- Tu es arrivé !

   Marcus connaissait cette jeune femme. Elle prit la parole :

  - J'arrive plus tôt aujourd'hui, alors tu as pus l'avoir ce faucheur ? 

   Elle m'aperçut, et reprit d'un air gêné. 

  - Mais on a un invité ! Elle ce tourna vers Marcus. Qui est-ce ? 

   Malgré la surprise de me voir, elle restait calme. Marcus répondit aussitôt à cette dénommé Catherine. 

  - Tu es déjà arrivé ! Lui, il est la proie du faucheur mais il a réussit a lui échapper. 

   Et il lui expliqua toute notre mésaventure. 

  -Il m'a encore doublé. On dirait qu'il sait mes plans d'attaques et les contournes constamment. 
 
   Catherine écoutait le récit de Marcus avec des yeux pétillants. Après avoir prit connaissance de cette folle soirée, Catherine m'expliqua a son tour quel était son rôle : pour faire simple elle était une associée voir même une coéquipière qui avait pour principale charge de ce renseigner sur les futures victimes ou déplacement du faucheur du soir. Ainsi après l'avoir localisé, ils mettent au point un stratagème qui leur permettront de l'arrêter pour enfin libérer le monde de ce terrible meurtrier. Marcus ce chargerait tout seul de le neutraliser. Mais le tueur s'avérait être très intelligent et anticipait constamment les mouvements de Marcus. 

   Après le petit déjeuner, nous partîmes vers une autre planque car le faucheur connaissait celle-ci. Catherine s'y rendit avec nous. On ce retrouvait une nouvelle fois au milieu de la campagne mais cette fois c'était une petite maison en bois avec une grande cour derrière. La maison possédait un étage et devait à ma vue comporter au premier étage deux chambres. Au rez de chaussé, il y avait le séjour et une cuisine. Les timides lumières des pièces ce faisaient oprésser par les sombres bouts de bois de la maison qui les entouraient. Dès ma rentrée, une grande sensation de fraicheur venait m'envahir. 

   Marcus décida d'aller chercher des vivres et me laissa dans les mains de Catherine. Catherine était une jeune femme très plaisante et gardait constamment son petit sourire discret. Pendant notre discutions elle jugea qu'il faisait trop froid et enleva son gilet blanc pour enfilé un pull. C'est alors que je découvris une blessure sur son avant bras droit, cette blessure était récente car le pansement qui couvrait la plait était encore imbibé de sang frais. Je me rappelais soudain des paroles de Marcus du matin même : << Je l'ai sans doute touché à l'épaule hier >>.

   Horrifié, je restait sans prononcer de parole ni bouger. Ce n'était sans doute qu'une coïncidence. Me disais-je en essayant de me rassurer. Elle avait remarqué que je n'allais pas bien et avait terminé de mettre son pull. Elle me regardait toujours avec sourire, j'avais l'impression qu'il grandissait de plus en plus. Catherine s'approchait de moi lentement. Que voulait t'elle faire de moi. Elle avançait toujours. Le temps coulait lentement. Quand a moi pétrifié, j'attendais, j'attendais qu'elle fauche ma vie comme elle avait fait pour ma mère. 

Quand soudain arriva Marcus. . .

             TO BE CONTINUED