Viens_dans_mon_slip_on_est_deja_4
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 2
Chuchotements
Publié le 19/08/13 à 01:17:36 par Pseudo supprimé
Sam, se réveilla, malheureusement pour lui ce n’était pas un rêve. Le froid, c’est le froid qui l’avait réveillé, toujours vaseux, il tenta de lire l’heure sur sa montre, il était 4h17 cela faisait donc 2 heures qu’il était là, attendant son heure ? Il regarda sa blessure à la jambe, l’os était toujours là. Il ressortait un peu au dessus du genou, il n’avait plus mal, sa jambe était engourdie par le froid, la perte de sang, l’humidité qui sait…il ne savait plus. La pluie, elle, avait cessée et le ciel s’était découvert, la lune éclairait maintenant l’endroit un petit lac se trouvait à une quinzaine de mètres. Sam appuya sur le klaxon, toujours rien. Il pensa que Dieu lui en voulait…Sam pria pour que quelqu’un vienne, qu’une lumière apparaisse, qu’on le recherche…
A cette pensée, il se rappela qu’une vieille lampe torche que son père lui avait donné, se trouvait dans le coffre, mais il serait obligé de bouger de son siège. Il regarda derrière lui et essaya de distinguer à la lumière de la lune les quelques affaires qui restaient dans l’habitacle. Il y avait 2 cassettes, un pull qu’il enfila pour ne plus avoir froid... il chercha encore se penchant et se tordant toujours un peu plus, lui infligeant d’horrible douleur, le torturant encore plus. Il pensa que si il avait eu une hémorragie interne, il ne se serait pas réveillé. Puis son cœur fit un bond dans sa cage thoracique meurtrie : il la voyait, du moins il voyait le manche dépasser d’en dessous du siège passager. Dans un ultime effort il se pencha malgré les côtes cassées qui lui provoquaient d’immenses douleurs. Il criait et sanglotait. Il appuya sur la touche « on » de la lampe torche, elle ne s’alluma pas, pris de panique il pleura de plus belle, il en avait marre, marre de souffrir, peur de mourir, de mourir aussi jeune. Apres ce moment de panique, il se calma et démonta la lampe, il vérifia les piles et réitéra son geste. « on »...un long faisceau jaune illumina l’habitacle. Sam pleura de joie, il revérifia l’habitacle pour voir si son portable n’avait pas glissé dans un recoin de la voiture mais il ne le trouva pas. Il entrepris donc de sortir par le côté passager. Il savait que ça serait dur et douloureux mais il le fallait, ça vie en dépendait.
Lorsque qu’il bougeât son bassin une douleur l’aveugla, il regarda sa cuisse où l’os sortait...le sang coula abondamment, le fait qu’il n’avait pas bougé pendant si longtemps avait comprimé l’artère, il se dépêcha de sortir du mieux qu’il pouvait et il rampa hors de sa voiture. Avec sa lampe il fit des grands moulinets tantôt vers le lac, tantôt vers la route 20 mètres plus hauts. Il essaya même de faire du morse « S.O.S » mais rien, rien en réponse, aucune lumières en vu. Le sang continuait de couler, et Sam sentait qu’il partait, il essaya de compresser sa plaie comme il le pouvait. Il hurla de douleur. Un craquement se fit entendre vers le lac, il mis sa lampe du bon côté en faisant des appels de lampes « on-off-on-off », il crut voir deux personnes marcher. Il agita son bras valide et tenta de crier.
« A l’aidde...argg...Au...secouuur !!! » les côtes lui déchiraient ses poumons, l’empêchant de gonfler ses poumons correctement et de crier.
Les gens s’éloignaient en courant, Sam tenta de leur crier dessus.
« Revenez ! Ne me laissez pas !!! » Puis plus rien, la lampe s’éteignis, le silence de la nuit reprenant le dessus sur Sam. Le garrot ne marchait pas, le sang coulait, il se sentait partir puis s’évanoui.
Des murmures et des mains, s’empara alors de lui :
-« on a pas le droit de faire ça, rentrons ! Laisse le là... » Murmura une femme d’un air stressé.
-« non, il a l’air d’un enfant, il a l’air d’avoir lutter pour sortir de sa voiture et vivre regarde dans quel état il est, on peut pas le laisser comme ça » murmura l’homme.
-« oui, pauvre enfant...mais c’est interdit par le règlement, si Jonas l’apprend.. » s’inquiéta la femme
-« On ne lui dira rien, donne moi le tube et l’aiguille ... »demanda l’homme d’un ton extrêmement serein vu la situation.
Sam, ouvrit les yeux, il ne voyait rien et parla avant de s’évanouir :
-« Je veux pas mourir... »
Les chuchotements se turent alors mais les mains continuèrent à bouger sur son bras.
A cette pensée, il se rappela qu’une vieille lampe torche que son père lui avait donné, se trouvait dans le coffre, mais il serait obligé de bouger de son siège. Il regarda derrière lui et essaya de distinguer à la lumière de la lune les quelques affaires qui restaient dans l’habitacle. Il y avait 2 cassettes, un pull qu’il enfila pour ne plus avoir froid... il chercha encore se penchant et se tordant toujours un peu plus, lui infligeant d’horrible douleur, le torturant encore plus. Il pensa que si il avait eu une hémorragie interne, il ne se serait pas réveillé. Puis son cœur fit un bond dans sa cage thoracique meurtrie : il la voyait, du moins il voyait le manche dépasser d’en dessous du siège passager. Dans un ultime effort il se pencha malgré les côtes cassées qui lui provoquaient d’immenses douleurs. Il criait et sanglotait. Il appuya sur la touche « on » de la lampe torche, elle ne s’alluma pas, pris de panique il pleura de plus belle, il en avait marre, marre de souffrir, peur de mourir, de mourir aussi jeune. Apres ce moment de panique, il se calma et démonta la lampe, il vérifia les piles et réitéra son geste. « on »...un long faisceau jaune illumina l’habitacle. Sam pleura de joie, il revérifia l’habitacle pour voir si son portable n’avait pas glissé dans un recoin de la voiture mais il ne le trouva pas. Il entrepris donc de sortir par le côté passager. Il savait que ça serait dur et douloureux mais il le fallait, ça vie en dépendait.
Lorsque qu’il bougeât son bassin une douleur l’aveugla, il regarda sa cuisse où l’os sortait...le sang coula abondamment, le fait qu’il n’avait pas bougé pendant si longtemps avait comprimé l’artère, il se dépêcha de sortir du mieux qu’il pouvait et il rampa hors de sa voiture. Avec sa lampe il fit des grands moulinets tantôt vers le lac, tantôt vers la route 20 mètres plus hauts. Il essaya même de faire du morse « S.O.S » mais rien, rien en réponse, aucune lumières en vu. Le sang continuait de couler, et Sam sentait qu’il partait, il essaya de compresser sa plaie comme il le pouvait. Il hurla de douleur. Un craquement se fit entendre vers le lac, il mis sa lampe du bon côté en faisant des appels de lampes « on-off-on-off », il crut voir deux personnes marcher. Il agita son bras valide et tenta de crier.
« A l’aidde...argg...Au...secouuur !!! » les côtes lui déchiraient ses poumons, l’empêchant de gonfler ses poumons correctement et de crier.
Les gens s’éloignaient en courant, Sam tenta de leur crier dessus.
« Revenez ! Ne me laissez pas !!! » Puis plus rien, la lampe s’éteignis, le silence de la nuit reprenant le dessus sur Sam. Le garrot ne marchait pas, le sang coulait, il se sentait partir puis s’évanoui.
Des murmures et des mains, s’empara alors de lui :
-« on a pas le droit de faire ça, rentrons ! Laisse le là... » Murmura une femme d’un air stressé.
-« non, il a l’air d’un enfant, il a l’air d’avoir lutter pour sortir de sa voiture et vivre regarde dans quel état il est, on peut pas le laisser comme ça » murmura l’homme.
-« oui, pauvre enfant...mais c’est interdit par le règlement, si Jonas l’apprend.. » s’inquiéta la femme
-« On ne lui dira rien, donne moi le tube et l’aiguille ... »demanda l’homme d’un ton extrêmement serein vu la situation.
Sam, ouvrit les yeux, il ne voyait rien et parla avant de s’évanouir :
-« Je veux pas mourir... »
Les chuchotements se turent alors mais les mains continuèrent à bouger sur son bras.
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