Je me rends à l'hôpital, je vais à l'étage où est ma fille. Un médecin me retient:

«-Ah Monsieur.........., votre fille est entre de bonne main, juste une petite baisse de santé, rien de grave.
-Mais hier, un médecin m'a déjà dit se qui s'était passé, 10 minutes après qu'elle soit emporté.
-10 minutes? C'est beaucoup trop tôt pour affirmé quelque chose.
-Il y a t-il un médecin petit, chauve, moustachu et avec des lunettes qui travaille à cet étage.
-Euh... à moins qu'il soit arrivé il y a pas longtemps, j'en doute monsieur.»

J'avais à faire à un imposteur. Je décide de me rendre au commissariat pour porter plainte. Je me dirige vers l'entrée, mon téléphone sonne, je décroche.

«-Je ne suis pas sûr que se soit le bon chemin pour prendre l'argent Mr........., Le chemin de la banque serais plus judicieux. Je vous donne jusqu'à demain pour regroupé l'argent en liquide et l'apporter seul à l'entrepôt du port, face à la mer à 12H00.»

Je vais faire un tour pour me changer les idées.
[…]

J'arrive à la banque, je vais vers mon banquier, il est enfin content de me voir:

«-Bonjours Mr......., comment allez-vous? Comment puis-je vous aidez?
-Je voudrais retiré 404 567 euros s'il vous plaît.
-Mais enfin Mr, s'est impossible il faudra une raison valable pour retirer une telle somme d'argent.»

Je ne pouvez pas lui dire que quelqu'un me menaçais, je ne pouvais pas lui en parlé il aurait prévenu les flics et tout serait foutu pour mes enfants. Je lui dis donc que je voulais changer totalement de vie avec mes enfants. Il ne m'accorda pas le droit de retirer cet argent. Je lui expliquai donc tout. Il voulais prévenir les autorités mais je lui en empêchais, en lui disant les répercutions que cela pourrais avoir. Il m'envoya chez le directeur de la banque, lui me comprends et m'accorde le retrait. J'avais un sac avec moi, le retrait se fit dans la plus grande discrétion. Je sortit de la banque. Je rentrais chez moi, la pression montait à la veille de l'échange. La fin de journée ce déroula normalement, je me couchai pour reprendre mes force.

Le lendemain, Je prenais mon petit déjeuner. Il était onze heures, je faisais les 100 pas dans ma maison. Je regardais ma montre toutes les 2 minutes. Je me décidais à partir enfin.

11h55 j'étais à l'entrepôt, une voiture noir arrive, un homme sort, le même que celui qui m'a donné le diagnostic pour ma fille:

«-C'est donc vous.
-Vous n'y avez pas songé lorsque j'ai donné le bilan de santé de votre fille. Vous vous êtes pas dis que c'était un peu court?
-A vrai dire, non. J'avoue que moi et la médecine sa fait deux. Voici le sac avec votre argent, je vous le donne et vous nous oubliez, ma famille et moi.
-Promis, dit-il avec un sourire en coin.»

Je lui donne le sac, il l'ouvre, et repars dans sa voiture en le refermant. Je les regarde s'en aller. Je les perds de vue. Je passe un coup de fil:

«-C'est bon vous pouvez y aller.»