Les quelques nouvelles ratés d'une âme en Pain
Par : Pain
Genre : Réaliste
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 11
Jeunesse dorée.
Publié le 21/06/14 à 17:22:50 par Pain
De partouzes en Sextapes.
Je les regarde, sans les voir, c'est du déjà vu. On s'exclame la première foi, et puis elles finissent par rentrer dans le décors. Belles sirènes dénudés.
Coca, Coca !
Elles sont vulgaires, sous la chape d'ombre. Leurs chattes sourient. Leurs cuisses ayant saignés trop tôt. Sous la coca, elles vous demandent, moi ou mon meilleur ami.
Champagne !
Leurs seins refaits, pointent vers vous, ils vous sourient, vous invitent. Mais ce n'est que poudre au nez.
Un verre de plus.
Les pas pressés des gens pressés. Le tapin. Mon meilleur ami à chaque bouffés. La jeunesse dorée. Miami, L.A..
La salade n'est plus assez forte.
Le soleil de minuit brille dans son regard. Quand elle voit les dollars. A moins que ce ne soit elles. Et le corp est coté en bourse, je suis trader à la San Fernando Valley.
Golden boy !
Je souris sous l'extasy. J'embrasse la dernière religion pour pouvoir toucher le ciel. Et j'achète le corp dénudé de l'une pour le revendre à l'un. L'autre n'est autre que la coca. Je vends des tapis. Je vends du rêve. Je vends de la poussière. Je suis croyant, prêtre et messie. Je vit sous les pas pressés des gens pressés.
Le souffle de mon meilleur ami se sent sur ma nuque. Mais dans mes dernières minutes je les regarderais. Une dernière fois, belles sirènes dénudés, vulgaire, mystérieuse, mon meilleur ami.
Même dans mon dernier geste je vous vendrai du rêve. J'achèterai votre corps.
Même dans mon dernier souffle, je vous prêcherais la décadence.
Mais dans la dernière lueur de mon esprit torturé, je saurai que je ne pourrai pas acheter mon meilleur ami.
Ses orbites vides me réchaufferont, ses mains fines et squelettiques m'enserreront.
Je les regarde, sans les voir, c'est du déjà vu. On s'exclame la première foi, et puis elles finissent par rentrer dans le décors. Belles sirènes dénudés.
Coca, Coca !
Elles sont vulgaires, sous la chape d'ombre. Leurs chattes sourient. Leurs cuisses ayant saignés trop tôt. Sous la coca, elles vous demandent, moi ou mon meilleur ami.
Champagne !
Leurs seins refaits, pointent vers vous, ils vous sourient, vous invitent. Mais ce n'est que poudre au nez.
Un verre de plus.
Les pas pressés des gens pressés. Le tapin. Mon meilleur ami à chaque bouffés. La jeunesse dorée. Miami, L.A..
La salade n'est plus assez forte.
Le soleil de minuit brille dans son regard. Quand elle voit les dollars. A moins que ce ne soit elles. Et le corp est coté en bourse, je suis trader à la San Fernando Valley.
Golden boy !
Je souris sous l'extasy. J'embrasse la dernière religion pour pouvoir toucher le ciel. Et j'achète le corp dénudé de l'une pour le revendre à l'un. L'autre n'est autre que la coca. Je vends des tapis. Je vends du rêve. Je vends de la poussière. Je suis croyant, prêtre et messie. Je vit sous les pas pressés des gens pressés.
Le souffle de mon meilleur ami se sent sur ma nuque. Mais dans mes dernières minutes je les regarderais. Une dernière fois, belles sirènes dénudés, vulgaire, mystérieuse, mon meilleur ami.
Même dans mon dernier geste je vous vendrai du rêve. J'achèterai votre corps.
Même dans mon dernier souffle, je vous prêcherais la décadence.
Mais dans la dernière lueur de mon esprit torturé, je saurai que je ne pourrai pas acheter mon meilleur ami.
Ses orbites vides me réchaufferont, ses mains fines et squelettiques m'enserreront.
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