Journal de guerre
Par : Saguaro
Genre : Action , Réaliste
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 4
Publié le 01/04/14 à 03:52:07 par Saguaro
Cette guerre devient un enfer, on se les caille, on choppe des maladies, le sol est dur comme du métal, et le pire c'est que le moral ne suit plus. Il y'a 15 jours, on était a 60 kilomètres de Moscou, et maintenant on en est a plus de 300. Les Russes se sont... réveillés, ils nous ont repoussés, et maintenant on doit défendre. La Blitzkrieg est finie depuis les saisons de pluie. Mon moral a chuté, celui de toute la Wermacht avec. C'est une sensation horrible...
-RUDOOOLF ! Hurla Hans, le Sergent. A COUVERT !
J'étais pris dans mes pensées, pris a penser a ce foutu front de l'est, a cette victoire allemande qui n'arrivera pas. Je pensais tellement que la charge soviétique qui nous fonçais dessus, je ne l'avais pas vu. Je repris conscience d'ou j'étais quand les balles ont commencées a siffler dans mes oreilles, j'ai fait un bond énorme dans notre tranchée, et j'ai épaule mon fusil Mauser et je vise, je vise ces hommes qui nous combattent a cause de deux hommes moustachus. L'un Autrichien, l'un venant d'une des républiques soviets, il était peut-être Russe, ou Ukrainien, Peut-être Géorgien je crois. Je pense trop, je pense trop et je n'entends pas l'ordre de notre Oberleutnant qui nous ordonne de tirer. Je suis extirpé de mes pensées par les coups de MG-42 qui résonnent dans mes oreilles. Je vise a mon tour, j'ai un Russe dans ma ligne de mire. Je tire, il tombe. La est l'art de la guerre. Sun Tzu peut fermer sa gueule, l'art de la guerre, ce n'est que viser tirer et survivre.
La première charge russe est éliminée, on commence a se réjouir de n'avoir perdu personne jusqu’à ce qu'un moteur résonne. Tout les soldats paraissent inquiets. Un buisson se couche au loin et laisse apercevoir un titan métallique, tourelle pointée sur nous apparaître
-T34 ! T34 ! Cria Hugo.
Artur sorti son Panzerfaust 60 et attendit que le char s'approche
-Tout le monde a couvert ! Ordonna l'Oberleutnant.
Le bruit strident des chenilles et celui du moteur du char russe nous effrayait. Je levais la tête, laissant apparaître mon casque et un bout de mon visage, et je le voyait, le char, il était facilement a 50 mètres
-ARTUR ! TIRE ! TIRE PUTAIN !
Il se leva, et Tira sa grenade sur le blindage du T34. Il s'arrête 5 secondes. 5 secondes de suspens, et il continua sa route, sur nous.
-QU'ON M'APPORTE UN AUTRE PANZERFAUST !
J'ouvrit une caisse de Panzerfaust et en sorti un. Je courait tête baissée vers lui pour lui donner. Il le prit et se releva. Mais la mitrailleuse du T34 ne lui laissa guère de temps pour tirer. Il s'écroula au sol, le corps ensanglanté. Je regardais son corps avec effroi.
-RUDOLF ! TU FOUS QUOI BORDEL ! TIRE SUR CE CHAR !
Je pris le Lance grenade et je me prépara a me lever. Le char devait être a 15 mètres. J'avais peur. Peur de ne jamais rentrer. Comme tout soldat allemand j'avais peur. Je respira un grand coup, et je leva ma tête. épaulant de Panzerfaust. J'ai tiré ma grenade antichar qui explosa sous le char Russe. Elle toucha la réserve d'obus. Le colosse blanchit par la neige avança encore quelques secondes, le temps de faire deux ou trois mètres, et explosa.
-MANGE TOI CA STALINE ! Hurla Albert.
Mange toi ça Staline. Un char de moins. sur les milliers de T34 et de JS-1 que tu as. Mange toi ça.
-RUDOOOLF ! Hurla Hans, le Sergent. A COUVERT !
J'étais pris dans mes pensées, pris a penser a ce foutu front de l'est, a cette victoire allemande qui n'arrivera pas. Je pensais tellement que la charge soviétique qui nous fonçais dessus, je ne l'avais pas vu. Je repris conscience d'ou j'étais quand les balles ont commencées a siffler dans mes oreilles, j'ai fait un bond énorme dans notre tranchée, et j'ai épaule mon fusil Mauser et je vise, je vise ces hommes qui nous combattent a cause de deux hommes moustachus. L'un Autrichien, l'un venant d'une des républiques soviets, il était peut-être Russe, ou Ukrainien, Peut-être Géorgien je crois. Je pense trop, je pense trop et je n'entends pas l'ordre de notre Oberleutnant qui nous ordonne de tirer. Je suis extirpé de mes pensées par les coups de MG-42 qui résonnent dans mes oreilles. Je vise a mon tour, j'ai un Russe dans ma ligne de mire. Je tire, il tombe. La est l'art de la guerre. Sun Tzu peut fermer sa gueule, l'art de la guerre, ce n'est que viser tirer et survivre.
La première charge russe est éliminée, on commence a se réjouir de n'avoir perdu personne jusqu’à ce qu'un moteur résonne. Tout les soldats paraissent inquiets. Un buisson se couche au loin et laisse apercevoir un titan métallique, tourelle pointée sur nous apparaître
-T34 ! T34 ! Cria Hugo.
Artur sorti son Panzerfaust 60 et attendit que le char s'approche
-Tout le monde a couvert ! Ordonna l'Oberleutnant.
Le bruit strident des chenilles et celui du moteur du char russe nous effrayait. Je levais la tête, laissant apparaître mon casque et un bout de mon visage, et je le voyait, le char, il était facilement a 50 mètres
-ARTUR ! TIRE ! TIRE PUTAIN !
Il se leva, et Tira sa grenade sur le blindage du T34. Il s'arrête 5 secondes. 5 secondes de suspens, et il continua sa route, sur nous.
-QU'ON M'APPORTE UN AUTRE PANZERFAUST !
J'ouvrit une caisse de Panzerfaust et en sorti un. Je courait tête baissée vers lui pour lui donner. Il le prit et se releva. Mais la mitrailleuse du T34 ne lui laissa guère de temps pour tirer. Il s'écroula au sol, le corps ensanglanté. Je regardais son corps avec effroi.
-RUDOLF ! TU FOUS QUOI BORDEL ! TIRE SUR CE CHAR !
Je pris le Lance grenade et je me prépara a me lever. Le char devait être a 15 mètres. J'avais peur. Peur de ne jamais rentrer. Comme tout soldat allemand j'avais peur. Je respira un grand coup, et je leva ma tête. épaulant de Panzerfaust. J'ai tiré ma grenade antichar qui explosa sous le char Russe. Elle toucha la réserve d'obus. Le colosse blanchit par la neige avança encore quelques secondes, le temps de faire deux ou trois mètres, et explosa.
-MANGE TOI CA STALINE ! Hurla Albert.
Mange toi ça Staline. Un char de moins. sur les milliers de T34 et de JS-1 que tu as. Mange toi ça.
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