Note de la fic : 
Jeff pour les intimes
Par : briandu22
Genre : Action
Statut : C'est compliqué
Chapitre 7 : VII - Lâcheur, va !
Publié le 10/11/2010 à 22:14:08 par briandu22
VII - Lâcheur, va !
Je fus rapidement recontacté par Mr Kuepps, qui apprit bien vite que j?avais décidé de rester quelques temps en Angleterre. Il utilisa sans doute la mort de son débile de portier pour me rappeler? Il n'avait pas l'air de déplorer cette perte malgré qu?il me confia avoir été surpris. Pendant qu'il m'expliquait sa réaction, je rigolais intérieurement (en bon sadique) en imaginant ma propre réaction si j?avais été à sa place. L?horreur inhabituelle de la scène et le fait que ça se soit passé sous ses pieds sans qu'il ne s'en aperçoive ont du considérablement augmenter l?effet de surprise.
Il finit par me proposer une nouvelle entrevue. Il n'a pas voulu me voir en public, ma requête étant « pas opérable » selon ses propres termes? Qu'est ce qu'il se la pète celui la ! C?est aberrant ! Tête à claque? OK, il a du charisme, mais avec une gueule comme la sienne, on écrase !
Finalement, le RDV est convenu dans un vieil entrepôt (ça sent le traquenard à plein nez?). Je décide d?aller repérer les lieux la veille en prenant soin de ne pas être suivi (éternel paranoïaque..). Je me retrouve dans une scierie désaffectée. Les bâtiments tombent en lambeaux, le toit de tôle est partiellement effondré et le sol est tapissé d?une texture sèche de sciures, murs et charpentes mêlés. Je repère tranquillement les locaux quand me parvient un bruit de voiture. Passablement étonné, j?ai la lucidité de me soustraire rapidement de la scène. J?ai bien fait de venir en métro, ma voiture m?aurait trahi? Je vois débarquer un coupé cabriolet noir métallisé rapidement suivi par une berline de la même couleur. Je devine aisément le rapport avec mon rendez vous du lendemain. Je ne me suis pas trompé, je vois sortir de la berline le chauffeur qui nous avait déjà amenés, Zack et moi, dans les faubourgs Londoniens. Bingo? Je vois Mr Kuepps sortir de la voiture, costard Armani, Rayban noires, un vrai mafieux ! Ce qui m?intrigue encore, c?est le coupé? Personne ne bouge à l?intérieur pendant que le chauffeur qui m?est familier s?affaire à décharger des mallettes de son coffre.
Mr Kuepps se dirige vers le véhicule qui le devançait. Il passe du côté gauche, je ne vois que sa tête qui dépasse. Il est si petit que ça ? Seule sa tête dépasse d?un petit coupé ?! Je suis quelque peu choqué? Remarque, je ne l?avais vu que dans son fauteuil. Il s?adresse à quelqu?un (que je ne risque pas de voir..) par la fenêtre arrière de la voiture. Je n?entends pas les réponses, cependant les propos du vieux gâteux me parviennent aisément :
-J'ai avec moi les deux mallettes qui contiennent le nécessaire.
-Le rendez vous est fixé ici, demain comme je vous l'avais dit.
-Bien sur qu'il viendra, je le connais suffisamment ne vous faites pas de souci.
-Tâchez de l?abattre du premier coup ! Il ne vous laissera pas de deuxième chance Smith !
-C?est un malin, il est très perspicace, soyez discret. S'il découvre que je l'ai trahi, il ne reviendra que pour me tuer. (voilà le chauffeur qui ramène une mallette, en bon chienchien au timing travaillé)
-Voilà le premier acompte, Le deuxième vous attend à la livraison? À demain, Smith.
Je le vois passer le précieux bien à travers la fenêtre et se rediriger vers sa voiture, suivi de son larbin. Les deux voitures s'effacent, me laissant dans un nuage de fumée à réfléchir comment je vais bien pouvoir lyncher ce vieux connard. Il est 15h30, j?ai 22h30 pour régler ce détail?
Je fus rapidement recontacté par Mr Kuepps, qui apprit bien vite que j?avais décidé de rester quelques temps en Angleterre. Il utilisa sans doute la mort de son débile de portier pour me rappeler? Il n'avait pas l'air de déplorer cette perte malgré qu?il me confia avoir été surpris. Pendant qu'il m'expliquait sa réaction, je rigolais intérieurement (en bon sadique) en imaginant ma propre réaction si j?avais été à sa place. L?horreur inhabituelle de la scène et le fait que ça se soit passé sous ses pieds sans qu'il ne s'en aperçoive ont du considérablement augmenter l?effet de surprise.
Il finit par me proposer une nouvelle entrevue. Il n'a pas voulu me voir en public, ma requête étant « pas opérable » selon ses propres termes? Qu'est ce qu'il se la pète celui la ! C?est aberrant ! Tête à claque? OK, il a du charisme, mais avec une gueule comme la sienne, on écrase !
Finalement, le RDV est convenu dans un vieil entrepôt (ça sent le traquenard à plein nez?). Je décide d?aller repérer les lieux la veille en prenant soin de ne pas être suivi (éternel paranoïaque..). Je me retrouve dans une scierie désaffectée. Les bâtiments tombent en lambeaux, le toit de tôle est partiellement effondré et le sol est tapissé d?une texture sèche de sciures, murs et charpentes mêlés. Je repère tranquillement les locaux quand me parvient un bruit de voiture. Passablement étonné, j?ai la lucidité de me soustraire rapidement de la scène. J?ai bien fait de venir en métro, ma voiture m?aurait trahi? Je vois débarquer un coupé cabriolet noir métallisé rapidement suivi par une berline de la même couleur. Je devine aisément le rapport avec mon rendez vous du lendemain. Je ne me suis pas trompé, je vois sortir de la berline le chauffeur qui nous avait déjà amenés, Zack et moi, dans les faubourgs Londoniens. Bingo? Je vois Mr Kuepps sortir de la voiture, costard Armani, Rayban noires, un vrai mafieux ! Ce qui m?intrigue encore, c?est le coupé? Personne ne bouge à l?intérieur pendant que le chauffeur qui m?est familier s?affaire à décharger des mallettes de son coffre.
Mr Kuepps se dirige vers le véhicule qui le devançait. Il passe du côté gauche, je ne vois que sa tête qui dépasse. Il est si petit que ça ? Seule sa tête dépasse d?un petit coupé ?! Je suis quelque peu choqué? Remarque, je ne l?avais vu que dans son fauteuil. Il s?adresse à quelqu?un (que je ne risque pas de voir..) par la fenêtre arrière de la voiture. Je n?entends pas les réponses, cependant les propos du vieux gâteux me parviennent aisément :
-J'ai avec moi les deux mallettes qui contiennent le nécessaire.
-Le rendez vous est fixé ici, demain comme je vous l'avais dit.
-Bien sur qu'il viendra, je le connais suffisamment ne vous faites pas de souci.
-Tâchez de l?abattre du premier coup ! Il ne vous laissera pas de deuxième chance Smith !
-C?est un malin, il est très perspicace, soyez discret. S'il découvre que je l'ai trahi, il ne reviendra que pour me tuer. (voilà le chauffeur qui ramène une mallette, en bon chienchien au timing travaillé)
-Voilà le premier acompte, Le deuxième vous attend à la livraison? À demain, Smith.
Je le vois passer le précieux bien à travers la fenêtre et se rediriger vers sa voiture, suivi de son larbin. Les deux voitures s'effacent, me laissant dans un nuage de fumée à réfléchir comment je vais bien pouvoir lyncher ce vieux connard. Il est 15h30, j?ai 22h30 pour régler ce détail?