Le Festin des Cannibales
Par : King_Yugo
Genre : Horreur , Fantastique
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 5
L'arrachage de verge
Publié le 04/12/10 à 14:55:35 par King_Yugo
La brune au tee-shirt « Party All the Time » embrasse John depuis douze minutes sans interruption et cela malgré les quelques boutons d' acnés qui jonchent sa bouche. Leurs langues se frottent, se caressent et s'entremêlent. John n'a pas l'habitude, il commence à avoir des crampes à la mâchoire. Il était temps que la jolie Maja cesse ce décrassage dentaire. Elle porte un foulard en satin pourpre autour du cou.
« Quel heure est-il mon chéri ?
- Il va bientôt être une heure du matin.
- Tu serais content de me suivre aux toilettes ? Je voudrais te montrer quelque chose.
- Quelque chose ? Répète John, complétement abruti par cette brune à la peau pâle.
- Ferme-là et suis moi. »
Elle prend sa main et il la suit. Ils se faufilent parmi la masse et croise la jumelle qui drague un type d'une trentaine d'année dont l'arcade sourcilière est percée. « Commotion Sexuelle » des Trisomix, le chauffeur de salle saute et ordonne aux clubbers de lever leurs mains en l'air. Maja lui chuchote un truc, John ne saisit pas mais il a un mauvais pressentiment.
****
Paul revient à la case départ. Plus personne sur les banquettes, d'autres ont prit la place. La bouteille de whisky ? Vide, évidemment. Elle n'est même plus sur la table, un serveur l'a probablement récupéré. Ruben fait les cent pas et ne cesse de regarder sa montre, l'air contrarié. Affolé, Paul décide d'envoyer un texto à John pour savoir dans quel coin il se trouve : Impossible de le capter dans cette foule qui semble s'épaissir à chaque secondes. Au passage, il checke l'heure : 00h58.
T ou enfoiré ?
Pas de réponse. Alors il se met à chercher dans tous les recoins du club. Même s'il y a du monde, John fait tout de même un mètre quatre-vingt quinze et il ne devrait pas être trop difficile à repérer.
****
« Attend, j'ai reçu un texto », dit John.
Il repousse délicatement Maja qui cesse de déboutonner sa braguette. Elle l'a entraîné dans une cabine de toilette, sans doute dans l'intention de baiser. Ce qu'elle ne sait pas c'est que John est puceau et que son trop plein d'excitation paralyse complétement son membre. Il dégaine son Iphone tout en reprenant son souffle tandis que la brune aux cheveux extrêmement lisse paraît impatiente, elle a l'air vraiment vorace.
« Je dois y aller, Paul me cherche.
- Pardon ? S'étonne Maja, presque vexée. Tu te moques de moi ?
- Non, je préfère partir. »
Elle lui barre le passage, plaque ses deux mains de part et d'autre des parois de la cabine et sourit à nouveau en prenant soin de ne pas montrer ses dents. Elle prend une attitude douce et chaleureuse -presque maternelle- qui ne manque pas d'émouvoir ce jeune puceau d'un mètre quatre-vingt quinze.
« J'ai comprit. Fait-elle en poussant John à s'asseoir sur la cuvette couverte de poils pubien. Détend-toi. »
Bluffé, John s'exécute et range son portable dans son jean. Maja s'agenouille. Elle détache son foulard et le noue derrière le crâne de John, formant ainsi un bâillon de fortune. John ne comprend pas, mais il s'en fiche. Ses muscles se décrispent, l'idée de se faire pomper par une fille blanche comme un cul d'albinos dans les chiottes d'une boîte ne lui déplaît pas plus que ça. Il pourra en parler à Paul, Tobe et...
Son hurlement ne traverse pas le foulard. Un liquide brûlant se met à dégouliner sur la cuvette, sur ses cuisses, sur le sol ainsi que sur son jean. Terrassé par la douleur, il gigote, parvient à éloigner Maja qui vient d'arracher son sexe d'un coup de crocs. Elle tient le morceau de pénis entre ses dents acérées et semble envahit par le bonheur. La vision de John se trouble, un geyser de sang vient dégueulasser la porte du chiotte, il n'a même plus assez de force pour prévenir ses potes. Il retire son bâillon, hurle à s'en brûler le larynx. Il glisse et tombe par terre, gisant dans son propre sang. Entre ses jambes il n'y a plus qu'un trou rouge et suintant. Maja regarde le cadran de sa montre une dernière fois : 1h00.
« Quel heure est-il mon chéri ?
- Il va bientôt être une heure du matin.
- Tu serais content de me suivre aux toilettes ? Je voudrais te montrer quelque chose.
- Quelque chose ? Répète John, complétement abruti par cette brune à la peau pâle.
- Ferme-là et suis moi. »
Elle prend sa main et il la suit. Ils se faufilent parmi la masse et croise la jumelle qui drague un type d'une trentaine d'année dont l'arcade sourcilière est percée. « Commotion Sexuelle » des Trisomix, le chauffeur de salle saute et ordonne aux clubbers de lever leurs mains en l'air. Maja lui chuchote un truc, John ne saisit pas mais il a un mauvais pressentiment.
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Paul revient à la case départ. Plus personne sur les banquettes, d'autres ont prit la place. La bouteille de whisky ? Vide, évidemment. Elle n'est même plus sur la table, un serveur l'a probablement récupéré. Ruben fait les cent pas et ne cesse de regarder sa montre, l'air contrarié. Affolé, Paul décide d'envoyer un texto à John pour savoir dans quel coin il se trouve : Impossible de le capter dans cette foule qui semble s'épaissir à chaque secondes. Au passage, il checke l'heure : 00h58.
T ou enfoiré ?
Pas de réponse. Alors il se met à chercher dans tous les recoins du club. Même s'il y a du monde, John fait tout de même un mètre quatre-vingt quinze et il ne devrait pas être trop difficile à repérer.
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« Attend, j'ai reçu un texto », dit John.
Il repousse délicatement Maja qui cesse de déboutonner sa braguette. Elle l'a entraîné dans une cabine de toilette, sans doute dans l'intention de baiser. Ce qu'elle ne sait pas c'est que John est puceau et que son trop plein d'excitation paralyse complétement son membre. Il dégaine son Iphone tout en reprenant son souffle tandis que la brune aux cheveux extrêmement lisse paraît impatiente, elle a l'air vraiment vorace.
« Je dois y aller, Paul me cherche.
- Pardon ? S'étonne Maja, presque vexée. Tu te moques de moi ?
- Non, je préfère partir. »
Elle lui barre le passage, plaque ses deux mains de part et d'autre des parois de la cabine et sourit à nouveau en prenant soin de ne pas montrer ses dents. Elle prend une attitude douce et chaleureuse -presque maternelle- qui ne manque pas d'émouvoir ce jeune puceau d'un mètre quatre-vingt quinze.
« J'ai comprit. Fait-elle en poussant John à s'asseoir sur la cuvette couverte de poils pubien. Détend-toi. »
Bluffé, John s'exécute et range son portable dans son jean. Maja s'agenouille. Elle détache son foulard et le noue derrière le crâne de John, formant ainsi un bâillon de fortune. John ne comprend pas, mais il s'en fiche. Ses muscles se décrispent, l'idée de se faire pomper par une fille blanche comme un cul d'albinos dans les chiottes d'une boîte ne lui déplaît pas plus que ça. Il pourra en parler à Paul, Tobe et...
Son hurlement ne traverse pas le foulard. Un liquide brûlant se met à dégouliner sur la cuvette, sur ses cuisses, sur le sol ainsi que sur son jean. Terrassé par la douleur, il gigote, parvient à éloigner Maja qui vient d'arracher son sexe d'un coup de crocs. Elle tient le morceau de pénis entre ses dents acérées et semble envahit par le bonheur. La vision de John se trouble, un geyser de sang vient dégueulasser la porte du chiotte, il n'a même plus assez de force pour prévenir ses potes. Il retire son bâillon, hurle à s'en brûler le larynx. Il glisse et tombe par terre, gisant dans son propre sang. Entre ses jambes il n'y a plus qu'un trou rouge et suintant. Maja regarde le cadran de sa montre une dernière fois : 1h00.
07/12/10 à 16:07:37
Suite :)
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