L'Incroyable Mogus
Par : OnlyWhiteRabbit
Genre : Fantastique
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 3
Publié le 14/03/10 à 19:39:31 par OnlyWhiteRabbit
Après une dernière inspection de sa grotte cette nuit là... non en fait il s'était endormi dans son lit avant d'avoir eu le temps de se lever et d'aller faire le tour de sa grotte.
BAAAAAAAAAAM !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
- PUTAIN DE CHAT DE MERDE SALE BÂTARD GALEUX DE TA MÈRE !
Mogus s'était réveillé en sursaut, comme un nouveau né arrive brusquement à la vie. Car si il y a bien là une vérité absolue, c'est que Mogus ne se souvient jamais de ses rêves.
- Pas fou Non ?! 23h04 !
- Mâouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu
- Roh ta gueule et vas bouffer, tu sais faire que ça à pars me faire chier !
"ronron"
- J'vous jure ce chat, si il me tenait pas compagnie...
Mogus s'avança lentement vers le salon, alluma tant bien que mal la télé et s'assit, dégustant cette fois-ci une somptueuse banane... mauve.
Celui-ci ne put s'empêcher de remarquer qu'il s'était levé tellement tôt qu'il assistait à un programme qu'il n'avait jamais vu.
<< Duck Dodgers >>
En effet, la dernière fois que Mogus s'était levé si tôt c'était... pour aller acheter du pain, il y a de ça bien des années, mais il s'était vite rendu compte qu'à 23h04 les boulangeries ne sont pas ouvertes, pas plus qu'à 30 ni qu'à 50.
Oubliant la télé, Mogus fut pris d'une soudaine envie de liberté, un sentiment qu'il n'avait pas ressenti depuis il y a de ça fort longtemps. Il courut alors à s'en fêler le tibia le long de sa grotte, remontant le kilomètre qui le séparait du monde extérieur, et arriva devant un trou qui laissait passer une chose étrange: le Soleil. Malheureusement le trou était bouché, et juste assez grand pour laisser passer la bouffe qu'il recevait une fois par semaine.
Il retourna alors s'assoir. Constatant que le trajet avait duré deux heures. C'était à présent la matinasse et il faisait 87,8°M. C'était Barbossa aujourd'hui.
Curieusement, l'idée de liberté, même si atténuée car rendu impossible à cause de la taille de l'entrée hanta Mogus tout le jour. Pendant qu'il casser des murs avec sa perforeuse, pendant qu'il confectionnait une chaises et trois meubles, pendant qu'il installait le mobilier et le remplissait et aussi pendant qu'il inspectait la grotte.
Mogus n'était même plus fier de sa grotte. Depuis ce jour, une étrange impression l'habitait, une impression de manquer quelque chose, une impression de vide, d'emprisonnement et de non existence.
BAAAAAAAAAAM !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
- PUTAIN DE CHAT DE MERDE SALE BÂTARD GALEUX DE TA MÈRE !
Mogus s'était réveillé en sursaut, comme un nouveau né arrive brusquement à la vie. Car si il y a bien là une vérité absolue, c'est que Mogus ne se souvient jamais de ses rêves.
- Pas fou Non ?! 23h04 !
- Mâouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu
- Roh ta gueule et vas bouffer, tu sais faire que ça à pars me faire chier !
"ronron"
- J'vous jure ce chat, si il me tenait pas compagnie...
Mogus s'avança lentement vers le salon, alluma tant bien que mal la télé et s'assit, dégustant cette fois-ci une somptueuse banane... mauve.
Celui-ci ne put s'empêcher de remarquer qu'il s'était levé tellement tôt qu'il assistait à un programme qu'il n'avait jamais vu.
<< Duck Dodgers >>
En effet, la dernière fois que Mogus s'était levé si tôt c'était... pour aller acheter du pain, il y a de ça bien des années, mais il s'était vite rendu compte qu'à 23h04 les boulangeries ne sont pas ouvertes, pas plus qu'à 30 ni qu'à 50.
Oubliant la télé, Mogus fut pris d'une soudaine envie de liberté, un sentiment qu'il n'avait pas ressenti depuis il y a de ça fort longtemps. Il courut alors à s'en fêler le tibia le long de sa grotte, remontant le kilomètre qui le séparait du monde extérieur, et arriva devant un trou qui laissait passer une chose étrange: le Soleil. Malheureusement le trou était bouché, et juste assez grand pour laisser passer la bouffe qu'il recevait une fois par semaine.
Il retourna alors s'assoir. Constatant que le trajet avait duré deux heures. C'était à présent la matinasse et il faisait 87,8°M. C'était Barbossa aujourd'hui.
Curieusement, l'idée de liberté, même si atténuée car rendu impossible à cause de la taille de l'entrée hanta Mogus tout le jour. Pendant qu'il casser des murs avec sa perforeuse, pendant qu'il confectionnait une chaises et trois meubles, pendant qu'il installait le mobilier et le remplissait et aussi pendant qu'il inspectait la grotte.
Mogus n'était même plus fier de sa grotte. Depuis ce jour, une étrange impression l'habitait, une impression de manquer quelque chose, une impression de vide, d'emprisonnement et de non existence.
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