L'autre monde.
Par : Globax
Genre : Fantastique
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 33
Publié le 19/08/13 à 01:10:42 par Globax
Bon, nouveau chapitre posté... Pfiouf un de plus !... Allé je vous souhaite à tous une bonne lecture !
Moi, je m'en vais lire le nouveau chapitre de "les chants d'ombre et de lumière" qui me plait pas mal...
(pub spotted )
Sinon j'espère que vous apprécierez cette suite
_______________________________________________
L'homme était solidement attaché sur une large chaise métallique. Ses membres, entièrement fixés par de lourdes chaines, pendaient mollement par dessus les accoudoirs... Il dormait.
… tac, tac,tac,tac... *SPLASH*
Ses paupières, couverte d'un liquide sale, s'entrouvrirent lentement...
Il put distinguer, malgré le flou dut à la lumière, trois personnes se tenant devant lui, le dominant de toute leur hauteur. Deux blouses blanches... et un inconnu...
Alors comme ça c'était à son tour ? Hein ?
Très bien, il en avait marre de toute cette horreur... S'il regrettait, c'était une seule chose... Ne pas avoir pu assouvir sa vengeance... Oui... Ne pas avoir pu tous les massacrer... Ces démons qui les avaient capturés pour les enfermer en ce lieux... Les chaines... la douleur... Les sanglots, les pleures... la honte...
Oui... Il avait vécu ces... Ô combien d'années dans la faim, la soif et la maladie...Attaché tel une vulgaire bête de foire... Privé de toute énergie, à regarder les siens partir les uns après les autres des ces mêmes pleures... L'horreur avait un visage... Il le voyait enfin !! Mais il allait partir... Comme les autres... Lui qui s'était juré de rester, pour les tuer... TOUS !!!
Au non, il allait vivre il le devait !
Une voix le coupa dans ses réflexions :
??? – Commencez l'injection !
??? – Bien, Duc... répondit un des scientifiques en apportant une seringue, emplie d'un liquide noir.
Alors c'était comme ça que ça se passait... D'accord, lui, il ne crierais pas ! Il n'allait pas leur faire ce plaisir ! Il allait résister, vivre, et les tuer !
Serrant les dents, le prisonnier ficha son regard meurtrier dans les yeux ses bourreaux.
Il ne broncha pas lorsque la fine aiguille transperça sa jugulaire... Il ne cilla pas non plus lorsque le Duc ordonna l'injection.
Puis tout se passa très vite...
La dernière chose qu'il vit, fut la salle, entrain de tourner autours de lui... avant de perdre la vue... Ses yeux fondaient... Ses tympans semblèrent se déchirer, ses ongles se retourner... Serrant les dents, à s'éclater la mâchoire, une douleur sans nom s'empara de chaque fibres de son être.
Le poison coulait, brulant, rongeant ses veines. L'acide courait, tétanisant ses muscles. Et toujours, ces couteaux qui lui tailladaient la chaire, lui déchirant les poumons de l'intérieur. Son cœur pulsait, envoyant l'horreur jusqu'à son cerveau... Sa tête sembla éclater, imploser.
L'affreux liquide coulait par ses oreilles, brulant la peau, creusant de larges et profonds sillons dans d'horribles bruits de grésillements, mettant les muscles de son visage à nue.
Ses dents éclatèrent... Et il hurla, hurla sa haine, sa colère sans nom !
...
…
??? – L’expérience est encore un échec... le cobaye n’a pas survécu…
Duc – ESPECE D'INCCAPABLES !!!!
??? – Non, Attendez !... Je sens un pouls... Il est très faible !
Le Duc écarquilla les yeux, laissant son visage se fendre d'un vaste sourire. Son arme était enfin prête ! Il avait réussi !
Duc – Félicitation !! Tonna t-il. Placez le dans le caisson, en hypothermie ! Vous aurez le poste promis lorsque je serais l'homme le plus important du royaume !... D'ailleurs, ou en sommes nous avec lui ?
??? – L'attaque sera lancée d'ici cinq minutes... Selon vos plans, maitre.
Il se permit un dernier sourire. Tout se déroulait selon ses plans... Il ne lui restait plus qu'à se débarrasser de ces deux incapables avant de réunir son armée !
A cette pensée, il ne put réprimer un énorme rire gras, qui tomba fatalement sur la ville à ses pieds...
_______________________________________________
Fannalo s'enfonça dans le noir, en direction du groupe de soldats devant nous.
En moins de trente secondes, les lumières étaient éteinte et notre guide était revenu...
Tout c'était passé très vite dans ces ténèbres... Je ne pouvais voir que de temps à autre une mince silhouette, éclairée par un faible faisceau de lumière, qui se perdait dans cette immensité... Ces brèves apparitions durant lesquelles l'homme semblait se mouvoir avec grâce et légèreté, durant lesquelles il semblait virevolter, danser à travers les multiples ombres, comme s'il prévoyait chacun de leurs mouvements... Éclatant les têtes, fauchant les jambes, il revint aussi vite qu'il était partit, pour nous conduire à travers les rues de la citée.
Sans un mots, nous avancions. Courants à l'aveuglette, on le suivait, sans vraiment savoir où nous allions... tel un troupeau de moutons perdus, suivant un chien de berger.
…
Mais je pense à quoi la ??
J'imagine des trucs bizarre des fois … En tous cas ça crains, je suis pas un mouton moi
« Heuu...
– Près de l'entrée nord de l'arène, me coupa Fannalo d'un ton sec, maintenant tait-toi ! »
Il a encore lu dans mes pen... Rooo et puis ils peuvent aller se faire voir, je me casse !
Ralentissant discrètement, je m'éloignais du groupe, le laissant partir devant. J'avais quelqu'un à aller voir... :
Mais...
….
Je suis où la au faite ???
…
…..
Mais chui vraiment con …. je sais où je suis
Je suis perdu au milieux d'une ville où l'on est recherchés... surement plus mort que vif à présent
Bon.. Maintenant que je sais où je suis... Et que je sais où je vais... Heu... J'y vais comment...
…
« La !! Tonna une voix derrière moi. Attrapez le !!
– Heu... »
Je me mis à courir comme jamais, sans même prendre le temps de voir ce qui arrivait.
De lourd bruits sourds retentissaient par dizaines sous les bottes métalliques des soldats. Bottes percutants le sol humide que je foulais moi même de mes pas de courses. De minces raies de lumières filtrait tandis que leur voix s'élevaient toujours, criant à chaque fois que je changeais de direction.
Épuisé et perdu, je vis avec désespoir un nouveau groupe arriver, en face...
Les faisceaux se croisèrent tandis que je virais de cotés. Filant sur la gauche, je pénétrais dans une mince ruelle aux relents horrifiants...
Pour tomber nez à nez avec... Un autre mur...
Merde... Coincé... Et les soldats qui rentraient lentement dans le cul de sac...
Tournant la tête en tout sens, mon regard ne porta sur rien... Aucune issus..
Soudain, un cri perçant déchira les ténèbres, puis un bruit de froissement d'ailes se déclara, gagnant rapidement en ampleur, semblant se rapprocher... La masse fulgurante tomba au sol avec légèreté, fichant ses immenses serres dans la terre meuble, à quelques pas de moi. L'immense condor déploya ses vastes ailes.
Voyant cet immense oiseau débarquer de nul part, j'écarquillais les yeux sous le coup de la surprise. Mais quel ne fut pas cette dite surprise lorsque ses pattes s'allongèrent, lorsque ses plumes noires se rétractèrent, pénétrant dans chacun des ports de sa peau. Prenant une forme quasi humaine, la créature se redressa et se tourna dans ma direction.
« Co... com.. comment ? Parvins-je à balbutier. »
Dégainant son épée dans un torrent de flammes, Eniarel me répondis simplement :
« Fannalo m'a demandé de venir t'aider... »
Putain... Il savait même pour ça...
« Bouge pas, continua t-il, je vais te sortir d'ici ! »
Moi, je m'en vais lire le nouveau chapitre de "les chants d'ombre et de lumière" qui me plait pas mal...
(pub spotted )
Sinon j'espère que vous apprécierez cette suite
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L'homme était solidement attaché sur une large chaise métallique. Ses membres, entièrement fixés par de lourdes chaines, pendaient mollement par dessus les accoudoirs... Il dormait.
… tac, tac,tac,tac... *SPLASH*
Ses paupières, couverte d'un liquide sale, s'entrouvrirent lentement...
Il put distinguer, malgré le flou dut à la lumière, trois personnes se tenant devant lui, le dominant de toute leur hauteur. Deux blouses blanches... et un inconnu...
Alors comme ça c'était à son tour ? Hein ?
Très bien, il en avait marre de toute cette horreur... S'il regrettait, c'était une seule chose... Ne pas avoir pu assouvir sa vengeance... Oui... Ne pas avoir pu tous les massacrer... Ces démons qui les avaient capturés pour les enfermer en ce lieux... Les chaines... la douleur... Les sanglots, les pleures... la honte...
Oui... Il avait vécu ces... Ô combien d'années dans la faim, la soif et la maladie...Attaché tel une vulgaire bête de foire... Privé de toute énergie, à regarder les siens partir les uns après les autres des ces mêmes pleures... L'horreur avait un visage... Il le voyait enfin !! Mais il allait partir... Comme les autres... Lui qui s'était juré de rester, pour les tuer... TOUS !!!
Au non, il allait vivre il le devait !
Une voix le coupa dans ses réflexions :
??? – Commencez l'injection !
??? – Bien, Duc... répondit un des scientifiques en apportant une seringue, emplie d'un liquide noir.
Alors c'était comme ça que ça se passait... D'accord, lui, il ne crierais pas ! Il n'allait pas leur faire ce plaisir ! Il allait résister, vivre, et les tuer !
Serrant les dents, le prisonnier ficha son regard meurtrier dans les yeux ses bourreaux.
Il ne broncha pas lorsque la fine aiguille transperça sa jugulaire... Il ne cilla pas non plus lorsque le Duc ordonna l'injection.
Puis tout se passa très vite...
La dernière chose qu'il vit, fut la salle, entrain de tourner autours de lui... avant de perdre la vue... Ses yeux fondaient... Ses tympans semblèrent se déchirer, ses ongles se retourner... Serrant les dents, à s'éclater la mâchoire, une douleur sans nom s'empara de chaque fibres de son être.
Le poison coulait, brulant, rongeant ses veines. L'acide courait, tétanisant ses muscles. Et toujours, ces couteaux qui lui tailladaient la chaire, lui déchirant les poumons de l'intérieur. Son cœur pulsait, envoyant l'horreur jusqu'à son cerveau... Sa tête sembla éclater, imploser.
L'affreux liquide coulait par ses oreilles, brulant la peau, creusant de larges et profonds sillons dans d'horribles bruits de grésillements, mettant les muscles de son visage à nue.
Ses dents éclatèrent... Et il hurla, hurla sa haine, sa colère sans nom !
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??? – L’expérience est encore un échec... le cobaye n’a pas survécu…
Duc – ESPECE D'INCCAPABLES !!!!
??? – Non, Attendez !... Je sens un pouls... Il est très faible !
Le Duc écarquilla les yeux, laissant son visage se fendre d'un vaste sourire. Son arme était enfin prête ! Il avait réussi !
Duc – Félicitation !! Tonna t-il. Placez le dans le caisson, en hypothermie ! Vous aurez le poste promis lorsque je serais l'homme le plus important du royaume !... D'ailleurs, ou en sommes nous avec lui ?
??? – L'attaque sera lancée d'ici cinq minutes... Selon vos plans, maitre.
Il se permit un dernier sourire. Tout se déroulait selon ses plans... Il ne lui restait plus qu'à se débarrasser de ces deux incapables avant de réunir son armée !
A cette pensée, il ne put réprimer un énorme rire gras, qui tomba fatalement sur la ville à ses pieds...
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Fannalo s'enfonça dans le noir, en direction du groupe de soldats devant nous.
En moins de trente secondes, les lumières étaient éteinte et notre guide était revenu...
Tout c'était passé très vite dans ces ténèbres... Je ne pouvais voir que de temps à autre une mince silhouette, éclairée par un faible faisceau de lumière, qui se perdait dans cette immensité... Ces brèves apparitions durant lesquelles l'homme semblait se mouvoir avec grâce et légèreté, durant lesquelles il semblait virevolter, danser à travers les multiples ombres, comme s'il prévoyait chacun de leurs mouvements... Éclatant les têtes, fauchant les jambes, il revint aussi vite qu'il était partit, pour nous conduire à travers les rues de la citée.
Sans un mots, nous avancions. Courants à l'aveuglette, on le suivait, sans vraiment savoir où nous allions... tel un troupeau de moutons perdus, suivant un chien de berger.
…
Mais je pense à quoi la ??
J'imagine des trucs bizarre des fois … En tous cas ça crains, je suis pas un mouton moi
« Heuu...
– Près de l'entrée nord de l'arène, me coupa Fannalo d'un ton sec, maintenant tait-toi ! »
Il a encore lu dans mes pen... Rooo et puis ils peuvent aller se faire voir, je me casse !
Ralentissant discrètement, je m'éloignais du groupe, le laissant partir devant. J'avais quelqu'un à aller voir... :
Mais...
….
Je suis où la au faite ???
…
…..
Mais chui vraiment con …. je sais où je suis
Je suis perdu au milieux d'une ville où l'on est recherchés... surement plus mort que vif à présent
Bon.. Maintenant que je sais où je suis... Et que je sais où je vais... Heu... J'y vais comment...
…
« La !! Tonna une voix derrière moi. Attrapez le !!
– Heu... »
Je me mis à courir comme jamais, sans même prendre le temps de voir ce qui arrivait.
De lourd bruits sourds retentissaient par dizaines sous les bottes métalliques des soldats. Bottes percutants le sol humide que je foulais moi même de mes pas de courses. De minces raies de lumières filtrait tandis que leur voix s'élevaient toujours, criant à chaque fois que je changeais de direction.
Épuisé et perdu, je vis avec désespoir un nouveau groupe arriver, en face...
Les faisceaux se croisèrent tandis que je virais de cotés. Filant sur la gauche, je pénétrais dans une mince ruelle aux relents horrifiants...
Pour tomber nez à nez avec... Un autre mur...
Merde... Coincé... Et les soldats qui rentraient lentement dans le cul de sac...
Tournant la tête en tout sens, mon regard ne porta sur rien... Aucune issus..
Soudain, un cri perçant déchira les ténèbres, puis un bruit de froissement d'ailes se déclara, gagnant rapidement en ampleur, semblant se rapprocher... La masse fulgurante tomba au sol avec légèreté, fichant ses immenses serres dans la terre meuble, à quelques pas de moi. L'immense condor déploya ses vastes ailes.
Voyant cet immense oiseau débarquer de nul part, j'écarquillais les yeux sous le coup de la surprise. Mais quel ne fut pas cette dite surprise lorsque ses pattes s'allongèrent, lorsque ses plumes noires se rétractèrent, pénétrant dans chacun des ports de sa peau. Prenant une forme quasi humaine, la créature se redressa et se tourna dans ma direction.
« Co... com.. comment ? Parvins-je à balbutier. »
Dégainant son épée dans un torrent de flammes, Eniarel me répondis simplement :
« Fannalo m'a demandé de venir t'aider... »
Putain... Il savait même pour ça...
« Bouge pas, continua t-il, je vais te sortir d'ici ! »
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