Les pedobears attaquent ma ville
Par : Kouppain
Genre : Nawak
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 6
Publié le 19/01/09 à 02:33:52 par Kouppain
Arrivé à l’aéroport, notre toxico fût intercepté par la police locale. Ses yeux étaient marqués de cernes dus au fait qu’il avait passé 6 heures à jouer à Trauma Center. Il avait tué ses patients à plusieurs reprises à cause des turbulences. Mais sa DS lui fut confisquée par les policiers.
- Nan! Vous m’avez confisqué mon stock, et maintenant ma DS! Pourquoi vous m’enlevez tout ce qui est cher à mes yeux ?
Il fut menotté puis embarqué à l’arrière d’une voiture de police. Il vit que ses effets avaient étés mit dans le coffre de la voiture. Il avait encore une chance de récupérer sa raison de vivre.
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Les pedobears attaquent ma ville – Chapitre 6
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- Mais je veux pas aller à l’école !
- On y va pas pour travailler, connard
- Ah, alors go à l’école
- Mais avant je dois prendre un truc.
Plus loin dans la rue, j’aperçus l’objet de ma convoitise, mon magazine. Mais j’eus une vision d’horreur : il était troué de toutes parts et recouvert de sperme.
- Miss Octobre !
Je pris le magazine dans mes bras pour me réconforter.
- Wache, dégueux !! dis-je en m’essuyant les mains sur le gazon. Qu’est-ce que tu fais ?
- Bah quoi, ça goute sucré !
Après cette passionnante discussion, nous nous dirigeâmes vers l’école. J’allais beaucoup plus vite sur le dos de Simon. Nous étions rendus en quelques minutes, alors que ce trajet me prenait habituellement une demi-heure en voiture.
- Waah, c’est à ça que ça ressemble.
- On dirait, oui. Mais là c’est pire.
De la fumée s’échappait de certaines des fenêtre brisées (toutes à vrai dire ) Des cadavres violées gisaient sur le terrain de l’école. En enjambant un groupe de kikoo mutilés et violé par l’anus, nous entrâmes dans l’école. Les pedobears étaient partout ! On se serait cru dans un show des Kidtonik.
- On va se faire détruire ! Il y en a trop.
- Je te l’avais dit, on n’a pas le niveau ! Il faut être au moins niveau 15.
- Taggle
- On fait quoi, on va buter des sangliers ?
- Je devrais me trouver une meilleure arme. Mais je ne te délaisse pas pour autant, mon amour
Et c’est ainsi que se finissais notre courte aventure dans l’école, mais nous allions revenir. Mais les pedobears n’avaient pas l’air de vouloir nous laisser nous en aller. Cette fuite allait s’annoncer ardue, parce que non seulement je devais me sauver, mais je devais convaincre Simon de ne pas aller à leur rencontre. Nous avions réussi à prendre de la distance après une bonne dizaine de minute. Nous étions arrivés sur un boulevard désert.
Plus loin, une voiture de police perdait le contrôle. Elle finit sur le côté de la routé, puis commença à bruler. Un géant avec un afro roux sortit des décombres avec un sac en plastique rempli d’herbe dans la main et une DS dans l’autre. Il s’alluma un joint, pendant que la voiture explosait derrière lui.
-Wouuuu ! s’écria le géant en riant.
Un policier fut projeté hors de la voiture. Il se remit sur ses pieds après un certain temps, puis s’avança vers le roux en le menaçant avec un shotgun. Rendu à une distance d’un mètre environ il s’écria :
- Ne bouge plus, ou je te flingue ! (
- Taggle, raclure de biday, répondit le drogué en lui enfonçant son joint dans l’œil. C’est pour m’avoir prit mon stock. :
- Omagad, je l’aime déjà ce mec
- Moi, c’est mon ami!
- Euh, vous êtes quoi ?
- Pas le temps de parler, y’a les poilus qui rappliquent,dis-je en prenant le shotgun. J’avais trouvé mon arme.
To be continued…
- Nan! Vous m’avez confisqué mon stock, et maintenant ma DS! Pourquoi vous m’enlevez tout ce qui est cher à mes yeux ?
Il fut menotté puis embarqué à l’arrière d’une voiture de police. Il vit que ses effets avaient étés mit dans le coffre de la voiture. Il avait encore une chance de récupérer sa raison de vivre.
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Les pedobears attaquent ma ville – Chapitre 6
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- Mais je veux pas aller à l’école !
- On y va pas pour travailler, connard
- Ah, alors go à l’école
- Mais avant je dois prendre un truc.
Plus loin dans la rue, j’aperçus l’objet de ma convoitise, mon magazine. Mais j’eus une vision d’horreur : il était troué de toutes parts et recouvert de sperme.
- Miss Octobre !
Je pris le magazine dans mes bras pour me réconforter.
- Wache, dégueux !! dis-je en m’essuyant les mains sur le gazon. Qu’est-ce que tu fais ?
- Bah quoi, ça goute sucré !
Après cette passionnante discussion, nous nous dirigeâmes vers l’école. J’allais beaucoup plus vite sur le dos de Simon. Nous étions rendus en quelques minutes, alors que ce trajet me prenait habituellement une demi-heure en voiture.
- Waah, c’est à ça que ça ressemble.
- On dirait, oui. Mais là c’est pire.
De la fumée s’échappait de certaines des fenêtre brisées (toutes à vrai dire ) Des cadavres violées gisaient sur le terrain de l’école. En enjambant un groupe de kikoo mutilés et violé par l’anus, nous entrâmes dans l’école. Les pedobears étaient partout ! On se serait cru dans un show des Kidtonik.
- On va se faire détruire ! Il y en a trop.
- Je te l’avais dit, on n’a pas le niveau ! Il faut être au moins niveau 15.
- Taggle
- On fait quoi, on va buter des sangliers ?
- Je devrais me trouver une meilleure arme. Mais je ne te délaisse pas pour autant, mon amour
Et c’est ainsi que se finissais notre courte aventure dans l’école, mais nous allions revenir. Mais les pedobears n’avaient pas l’air de vouloir nous laisser nous en aller. Cette fuite allait s’annoncer ardue, parce que non seulement je devais me sauver, mais je devais convaincre Simon de ne pas aller à leur rencontre. Nous avions réussi à prendre de la distance après une bonne dizaine de minute. Nous étions arrivés sur un boulevard désert.
Plus loin, une voiture de police perdait le contrôle. Elle finit sur le côté de la routé, puis commença à bruler. Un géant avec un afro roux sortit des décombres avec un sac en plastique rempli d’herbe dans la main et une DS dans l’autre. Il s’alluma un joint, pendant que la voiture explosait derrière lui.
-Wouuuu ! s’écria le géant en riant.
Un policier fut projeté hors de la voiture. Il se remit sur ses pieds après un certain temps, puis s’avança vers le roux en le menaçant avec un shotgun. Rendu à une distance d’un mètre environ il s’écria :
- Ne bouge plus, ou je te flingue ! (
- Taggle, raclure de biday, répondit le drogué en lui enfonçant son joint dans l’œil. C’est pour m’avoir prit mon stock. :
- Omagad, je l’aime déjà ce mec
- Moi, c’est mon ami!
- Euh, vous êtes quoi ?
- Pas le temps de parler, y’a les poilus qui rappliquent,dis-je en prenant le shotgun. J’avais trouvé mon arme.
To be continued…
19/01/09 à 19:10:04
c=C'est l'heure du frag :
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