Les pedobears attaquent ma ville
Par : Kouppain
Genre : Nawak
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 3
Publié le 11/01/09 à 22:06:17 par Kouppain
(Je tient à préciser que ce chapitre est plus axé sur la description et que les folleries recommenceront au prochain chapitre )
Tout le monde regardait son afro roux. Évidemment, il ne passait pas inaperçu avec ses 6’2 et son odeur de joint, surtout dans un aéroport. Il s’avançait vers la porte d’embarquement de son vol, mais quelque chose retint son attention. Un troupeau de lamas bleu poudre gambadaient gaiement près de l’embarcadère. Il voulût les suivre, mais une voix inconnue et sensuelle l’appela : «Dernier appel pour les passagers en direction de la France .»
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Les pedobears attaquent ma ville – Chapitre 3
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-Je m’ennuie!
Simon n’avait plus aucun compagnon de jeux et sa connexion internet n’était toujours pas revenue. Il décida donc de se tourner vers sa 360, mais voyant qu’il avait passé tous ses jeux au moins douze fois, il s’en détourna rapidement. C’est alors qu’il eut une idée.
- J’ai soif
______________________
J’étais sorti dehors pour aller au secours de mon ami. Mais un détail me retint. Je devrait bien aller remettre mon pantalon.
Après avoir rangé Maurice, je pris ma poêle pour l’accrocher dans mon dos. Pétant de classe , je sortis dehors pour VRAIMENT commencer ma quête. Où est-ce qu’il habite, le retardé. Une détonation suivie d’une explosion me donna une idée de son emplacement. Il ne vivait qu’à environ deux coins de rue d’ici. Je m’étais donc préparé pour une randonnée de plusieurs heures.
*Plus tard*
L’air commençait à manquer. Mes jambes se fatiguaient et je commençais à voir des mirages. Ma poêle pesait une tonne sur mon dos. Le plus affligeant était que j’étais en train de ramper dans mon entrée.
J’avais besoin de forces, alors dans un ultime effort, je revins à l’intérieur (Encore ) pour prendre une boisson énergisante et un magazine de cul. Je prit bien soins de ne pas faire de bruit au cas où l’un des pedobears vivrait encore.
Maintenant que j’avais fait le plein d’énergie, VRAIMENT VRAIMENT commencer ma quête.
- Et c’est parti !
___________________________
Des pedobears qui s’amusaient plus loin, entendirent le cri de Fred. Ayant déjà remplit tous les cadavres à proximité, ils se dirent qu’une nouvelle proie serait satisfaisante.
- Vous avez entendu ?
- Ouais allons-y.
___________________________
Je continuais mon chemin en suivant la volute de fumée qui s’élevait dans le ciel. Au bout de quelques minutes, j’étais enfin rendu sur la rue de mon ami. Ce long périple était terminé. Du moins, c’est ce que je croyais. Une dizaine de pedobears m’avait poursuivit. Alors qu’ils se rapprochaient, je dû faire un choix difficile. Soit je me débarrassais du magazine pour les occuper un peu où soit je le gardais et ils me rattrapaient à coup sûr. Je décidai de leur lancer le magazine. Malheureusement, seulement deux ou trois d’entre eux s’arrêtèrent pour regarder le magazine, m’en laissant une dizaine au cul !
Je me dépêchai d’entrer dans la maison de Simon puis je barricadai la porte. C’est à ce moment que je remarquai un amusant spectacle : dans son salon, il y avait une montagne de cadavres de pedobears ! Je n’avait jamais autant ris de ma vie.
Mais il fallait quand même trouver Simon. En allant voir dans la cuisine, je vis que celle-ci était complètement détruite. Elle était complètement brulée et des éclats de verre tranchants recouvraient les murs. Mais ce qui était le plus hallucinant, c’était un trou énorme au plafond. Ça expliquait l’explosion. Je ne restais pas plus longtemps, étant pris d’une envie pressante de chier, et aussi parce que je ne voulais pas finir ma vie sous des débris. (Malgré que beaucoup de gens de la ville ont finit comme ça ) Une fois au toilette, je vis que la douche était en marche et que la porte de celle-ci était ouverte.
-OMAGAD !!! Mais c’est quoi, bordel ?!
To be continued...
Tout le monde regardait son afro roux. Évidemment, il ne passait pas inaperçu avec ses 6’2 et son odeur de joint, surtout dans un aéroport. Il s’avançait vers la porte d’embarquement de son vol, mais quelque chose retint son attention. Un troupeau de lamas bleu poudre gambadaient gaiement près de l’embarcadère. Il voulût les suivre, mais une voix inconnue et sensuelle l’appela : «Dernier appel pour les passagers en direction de la France .»
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Les pedobears attaquent ma ville – Chapitre 3
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-Je m’ennuie!
Simon n’avait plus aucun compagnon de jeux et sa connexion internet n’était toujours pas revenue. Il décida donc de se tourner vers sa 360, mais voyant qu’il avait passé tous ses jeux au moins douze fois, il s’en détourna rapidement. C’est alors qu’il eut une idée.
- J’ai soif
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J’étais sorti dehors pour aller au secours de mon ami. Mais un détail me retint. Je devrait bien aller remettre mon pantalon.
Après avoir rangé Maurice, je pris ma poêle pour l’accrocher dans mon dos. Pétant de classe , je sortis dehors pour VRAIMENT commencer ma quête. Où est-ce qu’il habite, le retardé. Une détonation suivie d’une explosion me donna une idée de son emplacement. Il ne vivait qu’à environ deux coins de rue d’ici. Je m’étais donc préparé pour une randonnée de plusieurs heures.
*Plus tard*
L’air commençait à manquer. Mes jambes se fatiguaient et je commençais à voir des mirages. Ma poêle pesait une tonne sur mon dos. Le plus affligeant était que j’étais en train de ramper dans mon entrée.
J’avais besoin de forces, alors dans un ultime effort, je revins à l’intérieur (Encore ) pour prendre une boisson énergisante et un magazine de cul. Je prit bien soins de ne pas faire de bruit au cas où l’un des pedobears vivrait encore.
Maintenant que j’avais fait le plein d’énergie, VRAIMENT VRAIMENT commencer ma quête.
- Et c’est parti !
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Des pedobears qui s’amusaient plus loin, entendirent le cri de Fred. Ayant déjà remplit tous les cadavres à proximité, ils se dirent qu’une nouvelle proie serait satisfaisante.
- Vous avez entendu ?
- Ouais allons-y.
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Je continuais mon chemin en suivant la volute de fumée qui s’élevait dans le ciel. Au bout de quelques minutes, j’étais enfin rendu sur la rue de mon ami. Ce long périple était terminé. Du moins, c’est ce que je croyais. Une dizaine de pedobears m’avait poursuivit. Alors qu’ils se rapprochaient, je dû faire un choix difficile. Soit je me débarrassais du magazine pour les occuper un peu où soit je le gardais et ils me rattrapaient à coup sûr. Je décidai de leur lancer le magazine. Malheureusement, seulement deux ou trois d’entre eux s’arrêtèrent pour regarder le magazine, m’en laissant une dizaine au cul !
Je me dépêchai d’entrer dans la maison de Simon puis je barricadai la porte. C’est à ce moment que je remarquai un amusant spectacle : dans son salon, il y avait une montagne de cadavres de pedobears ! Je n’avait jamais autant ris de ma vie.
Mais il fallait quand même trouver Simon. En allant voir dans la cuisine, je vis que celle-ci était complètement détruite. Elle était complètement brulée et des éclats de verre tranchants recouvraient les murs. Mais ce qui était le plus hallucinant, c’était un trou énorme au plafond. Ça expliquait l’explosion. Je ne restais pas plus longtemps, étant pris d’une envie pressante de chier, et aussi parce que je ne voulais pas finir ma vie sous des débris. (Malgré que beaucoup de gens de la ville ont finit comme ça ) Une fois au toilette, je vis que la douche était en marche et que la porte de celle-ci était ouverte.
-OMAGAD !!! Mais c’est quoi, bordel ?!
To be continued...
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