La cage de faraday
Par : Diabolo
Genre : Horreur , Nawak
Status : Terminée
Note :
Chapitre 6
Sacrifice.
Publié le 17/02/13 à 03:13:33 par Diabolo
Il se tourne vers moi. Il crache quelques mots en algérien avant de vociférer :
- Je sais que c'est toi le leader. Tu pensais être plus fort que les autres. Mais diriger un groupe, et l'emmener sur la mort ne fera jamais de toi un leader digne de ce nom. Il te manque la détermination, la fougue, la ruse et la force. Tu voulais partir ? Vas-y. Vas-y, je te laisse. Un gamin de plus au de moins ici, ça changera quoi après tout ?
Il me lâche le bras. Je ne bouge pas, je suis tétanisé. Je me sens de plus en plus mal, une boule s'installe dans mon ventre. Je repense aux cadavres des gens de ma classe, que je côtoyais, et des nausées montent en moi. Ils ne sont plus, ils n'existent plus, et cela par ma faute. J'ai très froid et je dois être extrêmement pâle car j'ai du mal à me tenir debout.
- Ah, mais tout s'explique, tu ne voulais pas partir seul, comme un lâche. Mais tu sais ce que tu as fait... ? Tu les as tué (il désigne les corps disposés devant le bâtiment C, augmentant mes nausées), tous autant qu'ils sont, plutôt qu'ils étaient, n'est-ce pas ? Mais moi, je peux tout arranger pour toi, en fait je peux même faire de toi un héros.
Il me reprend le bras. Je me crispe sous le contact de sa main. Ses doigts s'enfoncent dans ma chair. Il marque un temps avant de s'adresser aux élèves :
- Comme vous le savez tous, votre pays est en guerre contre le mien. Nous vivons vraiment une situation désolante. Il y a différentes façons d'y remédier, la diplomatie, la guerre, la peur, la soumission, la violence. Un métissage de plusieurs de ces façons donne un ensemble... pour le moins satisfaisant. Et le collège est un lieu idéal, sujet sensible aux yeux de tous, en plus d'être très médiatisé. Les gens pleurent pour des gamins qui se font renverser alors qu'ils étaient bourrés, qui tombent d'un étage, qui tombent dans les escaliers ou qui meurent coincés dans une cage d'ascenseur, ou même intoxiqués par de la peinture, qui se brisent le crâne en scooter ou en vélo, qui se suicident. Que vaut un gamin ? Il n'a même pas conscience de la mort ni du monde qui l'entoure. Vous ne valez rien. Mais qui pleure pour ceux qui tombent à la guerre, pour leur patrie, et pour la sécurité des populations, pour votre sécurité ? Personne. C'est pourquoi, je donne, grâce à mon génie sensationnel, un moyen aux Français de pleurer pour des soldats ET des gosses. Une guerre. Et dans chaque guerre il y a des héros, des perdants et des vainqueurs. Ceci est un spectacle, vous êtes les figurants de mon grand film. Que ce soit vous ou d'autres, peu importe, les figurants en eux-même ne comptent pas aux yeux de l’État, c'est une fois qu'il leur arrive quelque chose qu'ils prennent de la valeur. Votre sort m'importe peu, pourvu qu'il choque les habitants de ce pays vaniteux. Vous êtes les armées. Le dernier survivant sera gracié, pour vous donner une raison de vous massacrer. L'autre raison sera que nous participerons à cette boucherie. Je veux choquer la conscience des Français. Donnez-moi du spectacle, donnez du spectacle à la France et à votre cher chef des armées.
Le silence est dense, la tension palpable. Personne n'ose parler, le stress monte rapidement, chacun prend compte des propos de notre ravisseur. Les jeunes se regardent, l'affolement monte en eux, facilement repérable sur leurs visages. L'homme me place violemment devant lui, me tenant toujours le bras. Il prend son fusil dans l'autre main et le soupèse. Des sanglots et des plaintes impuissantes s'élèvent du groupe de jeunes gens, qui ne savent plus à quoi s'attendre, plongés dans une confusion extrême. L'homme attrape le canon du fusil, le tenant à l'envers, et m'assène soudainement un coup brutal derrière les deux genoux. Je tombe à terre dans un craquement terrible, la douleur est si intense que j'en ai le souffle coupé. Le contact du goudron avec mes genoux brisés me crispe et je serre instinctivement les dents pour ne pas hurler. Mes genoux s'enflamment, j'ai l'impression que mes fémurs sont remontés dans ma cage thoracique. Le monde semble tourner autour de moi, plusieurs élèves ont fermé les yeux. Le chef algérien me retient par les cheveux alors que je laissais mon corps se ramollir, incapable de faire mieux. J'aperçois Joy qui pleure, elle se cache le visage de terreur entre les mains. Du sang s'écoule sur le goudron traversant mon jean, ce qui m'indique que la blessure est ouverte et augmente ma souffrance déjà vive auparavant. Je ne sens plus mes pieds, et la douleur fait apparaître un début de convulsions. Je baisse la tête pour cacher mon visage, déformé par la haine et la souffrance. Le soldat hurle quelques mots en algérien et me fait immédiatement relever la tête. Je croise le regard de Joy. Ma propre souffrance s'y reflète, et c'est elle qui m'accorde le coup de grâce. C'est elle qui m'empêche de résister. C'est elle qui me ramène à la raison. Je ne peux pas la protéger, j'ai voulu la sauver, et je la condamne. Et à partir du moment où elle n'est plus en sécurité, j'ai perdu. Mais je n'ai pas d'autres chances, je ne peux pas recommencer. Je ne survivrais pas à ça. Tout est fini, et Joy va se retrouver seule, au milieu du massacre. Elle sera avec Maël. Mais je revois mentalement la partie de mon rêve où la main de mon meilleur ami avance un peu trop loin à mon goût sur la cuisse de Joy. Deuxième coup de grâce. L'aventure se termine maintenant, à seulement 16 ans ? Il faut croire. Cet homme est fou à lier. Il veut tous nous massacrer pour imposer sa loi, et s'en prend à des innocents, de plus à des gamins terrorisés, car il est incapable de se battre contre de vrais soldats. Là est sa faiblesse, celle qu'il cache si bien, sous son manteau de haine. Nous avons tous une faiblesse, même les monstres.
Malgré la douleur, mon regard se perd dans l'horizon. J'ai déjà quitté ce monde, et j'aimerais me perdre loin dans les cieux.
[Changement de personnage : Joy]
Non. Non, ce n'est pas possible. Mon monde s'effondre. Il est là, à terre, vulnérable, face à moi. Son sang coule sur le goudron froid. Ses yeux verts croisent les miens, mais pour la première fois, ils sont inexpressifs. Son regard est faible, il s'éteint, me laissant seule et livrée à moi même, me retirant la dernière chose à laquelle me raccrocher. Il semble n'accorder aucune importance à sa posture désavantageuse, agenouillé devant les portes de la mort, et que je souffre pour lui. Il a perdu espoir. Et cet homme, cet Algérien qui souille ses cheveux, son corps, son âme de ses grosses bottes sales, nous tient en haleine, et prend un malin plaisir à observer nos réactions.
Mon homme est à terre. Le soldat sort de sa ceinture un couteau, et appuie la lame sur la gorge d'Ethan. Je hurle avant de tomber à terre. Je suis enfin au même niveau que lui. Le goudron est froid, très froid. J'y trouve un certain réconfort, personne n'est en mesure de m'aider plus que ce matériau Absolument personne. L’algérien vocifère :
- C'est le début d'une nouvelle ère. Chacun protège sa peau. Et notre premier véritable sacrifice ouvre ce spectacle. Saluez son courage et survivez.
[Changement de personnage : Ethan]
Le soldat me secoue et s'agenouille à mon niveau, son couteau toujours appuyé sur la gorge. Il m'attrape le menton et me ramène à la réalité. Il me murmure :
- C'est ta copine, n'est-ce pas ? Elle paie à ta place ?
- Joy...
- C'est beau l'amour. Vous vous reverrez bientôt, je m'en chargerai personnellement, c'est promis.
- Non... Non !
Je réalise tout juste ce que l'algérien vient de murmurer. Joy... Je ne peux pas subir un troisième coup de grâce. Comment peut-on être aussi cruel ? Aussi sadique et suffisant ? Dans un dernier effort, j'attrape le manche du couteau à deux mains, mais il est trop tard. La lame glisse sur ma gorge et une vive douleur me paralyse aussitôt. L'homme retire son couteau, et mes bras retombent le long de mon corps. Le goût amer sang envahi ma bouche, je dois entre-ouvrir les lèvres dans un dernier spasme pour l'évacuer.
[Changement de personnage : Joy]
Je relève la tête. C'est trop tard. L'algérien lâche les cheveux d'Ethan, impuissant. Puis, lentement, son corps tombe en avant. En atteignant le goudron, il émet une vibration que je ressens jusqu'au fond de mon cœur. J'ai l'impression que celui-ci vient de se décrocher. Il est parti avec mon homme. Je laisse moi aussi mon corps tomber sur le goudron. Les hurlements, les plaintes, les gémissements, tout ces bruits me parviennent à peine. Ma main se pose sur le sol gelé. Un liquide épais et rougeâtre coule jusqu'à elle. Le contraste froid et chaud du sang et du goudron me fait frissonner. La sang de l'homme que j'aime me passe sur les doigts. De l'homme que j'aimais.
- Je sais que c'est toi le leader. Tu pensais être plus fort que les autres. Mais diriger un groupe, et l'emmener sur la mort ne fera jamais de toi un leader digne de ce nom. Il te manque la détermination, la fougue, la ruse et la force. Tu voulais partir ? Vas-y. Vas-y, je te laisse. Un gamin de plus au de moins ici, ça changera quoi après tout ?
Il me lâche le bras. Je ne bouge pas, je suis tétanisé. Je me sens de plus en plus mal, une boule s'installe dans mon ventre. Je repense aux cadavres des gens de ma classe, que je côtoyais, et des nausées montent en moi. Ils ne sont plus, ils n'existent plus, et cela par ma faute. J'ai très froid et je dois être extrêmement pâle car j'ai du mal à me tenir debout.
- Ah, mais tout s'explique, tu ne voulais pas partir seul, comme un lâche. Mais tu sais ce que tu as fait... ? Tu les as tué (il désigne les corps disposés devant le bâtiment C, augmentant mes nausées), tous autant qu'ils sont, plutôt qu'ils étaient, n'est-ce pas ? Mais moi, je peux tout arranger pour toi, en fait je peux même faire de toi un héros.
Il me reprend le bras. Je me crispe sous le contact de sa main. Ses doigts s'enfoncent dans ma chair. Il marque un temps avant de s'adresser aux élèves :
- Comme vous le savez tous, votre pays est en guerre contre le mien. Nous vivons vraiment une situation désolante. Il y a différentes façons d'y remédier, la diplomatie, la guerre, la peur, la soumission, la violence. Un métissage de plusieurs de ces façons donne un ensemble... pour le moins satisfaisant. Et le collège est un lieu idéal, sujet sensible aux yeux de tous, en plus d'être très médiatisé. Les gens pleurent pour des gamins qui se font renverser alors qu'ils étaient bourrés, qui tombent d'un étage, qui tombent dans les escaliers ou qui meurent coincés dans une cage d'ascenseur, ou même intoxiqués par de la peinture, qui se brisent le crâne en scooter ou en vélo, qui se suicident. Que vaut un gamin ? Il n'a même pas conscience de la mort ni du monde qui l'entoure. Vous ne valez rien. Mais qui pleure pour ceux qui tombent à la guerre, pour leur patrie, et pour la sécurité des populations, pour votre sécurité ? Personne. C'est pourquoi, je donne, grâce à mon génie sensationnel, un moyen aux Français de pleurer pour des soldats ET des gosses. Une guerre. Et dans chaque guerre il y a des héros, des perdants et des vainqueurs. Ceci est un spectacle, vous êtes les figurants de mon grand film. Que ce soit vous ou d'autres, peu importe, les figurants en eux-même ne comptent pas aux yeux de l’État, c'est une fois qu'il leur arrive quelque chose qu'ils prennent de la valeur. Votre sort m'importe peu, pourvu qu'il choque les habitants de ce pays vaniteux. Vous êtes les armées. Le dernier survivant sera gracié, pour vous donner une raison de vous massacrer. L'autre raison sera que nous participerons à cette boucherie. Je veux choquer la conscience des Français. Donnez-moi du spectacle, donnez du spectacle à la France et à votre cher chef des armées.
Le silence est dense, la tension palpable. Personne n'ose parler, le stress monte rapidement, chacun prend compte des propos de notre ravisseur. Les jeunes se regardent, l'affolement monte en eux, facilement repérable sur leurs visages. L'homme me place violemment devant lui, me tenant toujours le bras. Il prend son fusil dans l'autre main et le soupèse. Des sanglots et des plaintes impuissantes s'élèvent du groupe de jeunes gens, qui ne savent plus à quoi s'attendre, plongés dans une confusion extrême. L'homme attrape le canon du fusil, le tenant à l'envers, et m'assène soudainement un coup brutal derrière les deux genoux. Je tombe à terre dans un craquement terrible, la douleur est si intense que j'en ai le souffle coupé. Le contact du goudron avec mes genoux brisés me crispe et je serre instinctivement les dents pour ne pas hurler. Mes genoux s'enflamment, j'ai l'impression que mes fémurs sont remontés dans ma cage thoracique. Le monde semble tourner autour de moi, plusieurs élèves ont fermé les yeux. Le chef algérien me retient par les cheveux alors que je laissais mon corps se ramollir, incapable de faire mieux. J'aperçois Joy qui pleure, elle se cache le visage de terreur entre les mains. Du sang s'écoule sur le goudron traversant mon jean, ce qui m'indique que la blessure est ouverte et augmente ma souffrance déjà vive auparavant. Je ne sens plus mes pieds, et la douleur fait apparaître un début de convulsions. Je baisse la tête pour cacher mon visage, déformé par la haine et la souffrance. Le soldat hurle quelques mots en algérien et me fait immédiatement relever la tête. Je croise le regard de Joy. Ma propre souffrance s'y reflète, et c'est elle qui m'accorde le coup de grâce. C'est elle qui m'empêche de résister. C'est elle qui me ramène à la raison. Je ne peux pas la protéger, j'ai voulu la sauver, et je la condamne. Et à partir du moment où elle n'est plus en sécurité, j'ai perdu. Mais je n'ai pas d'autres chances, je ne peux pas recommencer. Je ne survivrais pas à ça. Tout est fini, et Joy va se retrouver seule, au milieu du massacre. Elle sera avec Maël. Mais je revois mentalement la partie de mon rêve où la main de mon meilleur ami avance un peu trop loin à mon goût sur la cuisse de Joy. Deuxième coup de grâce. L'aventure se termine maintenant, à seulement 16 ans ? Il faut croire. Cet homme est fou à lier. Il veut tous nous massacrer pour imposer sa loi, et s'en prend à des innocents, de plus à des gamins terrorisés, car il est incapable de se battre contre de vrais soldats. Là est sa faiblesse, celle qu'il cache si bien, sous son manteau de haine. Nous avons tous une faiblesse, même les monstres.
Malgré la douleur, mon regard se perd dans l'horizon. J'ai déjà quitté ce monde, et j'aimerais me perdre loin dans les cieux.
[Changement de personnage : Joy]
Non. Non, ce n'est pas possible. Mon monde s'effondre. Il est là, à terre, vulnérable, face à moi. Son sang coule sur le goudron froid. Ses yeux verts croisent les miens, mais pour la première fois, ils sont inexpressifs. Son regard est faible, il s'éteint, me laissant seule et livrée à moi même, me retirant la dernière chose à laquelle me raccrocher. Il semble n'accorder aucune importance à sa posture désavantageuse, agenouillé devant les portes de la mort, et que je souffre pour lui. Il a perdu espoir. Et cet homme, cet Algérien qui souille ses cheveux, son corps, son âme de ses grosses bottes sales, nous tient en haleine, et prend un malin plaisir à observer nos réactions.
Mon homme est à terre. Le soldat sort de sa ceinture un couteau, et appuie la lame sur la gorge d'Ethan. Je hurle avant de tomber à terre. Je suis enfin au même niveau que lui. Le goudron est froid, très froid. J'y trouve un certain réconfort, personne n'est en mesure de m'aider plus que ce matériau Absolument personne. L’algérien vocifère :
- C'est le début d'une nouvelle ère. Chacun protège sa peau. Et notre premier véritable sacrifice ouvre ce spectacle. Saluez son courage et survivez.
[Changement de personnage : Ethan]
Le soldat me secoue et s'agenouille à mon niveau, son couteau toujours appuyé sur la gorge. Il m'attrape le menton et me ramène à la réalité. Il me murmure :
- C'est ta copine, n'est-ce pas ? Elle paie à ta place ?
- Joy...
- C'est beau l'amour. Vous vous reverrez bientôt, je m'en chargerai personnellement, c'est promis.
- Non... Non !
Je réalise tout juste ce que l'algérien vient de murmurer. Joy... Je ne peux pas subir un troisième coup de grâce. Comment peut-on être aussi cruel ? Aussi sadique et suffisant ? Dans un dernier effort, j'attrape le manche du couteau à deux mains, mais il est trop tard. La lame glisse sur ma gorge et une vive douleur me paralyse aussitôt. L'homme retire son couteau, et mes bras retombent le long de mon corps. Le goût amer sang envahi ma bouche, je dois entre-ouvrir les lèvres dans un dernier spasme pour l'évacuer.
[Changement de personnage : Joy]
Je relève la tête. C'est trop tard. L'algérien lâche les cheveux d'Ethan, impuissant. Puis, lentement, son corps tombe en avant. En atteignant le goudron, il émet une vibration que je ressens jusqu'au fond de mon cœur. J'ai l'impression que celui-ci vient de se décrocher. Il est parti avec mon homme. Je laisse moi aussi mon corps tomber sur le goudron. Les hurlements, les plaintes, les gémissements, tout ces bruits me parviennent à peine. Ma main se pose sur le sol gelé. Un liquide épais et rougeâtre coule jusqu'à elle. Le contraste froid et chaud du sang et du goudron me fait frissonner. La sang de l'homme que j'aime me passe sur les doigts. De l'homme que j'aimais.
17/02/13 à 18:35:40
Merci beaucoup
Je vais m'occuper de ça. Je remercie particulièrement hercule pour sa critique
17/02/13 à 17:08:02
Ah oui par contre deux petites choses :
Tu devrais aérer un peu plus ton texte (sauter des lignes tout ça). Pis au moment du discours du chef Algérien essaye de faire quelques coupures, une longue tirade comme ça c'est un peu lourd à lire, d'autant plus que quelques détails en plus sur la façon de parler ou la scène donnerait beaucoup plus d'impact à ce discours
Autre chose, j'ai remarqué qu'à un moment tu as écris "le" au lieu de "la", un petit truc qu'il faut modifier. Et aussi, tu as confondu "aire" (qui est une surface" et "ère" (qui est un changement dans le temps), chose à modifier aussi
M'enfin tout ça pour dire que ton texte m'emballe et que j'trouve que tu as fait beaucoup de progrès !
17/02/13 à 17:02:55
Remarquablement bien écrit ce chapitre : chapeau !
Et puis l'histoire Oh punaise j'veux une suite viiiiiite
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