Meurtre a la faucheuse
Par : Ratou
Genre : Horreur
Status : Abandonnée
Note :
Chapitre 6
Publié le 28/08/10 à 18:23:10 par Ratou
Quand soudain arriva Marcus.
Marcus entra dans la pièce. Catherine recula de deux grand pas. Il fît signe qu'il était arrivé et continua sa route vers la cuisine pour déposer les achats. Il n'avait manifestement pas fait attention aux évènements précédents. Catherine alla s'installer sur un vieux fauteuils du séjour et ne me prononça plus de paroles de la matinée qui était déjà presque terminée. De temps-en-temps, elle me fixais et souriait.
Pour moi, il n'y avait plus de doute. Catherine menait double jeux en manipulant sans doute son plus grand adversaire : Marcus. Ainsi elle pouvait tuer sans craindre de ce faire prendre car elle était au courant de ses moindres mouvements et était de plus, une personne proche de lui. Elle était dans une très bonne position.
Il fallait tout dire à Marcus.
En début d'après-midi, Catherine décida de partir. C'était le moment de parler a Marcus. Après son départ, j'allai le voir et lui rendit compte de tout les événement passés pendant son absence. Mais malheureusement, il ne crut pas un mots a ce que je venais de lui raconter. Il me stoppa en disant même que je ne m'étais toujours pas remit de mes dernières frayeurs et aussi qu'il savait choisir ses partenaires. Que faire ? Je devais le persuader. Mais comment ?
Contrarié par mes révélations, Marcus, lui aussi ne m'adressa pas la parole de la journée.
Puis vînt la soirée. Marcus ce tint à côté de moi pendant cette période pour assurer ma protection au cas où le faucheur serait parvenu a découvrir où nous nous trouvions et de surcroit, viendrait a l'attaque. La soirée a laissé place a la sombre et glaciale nuit d' hivers. Ne voyant aucune alerte, Marcus alla s'installer dans la deuxième chambre pour passer la nuit. Il me confit tout de même une arme à feu. Il était deux heures du matin mais je ne parvenais pas a dormir. Je repensais à tout ce sang retrouvé chez moi. Catherine devait savoir que je l'avais démasqué donc que j'avais mis au courant Marcus, ce qui expliquait qu'elle n'était pas apparut cette soirée. Je ne pensais pas qu'elle allait venir maintenant.
C'est alors que j'entendis un grand fracas venant de la pièce d'a côté. Comme si un meuble était tombé. Je me levais en sursaut. Mon c½ur battait la chamade. Je me rendais dans la chambre de Marcus d'un pas rapide mais peu rassuré. Arrivé devant la porte, je distinguais des bruits de gémissements. J'entrouvris la porte tout en appelant Marcus d'un ton peu rassuré. J'aperçus alors Marcus a travers la l'ouverture de la porte. Je voyais une grosse blessure au niveau de son coup, le sang coulait a flot. Il ce trainait vers moi ou plutôt vers la porte. Du sang sortais de tous les orifices en parti de sa bouche. Il respirait difficilement. Sa tête a demis coupée penchait, j'avais l'impression qu'elle pouvait ce déchirer a tout moment de sa tête. Dans un effort, il tendit un bras dans ma direction puis s'écroula sur le sol. Il resta inerte sur le planché de bois. Le sang s'étalait jusqu'à entourer Marcus. Marcus venait de mourir. Je restais immobile devant la porte entre-ouverte. Il fallait fuir mais mes jambes étaient molles et tremblantes.
Soudain, la porte s'ouvrit violemment. Cette fois je distinguais bien cette silhouette. Son visage était caché par des bouts de tissus noir, le faucheur du soir était de même vêtu que de noir et tenait dans sa main gauche une grande faux. La taille du faucheur était encore plus grand que dans mes pensées : dans les 1m 90. Le faucheur tenta de me lancé un coup avec sa faux ensanglanté mais inestremiste, je parvint une esquive en tombant par-terre. A terre j'étais a sa merci. Une envie folle de survie surgis en moi, je me levais et couru comme un cabri vers ma chambre pour prendre possession de l'arme que m'avais confié Marcus. Le faucheur me poursuivais d'un pas lent. C'était ma chance. Il fallait fuir ou l'affronter. Je décidais de fuir. Mais pour cela il fallait sauter du premier étage de la maison. Heureusement un buisson ce trouvait en dessous de la fenêtre. Le faucheur approchait dangereusement. Je prit élan et traversa la fenêtre pour atterrir dans le buisson avec quelques égratignures. Je prit mon arme et parti en direction des champs.
Une longue nuit de traque venait de commencer.
TO BE CONTINUED
Marcus entra dans la pièce. Catherine recula de deux grand pas. Il fît signe qu'il était arrivé et continua sa route vers la cuisine pour déposer les achats. Il n'avait manifestement pas fait attention aux évènements précédents. Catherine alla s'installer sur un vieux fauteuils du séjour et ne me prononça plus de paroles de la matinée qui était déjà presque terminée. De temps-en-temps, elle me fixais et souriait.
Pour moi, il n'y avait plus de doute. Catherine menait double jeux en manipulant sans doute son plus grand adversaire : Marcus. Ainsi elle pouvait tuer sans craindre de ce faire prendre car elle était au courant de ses moindres mouvements et était de plus, une personne proche de lui. Elle était dans une très bonne position.
Il fallait tout dire à Marcus.
En début d'après-midi, Catherine décida de partir. C'était le moment de parler a Marcus. Après son départ, j'allai le voir et lui rendit compte de tout les événement passés pendant son absence. Mais malheureusement, il ne crut pas un mots a ce que je venais de lui raconter. Il me stoppa en disant même que je ne m'étais toujours pas remit de mes dernières frayeurs et aussi qu'il savait choisir ses partenaires. Que faire ? Je devais le persuader. Mais comment ?
Contrarié par mes révélations, Marcus, lui aussi ne m'adressa pas la parole de la journée.
Puis vînt la soirée. Marcus ce tint à côté de moi pendant cette période pour assurer ma protection au cas où le faucheur serait parvenu a découvrir où nous nous trouvions et de surcroit, viendrait a l'attaque. La soirée a laissé place a la sombre et glaciale nuit d' hivers. Ne voyant aucune alerte, Marcus alla s'installer dans la deuxième chambre pour passer la nuit. Il me confit tout de même une arme à feu. Il était deux heures du matin mais je ne parvenais pas a dormir. Je repensais à tout ce sang retrouvé chez moi. Catherine devait savoir que je l'avais démasqué donc que j'avais mis au courant Marcus, ce qui expliquait qu'elle n'était pas apparut cette soirée. Je ne pensais pas qu'elle allait venir maintenant.
C'est alors que j'entendis un grand fracas venant de la pièce d'a côté. Comme si un meuble était tombé. Je me levais en sursaut. Mon c½ur battait la chamade. Je me rendais dans la chambre de Marcus d'un pas rapide mais peu rassuré. Arrivé devant la porte, je distinguais des bruits de gémissements. J'entrouvris la porte tout en appelant Marcus d'un ton peu rassuré. J'aperçus alors Marcus a travers la l'ouverture de la porte. Je voyais une grosse blessure au niveau de son coup, le sang coulait a flot. Il ce trainait vers moi ou plutôt vers la porte. Du sang sortais de tous les orifices en parti de sa bouche. Il respirait difficilement. Sa tête a demis coupée penchait, j'avais l'impression qu'elle pouvait ce déchirer a tout moment de sa tête. Dans un effort, il tendit un bras dans ma direction puis s'écroula sur le sol. Il resta inerte sur le planché de bois. Le sang s'étalait jusqu'à entourer Marcus. Marcus venait de mourir. Je restais immobile devant la porte entre-ouverte. Il fallait fuir mais mes jambes étaient molles et tremblantes.
Soudain, la porte s'ouvrit violemment. Cette fois je distinguais bien cette silhouette. Son visage était caché par des bouts de tissus noir, le faucheur du soir était de même vêtu que de noir et tenait dans sa main gauche une grande faux. La taille du faucheur était encore plus grand que dans mes pensées : dans les 1m 90. Le faucheur tenta de me lancé un coup avec sa faux ensanglanté mais inestremiste, je parvint une esquive en tombant par-terre. A terre j'étais a sa merci. Une envie folle de survie surgis en moi, je me levais et couru comme un cabri vers ma chambre pour prendre possession de l'arme que m'avais confié Marcus. Le faucheur me poursuivais d'un pas lent. C'était ma chance. Il fallait fuir ou l'affronter. Je décidais de fuir. Mais pour cela il fallait sauter du premier étage de la maison. Heureusement un buisson ce trouvait en dessous de la fenêtre. Le faucheur approchait dangereusement. Je prit élan et traversa la fenêtre pour atterrir dans le buisson avec quelques égratignures. Je prit mon arme et parti en direction des champs.
Une longue nuit de traque venait de commencer.
TO BE CONTINUED
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