glissa sur le sol, ce qui me donna des vertiges.
-Tout va bien ? Me demanda l’Archange.
Et tout a coup la pièce de marbre blanc se transforma en véritable salle de cauchemar, du sang partout sur les murs et sur le sol, et surtout l’Archange changea de forme.
Puis ce fus le noir complet, la seule chose que je pus voir ce fus les yeux rouges qui devait être ceux du faux Archange.
-Bienvenu en enfer, jeune mortel ! Ricana le faux-Archange en éclatant d’un rire machiavélique.
Des ombres m’entourèrent et je ne pus plus bouger.
-Je me prénomme Délirius, je suis un démon du 7° degré.
Cette fois je pu apercevoir mieux son visage : Long, des grands yeux aussi rouge qu’un rubis, il n’avait pas de nez, la peau sombre, des cornes sur le du crane, et un grand sourire de sadique.
-Qu’es-ce-que vous me voulez ? Et pourquoi je suis en enfer ? Je ne l’ai pourtant pas mérité ! J’ai travaillé sans relâche en plus cette année au lycée ! Et en plus je ne fais pas beaucoup de connerie …
-Tais-toi ! Oui, tu n’as pas vraiment de raison d’être ici, mais c’est juste que c’est un jeu tu vois, entre toi et moi, dis Délirius
-Hein, un jeu ? Demandai-je.
-Tu comprendras vite …
Il disparut et réapparut derrière moi.
-dis-moi, commença t-il, as-tu déjà entendu parler des génies ?
-C’est ces personnages bizarre qui y’a dans Aladin, ou alors dans les jeux vidéos et qui exauce des vœux ? Répondis-je.
-Exact. Et tu vois aujourd’hui c’est un jour spécial, alors je vais t’accordé un vœu, mais un seul !
-Tout ce que je veux ?!
-Oui tout, vraiment tout ce que tu veux !
-Génial ! En fait vous êtes un démon gentil, non ? J’vous trouve plutôt cool !
-Si tu veux, si tu veux, aller fais vite.
-Je souhaite revenir à la vie ! Criai-je joyeusement.
-Que ton vœu soit exaucé ! Hurla vivement Délirius.
Un grand halo noir s’empara de moi.
-A partir de maintenant, Jim Morris, tu ne pourras plus jamais mourir, désormais tu seras a jamais un … Mort-vivant !
-Quoi ?!Hurlai-je pendant que je changeai de forme.
Délirius éclata d’un rire machiavélique.
-Et aussi, pour que ce soit plus distrayant tu resteras à jamais dans un jeu de rôle ! Aller rampe au sol, jeune réprouvé !
Délirius ré-éclata d’un rire sournois.
Puis je ne vis plus rien, ce fus le noir complet.


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