Déjà, j'en entend certain qui croient que je vais tous vous faire mourir... c'est pas faux.... Non merde c'est pas ça que je devait dire !! Je suis sadique... oui.... Mais pas à ce point.
….
Quoique...
Donc certain d'entre vous survivrons ! A partir de la, il ne vous reste plus qu'à prier pour rester en vie. :
Bonne lecture à tous, et merci pour vos commentaires !!!!!

P.S. Sultano est pas mort comme vous le pensez, Marine l'a sauvé, si vous lisiez bien vous l'auriez compris bande de racl's. ( Il pourra donc se faire défoncer dans un prochain combat. [Que vous ne verrez pas])

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YaaAAaaAAAAAaaAaAaAaaAaaAaaAAaAaaAA.....

S'élançant, Rodolphe parvint rapidement au niveau de Naon. Il détalla sur le sable de l'arène comme un scarabée, () et réussit à sauter de quelques centimètres. Fort de son élan, il abattit le tranchant de son arme sur le samouraï.
Celui ci se laissa tomber à terre, et d'un déplacement de jambe bien placé, crocheta celles de l'autiste, qui s'effondra lamentablement. Se relevant d'un bond, il arma sa lame, pour porter le coup final.
C'était sans compter une terrible odeur qui lui assaillit les narines, et le projeta à terre, le contraignant à rendre son déjeuné une seconde fois. Enrageant, il vit, sans rien pouvoir faire, Rodolphe se relever en pleurant.

« EspEcE De cOnNarD !!!! Tu ma... tu ma.... fais ... MaaAaaaAaaaAL!!! »

Sur ces paroles, il se jeta sur Naon, le recouvrant ainsi de la terrible matière fécale. Sous le choc, ils lâchèrent tout deux leurs armes, peut aptes au corps à corps, et roulèrent sur plusieurs mètres. S'entremêlant dans la poussière.

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Julia écarquilla les yeux, en l'espace d'une seconde, les pédobears avaient vus leur nombres passer de un à seize. Se rappelant l'armée de gobelin qu'elle avait combattu avec son maître, elle se ressaisit. Ils étaient une centaine de créatures, alors que cette fois, eux, ils n'étaient que seize...non... trente-deux maintenant...
Qu'importe? Se positionnant, elle attendit patiemment l'arrivée du premier ennemi.
Il fonçait à toute vitesse, son étrange tube avait encore grossit et, tout dégoulinant de bave, il fessait trembler la graisse de son ventre sous ses imposants pas de courses. D'une détente hallucinante pour quelqu'un de son envergure, il s'élança dans les airs, en direction de sa proie, prêt à l'écraser sous sa masse. Mais la petite fille était prête.
D'un demis-tour sur place, elle fit tournoyer son bâton argenté dans un tourbillon de sable. Lui donnant un élan phénoménale. Celui-ci, emplit d'une vitesse effroyable, s'écrasa dans un concert d'étincelles, sur le crane du pédobear. Sa course fut stoppée net. Un arc électrique se forma à la base du métal et projeta un Robert, calciné, sur plusieurs mètres. Il s'y écrasa dans un dégagement de poussière, laissant sa place à un second, qui bondit à son tour.
Les assauts s'enchaînèrent tandis que le stade se teintait d'éclats bleutés. La foudre frappait, encore et encore. Des cadavres, brûlés à mort, s'empilaient par dizaines. Au sommet de cette amoncellement de corps, Julia, encerclée, continuait à frapper... toujours.
C'était maintenant une foule de centaines de personnes qui s'étalait de la base de la colline, jusqu'à perte de vue. Les pédobears grimpaient inlassablement. Tombant, les uns après les autres. Chutant, venant ajouter leur dépouilles carbonisé aux nombreuses autres déjà présentes aux pieds de Julia.
D'un déplacement sur la gauche, elle esquiva un coup maladroit. Puis un autre sur sa droite. Enfin, un troisième ennemi tomba du ciel pour l'écraser à son tour. Combien en avait-elle tuer ? Cinquante, Cent ? Elle ne les comptait plus. Voilà qu'ils étaient à présent des milliers en bas.
Elle eu une pensée pour son maître. Il ne voulait pas... mais elle n'avait plus le choix... Elle devait le faire. Dans tous les cas, elle allait y passait, alors autant emporter le maximum d'ennemis dans sa chute...
S'armant de son bâton argenté, Julia ferma les yeux. Un bruit sourd retentit, une aura bleuté l'enveloppa, soulevant ses longs cheveux châtains et révélant un visage crispé. Soulevant son arme, elle afficha un masque de tristesse.

« Désolé...murmura t-elle »

Brandissant le bâton d'argent, elle le poussa violemment en direction des cadavres à ses pieds. Se fut le moment que choisi un des pédobear pour lui sauter brusquement dessus. Dans son trop plein d'élan, il passa sur la fille, et s'écrasa vingts mètres plus bas. L'arme s'envola sur le coup, libérant une pluie d'éclairs fulgurant. Des dizaines de dépouilles fumants s'écrasèrent sur le sable chaud.
Écarquillant ses yeux emplis de terreur, Julia vit son bâton se perdre au loin avec horreur.
Un pédobear l'enveloppa soudain dans sa graisse en tentant de lui retirer son pantalon... Non ! Elle n'avait plus du tout envie de savoir à quoi servait cet horrible membre...

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Roulant sur une dizaine de mètres, Naon parvint enfin à se redresser tout en enveloppant Rodolphe à l'aide de ses cuisse. Serrant le poing, il abattit son gant métallique sur le visage de son ennemi. Hurlant, l'autiste se débattit et serra le samouraï dans ses bras. Sous la terrible odeur, celui ci vomi une troisième fois... L'étrange substance s'écrasa sur Rodolphe qui ouvrit la bouche pour hurler à nouveau son cri de guerre, avalant au passage quelque peut de l'infect liquide.
Dégoutté, il vida à son tour le contenu de son estomac. Contenu qui s'infiltra à travers les mailles de l'armure du samouraï. Choqué par cette échange, il joignit ses deux mains, et les écrasa ensemble sur la tête de son ennemi.
Assommé, celui-ci cessa de débattre et s'affaissa sur le sable mouillé.

« Ezpeze de zalop !!, cracha Naon tout en lâchant sa salive sur le corps à terre »

Se redressant lentement, le samouraï regarda tout autour de lui. Quel était donc cette masse informe au loin ? Une espèce de colline géante s'élevait au milieu du terrain. Des fibres électriques bleutés fusaient de toutes parts.
Julia était certainement en mauvaise posture. Il devait l'aider. Localisant son arme, il partit la récupérer. Mais en se penchant vers son sabre, une masse fulgurante le percuta et le projeta à terre. Rodolphe roula sur lui même en se relevant, le sabre à la mains.

« D'après mes calcules, la lame légèrement incurvé est d'une longueur parfaitement propice au coups de bais ou de face. L'estoque est à éviter. De plus, le point d'équilibre, situé à trois centimètres de la garde, favorise fortement la rapidité à la force pure.... Mais tout cela, tu le sait déjà ! »

Souriant, il se retourna en direction de Naon qui affichait un regard étonné. Ce trisomique venait d'aligner plus de deux mots et de comprendre en quelques secondes les propriétés du sabre... c'était mal partit.
Se jetant en arrière, il parvint à saisir la hache. Elle était lourd et mal aiguisé, mais ferait l'affaire. Il se propulsa brusquement en avant et porta le premier coup. Coup qui fut bloqué sans difficultés par son adversaire.
S'armant de nouveau, il la fit tournoyer et l'abattit de front. Rodolphe para du tranchant. Glissant sa lame sur la sienne dans un dégagement d'étincelles, il se déplaça d'un pas tout en retirant le sabre. Sabre qui passa derrière l'acier de la hache et contraignit Naon à se jeter en arrière pour esquiver.
Un rayon lumineux percuta le sable, qui tel un miroir le renvoya dans les yeux du samouraï. Momentanément aveuglé, celui-ci entendit un sifflement, un dégagement d'air. Une attaque par devant. Puis un entrechoquement de grands bruits métalliques. Retirant sa hache, il frappa la ou aurait du se trouver son adversaire. Mais ne rencontra que le vide.
Une nouvelle vibration, et il se propulsa derrière tandis que la lame froide courait sur son visage. Tout en bondissant de nouveau, il porta sa main métallique à sa blessure. Sa vision lui revint lentement. Il saignait, mais rien de grave.
S'armant de nouveau, un liquide froid coula le long de son dos, à travers son armure. Une horrible odeur s'en dégageait... Ce n'était tout de même pas...
Une nausée le prit. Non ! Pas maintenant !! Dégoutté, il réussit à se contrôler pendant que Rodolphe s'approchait lentement.
Tans pis, il n'avait plus le choix.

« Tans pis ? Ou tans mieux ? S'interrogea t-il, en laissant échapper un rire gras. »

Souriant diaboliquement, il tendit sa main gauche en avant. Une orbe noire tourbillonnante se forma entre ses doigts d'acier. Le sable s'envola, d'énorme volutes de poussière se soulevèrent et fusèrent dans sa direction. Le vortex accéléra, un tourbillon de ténèbres en surgit, parsemé d'éclairs violet, aspirant des quantités phénoménales de matière. Tout en se tenant le bras, Naon hurla tandis que l'orbe noire continuait de croître, dévorant tout, tel un gouffre béant ouvert sur l'infinité d'un monde obscure.
Rodolphe ferma les yeux et rayonna d'une lumière blanche, contrastant avec la sombre couleur du trou noir devant lui. Tout son corps ne devint plus qu'une gigantesque clarté, un éblouissant soleil, dissipant la moindre parcelle d'ombre. Mais le tourbillon résistait, bien réel, continuant de dévorer tout ce qui se trouvait sur son chemin.
Se sentant avancer malgré lui, Rodolphe planta son sabre dans le sable, vitrifié sous la chaleur insoutenable qui se dégageait de son corps. Lutant, de toute ses forces, pour ne pas se faire aspirer il lâchait, peut à peut, cédant du terrain.
Soudain, un éclat d'argent apparut dans les airs. C'était tout ce qu'il lui fallait. Effectuant une dizaine de calculs extrêmement précis en une fraction de seconde, il concentra toute sa puissance en un point, et envoya un ultime rayon avant de lâcher prise. Le fil de lumière pure enflamma les cieux, laissant une ligne cinglante sur son passage. Filant à une vitesse quasi-instantanée, il rencontra ce qui se révéla être un bâton métallique. Percutant celui-ci, sa course fut déviée de quelques degrés. Se qui lui permit de passer par dessus le torrent de ténèbres avant de se ficher juste dans la rétine de son adversaire.
Criant de surprise, Naon, brisa le sortilège pour couvrir son œil ensanglanté de ses deux mains. A moitié aveugle, il vit, quelque chose rebondir sur la tête de son ennemi, qui s'affaissa sur le coup. L'objet roula à ses pieds. Il le regarda avec surprise... Mais... c'était... le bâton de Julia !
Le ramassant, il porta son regard en direction de la montagne de cadavres. N'était-ce pas sa silhouette au sommet ?
Soupirant, il serra l'arme dans sa main droite. Elle ne pesait presque rien. Tendant le bras droit en direction de l'amoncellement de corps, une sphère rouge apparut et tournoya dans la paume de sa main. Prenant de la vitesse, l'orbe lumineuse cracha un torrent de sable et de poussière. Tempête infernale, jaillissant de nul part. Des dizaines de tonnes de matière fusèrent en avant dans un bruit hallucinant. Accompagné de se déluge infernale, le bâton transperça les cieux en repartant d'où il était venu.
Le calme reprenant ses droits, seul un faible murmure traversa le silence.

« Tu zais ze gu'il te rezte à faire....ze t'aiderais du mieux gue je bourrais... »


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Rampant, Julia parvint à glisser entre deux cadavres. Elle était à présent entièrement nue... Pourquoi avaient-ils fait cela ? Elle l'ignorait mais le fait est qu'ils lui avaient retirés tous ses vêtements. L'énorme monstre l'avait engloutit, et elle avait du libérer une décharge gigantesque pour traverser tout la graisse de son ventre. Il s'était ensuite effondré, la laissant se faufiler ici. Mais... Son pied...

« Non !!!! ... Haaaaaa.... »

Un des pédobears la tirait par la jambe ! Un filé de bave coula sur sa joue tandis qu'il la soulevait dans les airs. Ricanant, il la retourna sans la lâcher tout en laissant courir sa main sur son petit ventre. La laissant glisser doucement, il caressa délicatement sa fente du bout des doigts, avant de la plonger carrément à l'intérieure, dilatant les parois vaginales tout en respirant bruyamment.

« Haaaaaaa... »

Saisissant son large excroissance, il l'approcha en bavant du trou mouillé. Le caressant délicatement du bout de sa verge, il commença à transpirer. Il n'en pouvait plus de voir la petite Julia se débattre, gigoter dans tous les sens.
Il s'apprêta à le plonger dans le...

« BAM !! »

Un bruit sourd retentit, tandis que Robert s'effondrait la tête défoncée par un bâton argenté. Laissant échapper un petit cri de surprise, Julia tomba à terre en saisissant son arme. Pas le temps de réfléchir, c'était maintenant ou jamais. Des dizaines d'autres pédobears montaient de toutes parts.
Tenant son fermement son bâton, elle le souleva avant de l'écraser sur le parterre de cadavres dans un jaillissement d'étincelles. Un gigantesque dégagement de puissance souleva les dépouilles. Projetant des corps en tout sens. Une aura bleuté recouvrit la petite fille, tandis qu'un éclat fulgurant, un filament d'énergie pur, fusa dans les airs. L'arc de puissance transperça les cieux, dans une titanesque déflagration lumineuse.
Julia tomba à genoux, c'était fait... Il ne lui restait plus qu'à espérer, espérer survivre...

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Le rayon bleuté fusait dans les airs, transperçant les nuages, chargeant l'air lourd d'électricité. D'épais volutes se rassemblèrent, de toutes parts, parsemant ce spectacle divin de grondements sourds, couvrant les cieux d'une obscure-clarté. D'horribles détonations percèrent le ciel noirci, teintant les nuages d'éclats lumineux, transperçant les ténèbres d'une pâleur fantastique.
Un arc d'énergie fusa soudain, dans un grondement sourd, hallucinant. Transperçant les cieux, il s'abattit au sol dans un déferlement de puissance phénoménal. Un souffle titanesque qui courut à travers le terrain. Une explosion de lumière, une déflagration de ténèbres, et puis... plus rien...