Les quelques nouvelles ratés d'une âme en Pain
Par : Pain
Genre : Réaliste
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 15
Reux
Publié le 27/07/14 à 09:31:18 par Pain
Parlons de Reux.
Je pense, non j'en suis sûr, que ce soir, y'a un môme qui se fait frapper, y'a une mère entrain de pleurer, y'a un père entrain de s'inquiéter, sur son sort quand la police va passer.
Parlons de Reux, cette petite ville d'heureux. Ici, tout le monde va bien, tout le monde est gentil. Tout le monde sourit à son voisin. Tout le monde a une vie bien rangée.
Mais dans la ville de Reux, tout le monde à ses secrets. Dans la nuit résonne les cris, dans la nuit pleurs le père, la mère, le fils. Dans la nuit les gens redeviennent humains, ou tout du moins laissent transparaître leur décadence. Oui, dans la nuit, il n'y a plus de carcan, plus de règles entravant les instincts.
Reux est heureux car elle s'accepte. Dangereux oui, mais c'est la vie.
Reux, c'est mon univers, c'est mon bac à sable. Reux, c'est ma ville, c'est la mienne. De Reux, je peux voir le monde se dégrader, comme quand je regarde à la fenêtre. De Reux, je peux voir les gens heureux, comme quand je regardes à la fenêtre.
Et le malheur de cette histoire, de mon histoire, c'est que Reux, la ville des gens heureux, c'est ma ville, c'est ta ville, c'est la notre. Car les événements qui s'y passent sont chez toi, près de chez toi. Car les événements que je dépeints sont ceux qui les journaux affichent. Car les événements que j'aime raconté sont commit par ton voisin, ton ami, ton père, ta mère, ton fils, ta fille, par toi.
Oui, j'en suis sûr, ce soir, y'a un môme qui se fait frapper, y'a une mère entrain de pleurer, y'a un père entrain de s'inquiéter, de son sort quand la police va passer.
Des mots doux.
Un jour, j'ai quittée mon copain. Je lui ai dit des mots doux, de ceux que tout le monde comprend. Je n'étais pas assez bien, pas assez fidèle peut etre. Et il m'a sourit, un sourire figé oui, mais qui m'a rassuré. Il ne le prenait pas mal, il me comprenait.
Et il s'en est allé, j'étais rassuré. La vie continuait, a courir s'en s'arrêter.
Je me suis souvenue, quelques jours après, qu'il m'avait dit que j'étais tout pour lui. Ces mots doux, de ceux que tout le monde comprend.
Et il s'en est allé, un jour de pluie, d'une corde au cou, d'un geste doux.
Aujourd'hui, ma copine m'a quitté. Je crois qu'elle n'a pas compris, ce qu'il en relevé.
Je m'étais efforcé pourtant, de lui faire comprendre. Que si elle me quitté, j'allais sans doute me pendre.
Je pense, non j'en suis sûr, que ce soir, y'a un môme qui se fait frapper, y'a une mère entrain de pleurer, y'a un père entrain de s'inquiéter, sur son sort quand la police va passer.
Parlons de Reux, cette petite ville d'heureux. Ici, tout le monde va bien, tout le monde est gentil. Tout le monde sourit à son voisin. Tout le monde a une vie bien rangée.
Mais dans la ville de Reux, tout le monde à ses secrets. Dans la nuit résonne les cris, dans la nuit pleurs le père, la mère, le fils. Dans la nuit les gens redeviennent humains, ou tout du moins laissent transparaître leur décadence. Oui, dans la nuit, il n'y a plus de carcan, plus de règles entravant les instincts.
Reux est heureux car elle s'accepte. Dangereux oui, mais c'est la vie.
Reux, c'est mon univers, c'est mon bac à sable. Reux, c'est ma ville, c'est la mienne. De Reux, je peux voir le monde se dégrader, comme quand je regarde à la fenêtre. De Reux, je peux voir les gens heureux, comme quand je regardes à la fenêtre.
Et le malheur de cette histoire, de mon histoire, c'est que Reux, la ville des gens heureux, c'est ma ville, c'est ta ville, c'est la notre. Car les événements qui s'y passent sont chez toi, près de chez toi. Car les événements que je dépeints sont ceux qui les journaux affichent. Car les événements que j'aime raconté sont commit par ton voisin, ton ami, ton père, ta mère, ton fils, ta fille, par toi.
Oui, j'en suis sûr, ce soir, y'a un môme qui se fait frapper, y'a une mère entrain de pleurer, y'a un père entrain de s'inquiéter, de son sort quand la police va passer.
Des mots doux.
Un jour, j'ai quittée mon copain. Je lui ai dit des mots doux, de ceux que tout le monde comprend. Je n'étais pas assez bien, pas assez fidèle peut etre. Et il m'a sourit, un sourire figé oui, mais qui m'a rassuré. Il ne le prenait pas mal, il me comprenait.
Et il s'en est allé, j'étais rassuré. La vie continuait, a courir s'en s'arrêter.
Je me suis souvenue, quelques jours après, qu'il m'avait dit que j'étais tout pour lui. Ces mots doux, de ceux que tout le monde comprend.
Et il s'en est allé, un jour de pluie, d'une corde au cou, d'un geste doux.
Aujourd'hui, ma copine m'a quitté. Je crois qu'elle n'a pas compris, ce qu'il en relevé.
Je m'étais efforcé pourtant, de lui faire comprendre. Que si elle me quitté, j'allais sans doute me pendre.
Vous devez être connecté pour poster un commentaire