En tous cas, je pars en voiture acheter de la nourriture, ainsi qu'un caméscope et des cd DVD vierge. Afin d'y graver de futures vidéos durant ma fuite. A mon retour, je surfe quelques instants sur le web. Jusqu'à y trouver une information que je n'aurai jamais penser qu'elle fut révélée. L'expérience sur le patient A-44-81 a était révélée au grand public, des photos de Antonio ont mêmes était prises a mon insu. La fuite sera encore plus dur que ce que je pensais, étant donné que tout le monde connaît maintenant le physique de mon acolyte. Durant la nuit, je me lève et prépare une légère valise pour ma fuite, y glissant au passage l'ordinateur, des informations, toutes mes données qui sont sur la clé USB et les vêtements de Antonio. Je me recouche, espérant que Hannah ne se soit rendue compte de rien. Je me réveille a nouveau a sept heure trente du matin, Hannah me questionne, avec son accent si particulier « Tu n'as pas entendu un drôle de Bruit cette nuit ». Je souris et lui dis que je n'ai rien entendu. Elle a l'air de me croire, tant mieux. Aujourd'hui, conférence avec de nombreux professeurs de sciences, Mac. Endi et Taylor, entre autres. Tout le monde est fasciné pas ma découverte, par cette expérience. Comme Mac.Endi, tout le monde pense que Antonio est LA solution pour débarrasser le monde des Drakens. J'essaie de leurs expliquer que le patient n'est pas tout a fait prêt, il me laisse encore vingt quatre heures. A partir de ce moment, je dois tout accélérer, trouver un moyen de me débarrasser de Hannah et Joey. Et m'enfuir très loin avant d'être rattraper.
Le soir, a vingt heure, il ne me reste que 18Heures avant de devoir présenter le projet. Je vais a la cave avec Antonio, et je lui explique le plan. On passera donc par un conduit d'aération, il part de ma cave, et il amène jusqu'à l'immeuble situé a coté du mien. Ensuite, on passera par les égouts, et on se rendra a la ville qui n'est pas très loin de celle ou je vis. Et enfin, nous prendrons le Taxi pour nous rendre jusqu'à Voronej partant de Moscou. A ce moment, je sais que tous mes projets sont difficilement réalisable, et, quitter Moscou, ma ville de toujours, ça me fait un peu mal au coeur.

Il est vingt et une heure, l'heure de partir.