Bloc-notes de Lasfa
Par : MrLasfatal
Genre : No-Fake , Réaliste
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 6
La conférence de presse
Publié le 28/05/12 à 16:08:30 par MrLasfatal
- Petterson, Daniel et Mélan, suivez-moi, on a une conférence à faire.
Je me leva l'air étonné.
- Une conférence coach ?
- Oui Petterson, on va parler à la presse de notre dernière rencontre face aux canadiens.
On se leva tout les trois du banc des vestiaires, habillé de nos jogging respectif, puis nous suivions le coach en direction de la salle qui accueillait toutes les conférences. Le Coach s'arrêta nette devant la porte, et lâcha des mots, d'un ton sérieux qu'on connaissait tous.
- Les gars, dîtes la vérité, mais pas trop quand même.
Puis, il ouvrit la porte, et des flash ont commencé à nous éblouirent les yeux. Nous prîmes tous place, moi tout à droite en dernier. Puis, un traducteur russe est venu nous serré la main.
- Bonjour à vous, je suis Dimitri, traducteur.
Et la première question d'un journaliste russe fut pour Daniel.
- Monsieur Daniel, vous pensez quoi du match contre le Canada ?
Richard, toujours avec son air décontracté pris la parole à son tour pour y répondre.
- Après avoir était mené de deux buts d'écart, et s'être tout de même qualifié pour la final, je pense dire que ce match restera dans nos anales. Pourquoi ? Car on a sut faire preuve d'un collectif rare qui nous a permis de vite remonter.
Puis, le journaliste reposa une autre question, mais cette fois-ci elle était pour moi.
- Monsieur Petterson, vous avez été victime d'une grosse faute devant les cages, qui a permis un penalty en votre faveur, pourquoi ne pas le tirer vous même ?
- Tout simplement car mon épaule me faisait mal à la suite de ce coup, et Richard est venu me dire qu'il le sentait bien, alors qu'il y aille. Et pour preuve, il l'a marqué.
Richard pris également la parole.
-D'ailleurs, je remercie Fabien pour m'avoir offert ce penalty.
Je me sentais stressé tout le long de cette conférence. Et pour cause, je ne comprenais pas la moitié des langues de la masse de journaliste, de plus, les questions ne m'étaient plus adressée depuis un bon moment. Enfin, la dernière était pour moi.
- Monsieur Petterson, qu'est-ce que le futur vous réserve ?
- Je n'en sais rien, je pense rester en Suisse une saison encore. Au contraire de Fred et Richard qui partent en Amérique.
Nous saluons la masse de journaliste, le coach nous pria de se dêpecher.
- Les gars, demain c'est la final.
En rentrant à l'hôtel, je me suis arrêté dans un bureau de tabac, pour acheter des chewing-gum. Quand une voix russe m'appela.
- Fabien ?
Je me retourna pour voir qui c'était. Je n'ai pas vu son visage tout de suite, mais seulement son grand manteau noir, puis ses cheveux brossés en arrière à coup de gel.
- Nikita ! Que fais-tu ici ?
- Je peux te poser la même question.
- Moi ? Rien, je stress pour demain. J'espère que je ne suis pas le seul dans ce cas.
- Moi, je sors d'un rendez-vous avec mon agent, le club d'Ottawa me fait une offre. Mais j'ai refusé.
- Pourquoi dont ? La NHL, ça ne se refuse pas !
- Je suis chez moi à Moscou, alors pourquoi partir ?
- Soit, fais comme tu veux de toute façon.
- Et toi ? Tu ne quittes pas ton club ?
- Je t'avouerais que je n'ai aucune proposition pour l'instant... J'attends encore mon agent.
- Je comprends, bon je dois y aller, on se revoit demain sur la glace !
- à demain Nikita, à demain...
Je me leva l'air étonné.
- Une conférence coach ?
- Oui Petterson, on va parler à la presse de notre dernière rencontre face aux canadiens.
On se leva tout les trois du banc des vestiaires, habillé de nos jogging respectif, puis nous suivions le coach en direction de la salle qui accueillait toutes les conférences. Le Coach s'arrêta nette devant la porte, et lâcha des mots, d'un ton sérieux qu'on connaissait tous.
- Les gars, dîtes la vérité, mais pas trop quand même.
Puis, il ouvrit la porte, et des flash ont commencé à nous éblouirent les yeux. Nous prîmes tous place, moi tout à droite en dernier. Puis, un traducteur russe est venu nous serré la main.
- Bonjour à vous, je suis Dimitri, traducteur.
Et la première question d'un journaliste russe fut pour Daniel.
- Monsieur Daniel, vous pensez quoi du match contre le Canada ?
Richard, toujours avec son air décontracté pris la parole à son tour pour y répondre.
- Après avoir était mené de deux buts d'écart, et s'être tout de même qualifié pour la final, je pense dire que ce match restera dans nos anales. Pourquoi ? Car on a sut faire preuve d'un collectif rare qui nous a permis de vite remonter.
Puis, le journaliste reposa une autre question, mais cette fois-ci elle était pour moi.
- Monsieur Petterson, vous avez été victime d'une grosse faute devant les cages, qui a permis un penalty en votre faveur, pourquoi ne pas le tirer vous même ?
- Tout simplement car mon épaule me faisait mal à la suite de ce coup, et Richard est venu me dire qu'il le sentait bien, alors qu'il y aille. Et pour preuve, il l'a marqué.
Richard pris également la parole.
-D'ailleurs, je remercie Fabien pour m'avoir offert ce penalty.
Je me sentais stressé tout le long de cette conférence. Et pour cause, je ne comprenais pas la moitié des langues de la masse de journaliste, de plus, les questions ne m'étaient plus adressée depuis un bon moment. Enfin, la dernière était pour moi.
- Monsieur Petterson, qu'est-ce que le futur vous réserve ?
- Je n'en sais rien, je pense rester en Suisse une saison encore. Au contraire de Fred et Richard qui partent en Amérique.
Nous saluons la masse de journaliste, le coach nous pria de se dêpecher.
- Les gars, demain c'est la final.
En rentrant à l'hôtel, je me suis arrêté dans un bureau de tabac, pour acheter des chewing-gum. Quand une voix russe m'appela.
- Fabien ?
Je me retourna pour voir qui c'était. Je n'ai pas vu son visage tout de suite, mais seulement son grand manteau noir, puis ses cheveux brossés en arrière à coup de gel.
- Nikita ! Que fais-tu ici ?
- Je peux te poser la même question.
- Moi ? Rien, je stress pour demain. J'espère que je ne suis pas le seul dans ce cas.
- Moi, je sors d'un rendez-vous avec mon agent, le club d'Ottawa me fait une offre. Mais j'ai refusé.
- Pourquoi dont ? La NHL, ça ne se refuse pas !
- Je suis chez moi à Moscou, alors pourquoi partir ?
- Soit, fais comme tu veux de toute façon.
- Et toi ? Tu ne quittes pas ton club ?
- Je t'avouerais que je n'ai aucune proposition pour l'instant... J'attends encore mon agent.
- Je comprends, bon je dois y aller, on se revoit demain sur la glace !
- à demain Nikita, à demain...
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