Elles
Par : Ouuurs
Genre : Sentimental , No-Fake
Status : Terminée
Note :
Chapitre 5
Elle
Publié le 11/01/13 à 18:07:17 par Ouuurs
A ce moment là, mon cerveau a déconnecté, je ne comprenais plus rien. Le Baiser dura longtemps, très longtemps, j’avais l’impression qu’il ne finirait jamais.
Nous nous retirâmes enfin, je la regardais, elle souriait. Moi pas, je savais que j’allais la briser, que c’était une fille sensible et que ce que j’allais lui dire allait la faire pleurer. C’était cette part en moi, cette Chloé enfouie au fin fond de mes entrailles, qui m’empêchait de vivre, qui m’empêchait d’aimer. Où que j’aille, quoi que je fasse, qui que la fille soit, cette partie de moi me retiendra, je savais que je ne pouvais pas lutter.
Léonore.. Je l’avais connue il y a maintenant 5 ans, au collège. Elle était froide avec tout les garçons, quoique chaleureuse avec les filles. Elle m’avait tout de suite tapé dans l’œil, c’était incontestablement la plus belle fille de notre ancienne école. Mais l’ennui c’est qu’elle ne m’aimait pas, je le voyais. Puis il y eut Chloé, elle était la femme de ma vie, si belle, si gentille, elle mettait de la joie dans tout ce qu’elle touchait, partout où elle passait. Je lui ai demandé. Elle a dit oui. Ensemble pour la vie. Ou pas.
J’étais devenu amis avec Léonore quant je suis sortis avec Chloé. Elles étaient très proche l’une de l’autre, donc forcément, Léonore et moi nous sommes bien entendus, car à ce moment là, je me suis rendu compte que nous étions pareil, elle et moi, mais elle n’en restait pas moins une amie.
Quant Chloé est partie, elle m’a soutenue, a fait tout ce qu’elle pouvait pour me sortir de là où j’étais tombé. C’est à ce moment là que Léonore est devenue ma meilleure amie, que nous nous sommes vus quasiment tous les jours, qu’elle a commencé à m’aimer, sans doute.
Je regardais l’endroit où nous nous trouvions. Un petit banc, brun-vert donc la couleur était écaillée à certains endroits, par-ci, par-là. La lumière filtrait à travers l’arbre qui se trouvait au dessus de nos têtes. Cette même lumière illuminait les cheveux de la belle qui se trouvait en face de moi, de l’or, dieu lui-même l’avait façonnée, une telle perfection ne pouvait venir que de lui.
- Léonore, je… balbutiai-je.
- Chut…. Je sais ce que tu vas me dire, que tu aimes toujours Chloé. me dit-elle toujours un sourire sur le visage, ce sourire qu’elle n’adressait qu’à moi, seulement pour moi.
- Mais, comment peux te savoir, seul Jonathan le sais, je ne l’ai dit qu’à lui !
- Je ne sais pas si tu te rappelles, mais Chloé était ma meilleure amie, j’ai gardé contact avec elle, on se parle souvent hihi :) .
- Mais je ne lui ai jamais plus parlé depuis qu’elle est partie ! Enfin, seulement au début…
- Je te connais bien tu sais, ça crève les yeux. Tout les matins, tu m’accueil d’un : ``Mouais, bof`` et ce depuis le jour où elle t’a quittée, je l’ai toujours su, mais je ne pouvais me résoudre à abandonner, je t’aimais trop…
- Léonore je suis désolé, si tu savais comme j’aimerais, mais je ne peux pas…
- Bien sûr que tu peux, me dit-elle en se levant, le regard perdu, je sentais qu’elle allait craquée, mais pas devant moi, elle ne voulait pas que je la voie dans cette état.
« Bien sûr que tu peux » John m’avait dit exactement la même chose ce matin. J’étais triste, triste de voir mon amie partir sans se retourner, en pleures, triste que tout soit de ma fautes et triste que je ne puisses tourner la page.
Je pris mes écouteurs et lançait Somewhere only we know de Keane. Ma chanson préférée, les paroles sont sublimes, quand je ne vais pas bien, je l’écoute, je réfléchis, je pense à ma vie, à eux.
Je restais un moment sous ce lieu que nous seul connaissons, pleurant à chaudes larmes.
Je sentis mon portable vibrer à travers ma poche, et je lus le nom de l’expéditeur : « Chloé »
Nous nous retirâmes enfin, je la regardais, elle souriait. Moi pas, je savais que j’allais la briser, que c’était une fille sensible et que ce que j’allais lui dire allait la faire pleurer. C’était cette part en moi, cette Chloé enfouie au fin fond de mes entrailles, qui m’empêchait de vivre, qui m’empêchait d’aimer. Où que j’aille, quoi que je fasse, qui que la fille soit, cette partie de moi me retiendra, je savais que je ne pouvais pas lutter.
Léonore.. Je l’avais connue il y a maintenant 5 ans, au collège. Elle était froide avec tout les garçons, quoique chaleureuse avec les filles. Elle m’avait tout de suite tapé dans l’œil, c’était incontestablement la plus belle fille de notre ancienne école. Mais l’ennui c’est qu’elle ne m’aimait pas, je le voyais. Puis il y eut Chloé, elle était la femme de ma vie, si belle, si gentille, elle mettait de la joie dans tout ce qu’elle touchait, partout où elle passait. Je lui ai demandé. Elle a dit oui. Ensemble pour la vie. Ou pas.
J’étais devenu amis avec Léonore quant je suis sortis avec Chloé. Elles étaient très proche l’une de l’autre, donc forcément, Léonore et moi nous sommes bien entendus, car à ce moment là, je me suis rendu compte que nous étions pareil, elle et moi, mais elle n’en restait pas moins une amie.
Quant Chloé est partie, elle m’a soutenue, a fait tout ce qu’elle pouvait pour me sortir de là où j’étais tombé. C’est à ce moment là que Léonore est devenue ma meilleure amie, que nous nous sommes vus quasiment tous les jours, qu’elle a commencé à m’aimer, sans doute.
Je regardais l’endroit où nous nous trouvions. Un petit banc, brun-vert donc la couleur était écaillée à certains endroits, par-ci, par-là. La lumière filtrait à travers l’arbre qui se trouvait au dessus de nos têtes. Cette même lumière illuminait les cheveux de la belle qui se trouvait en face de moi, de l’or, dieu lui-même l’avait façonnée, une telle perfection ne pouvait venir que de lui.
- Léonore, je… balbutiai-je.
- Chut…. Je sais ce que tu vas me dire, que tu aimes toujours Chloé. me dit-elle toujours un sourire sur le visage, ce sourire qu’elle n’adressait qu’à moi, seulement pour moi.
- Mais, comment peux te savoir, seul Jonathan le sais, je ne l’ai dit qu’à lui !
- Je ne sais pas si tu te rappelles, mais Chloé était ma meilleure amie, j’ai gardé contact avec elle, on se parle souvent hihi :) .
- Mais je ne lui ai jamais plus parlé depuis qu’elle est partie ! Enfin, seulement au début…
- Je te connais bien tu sais, ça crève les yeux. Tout les matins, tu m’accueil d’un : ``Mouais, bof`` et ce depuis le jour où elle t’a quittée, je l’ai toujours su, mais je ne pouvais me résoudre à abandonner, je t’aimais trop…
- Léonore je suis désolé, si tu savais comme j’aimerais, mais je ne peux pas…
- Bien sûr que tu peux, me dit-elle en se levant, le regard perdu, je sentais qu’elle allait craquée, mais pas devant moi, elle ne voulait pas que je la voie dans cette état.
« Bien sûr que tu peux » John m’avait dit exactement la même chose ce matin. J’étais triste, triste de voir mon amie partir sans se retourner, en pleures, triste que tout soit de ma fautes et triste que je ne puisses tourner la page.
Je pris mes écouteurs et lançait Somewhere only we know de Keane. Ma chanson préférée, les paroles sont sublimes, quand je ne vais pas bien, je l’écoute, je réfléchis, je pense à ma vie, à eux.
Je restais un moment sous ce lieu que nous seul connaissons, pleurant à chaudes larmes.
Je sentis mon portable vibrer à travers ma poche, et je lus le nom de l’expéditeur : « Chloé »
26/01/13 à 15:23:02
J'ai apprécie, c'était cool et bien écrit, même si une relecture pour enlever les fautes ne serait pas de trop
19/01/13 à 13:34:25
Dommage j'aurais préféré que ce soit plus long.
17/01/13 à 17:40:39
Merci :)
17/01/13 à 12:50:22
Magnifique comme fin
16/01/13 à 20:31:50
Yo :)
Donc, c'était le dernier chapitre, j'espère que vous aurez apprécié, je ferais peut-être un épilogue, mais la fin résume mon histoire, alors bon, je ne sais pas :)
Ouurs.
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