Mes copines étrangères
Par : lls
Genre : Sayks
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 7
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Publié le 04/01/13 à 20:12:18 par lls
Elle ne réagit pas, et tout à coup, je regrette mon geste. Je fais quoi maintenant ? Je vais pas me mettre à la caresser jusqu’à ce qu’elle se jette sur moi, on est pas dans un porno non plus … ( )
Je ne peux pas non plus laisser mes mains là sans rien faire, et si je les enlève, elle va penser que je suis un dégonflé, si jamais elle a une idée derrière la tête. Même ça, je n’en suis pas sûr. Je connais pas les coutumes coréennes moi, peut être que quand tu mets tes jambes sur les cuisses de quelqu’un là-bas, ça veut dire que tu l’aimes pas. ( )
Je décide de jouer la carte de l’humour, et j’enlève une de mes mains, et passe un doigt sur la plante de son pied. La réaction se fait sentir immédiatement et la pression chute : elle secoue la jambe, visiblement sensible aux chatouilles, et me regarde avec un air feint de petite fille qui se fait embêter.
Je lui souris, et elle laisse échapper un petit rire avant de refermer les yeux en soupirant d’aise.
Bon, ça veut dire que j’ai carte blanche. Mais pour quoi faire ? Je ne vais pas faire genre : « olol je sais pas ou mettre mes mains donc je les pose là ». On est pas en couple non plus, je peux pas faire ça. Peut-être que si je les enlève, ça ira.
Et finalement, c’est mon passé de grand guerrier expert en art martiaux qui me sauve.
En fait, au cours de ma treizième année de Kung fu, je me suis blessé assez sérieusement au dos, et j’ai été dispensé de toute activité physique pendant un an. Mais je suis quand même allé à tous les entraînements, et au lieu de regarder les autres sans rien faire, j’ai assisté un kinné qui exerce pour l’association sportive. Du coup, sans me vanter, je fais des massages de dieu.
Voilà, c’est parti, je me lance. Je commence à caresser sa peau lentement mais sans douceur pour qu’elle ne se fasse pas d’idée. Je veux que ça ait vraiment l’air d’un massage. Elle frémit un peu au début, mais sans ouvrir les yeux. Je longe les os de ses jambes du genou à la cheville, enserrant son tibia entre mon pouce et mon index. Je suis un peu tendu, et ne profite même pas du moment, qui, restons pragmatique, est juste sorti d’un rêve : je caresse les jambes d’une fille superbe, chez moi, sur un canapé. Mais je continue, concentré, guettant une réaction que j’espère positive. Même Courage n’ose rien dire, crispé.
Finalement, au bout de quelques secondes qui me semblent une éternité, le pouvoir du maître fait son effet. ( )
Elle soupire d’aise en laissant échapper un « Mmhh » discret, et toujours les yeux fermés, bouge une de ses jambes, m’offrant un mollet que j’ai envie de dévorer. Je m’exécute suivant son invitation, et je la sens frémir, alors que j’appuie çà et là, détendant ses muscles, reposant sa peau. Je ne m’aventure pas au-delà des genoux, je pense que ça serait déplacé, et je commence de toute façon à me détendre et à profiter de la créature de rêve qui se laisse tripoter.
-Woah, you really are good ! It’s awesome, me dit-elle, m’interrompant dans mes rêveries.
Elle me regarde maintenant, un mélange de plaisir et de surprise brillant dans ses yeux clairs.
-You’re doing an excellent massage. How do you say that in French ?
-It’s the same word, we pronounce it Ma-ssa-ge.
Elle répète, et nous éclatons de rire à cause de son accent.
-My back is hurting me actually, do you mind if ?
-No, je réponds, sans même réfléchir.
Toute contente, elle se lève, et je fais de même, chassant les fourmis dans mes jambes. En une seconde, sans que j’ai même le temps de me préparer, elle me tourne le dos, enlève son haut rapidement mais avec une grâce féminine innée, et se recouche sur le ventre. À la pensée de sa généreuse poitrine comprimée sur le cuir de mon sofa, Popole tombe tout simplement dans les pommes.
Elle regarde vers moi, la joue posée sur l’accoudoir, attendant de se faire masser. Mon regard erre une fraction de seconde au-dessus de sa hanche, où un bout de sein se laisse apercevoir.
Je plante finalement un genou dans le tapis, près d’elle. Beaucoup trop près d’elle.
Elle ferme les yeux, et je pose mes mains lentement sur son dos aux courbes enivrantes. Sa peau est douce et fraîche, et j’essaie d’enregistrer l’instant pour m’en rappeler à tout jamais. J’aimerais que le temps se fige.
Je commence à la caresser, à travailler son corps épuisé par cette journée de voyage. Je dessine mentalement une ligne à ne pas dépasser, à quelques centimètres de ses fesses bien rondes. J’appuie, tourne, tire, et elle gémit de plaisir. Je m’aventure sur ses hanches, sens ses petites côtes sous mes doigts, et m’interdis également d’approcher trop près de son sein. J’arrive finalement vers sa nuque, et elle dégage ses cheveux d’un geste, me laissant la voie libre. J’ai envie de me pencher et de l’embrasser dans le coup sans jamais m’arrêter, et Popol me souffle discrètement qu’il a eu la même idée. ( )
J’enserre maintenant sa nuque, appuyant doucement avec mes pouces pour détendre les muscles de son cou. Elle a l’air d’apprécier, ses soupirs sont longs et me rendent complètement dingue.
Elle finit par se redresser un peu, et s’exclame :
-Your turn !
Elle se lève alors en me tournant le dos, un bras devant sa poitrine. Elle me regarde et me dit de sa voix de petite fille :
-Close your eyes !
Je m’exécute, et je l’entends récupérer son débardeur et l’enfiler.
-It’s okay !
J’ouvre les yeux, et elle et là, toute souriante, les joues rougies par le plaisir. Je joue le jeu, et tente d’imiter sa voix :
-Close your eyes !
Elle éclate de rire et m’obéit en mettant ses mains devant ses yeux. Mais elle écarte les doigts sans discrétion, me laissant apercevoir son regard pétillant. J’enlève mon t-shirt, arborant ma musculature très correcte. Je prends sa place sur le canapé, et essaie de me détendre.
La tâche devient bien plus ardue lorsqu’elle grimpe sur moi et s’assied à califourchon sur mes fesses…
Je ne peux pas non plus laisser mes mains là sans rien faire, et si je les enlève, elle va penser que je suis un dégonflé, si jamais elle a une idée derrière la tête. Même ça, je n’en suis pas sûr. Je connais pas les coutumes coréennes moi, peut être que quand tu mets tes jambes sur les cuisses de quelqu’un là-bas, ça veut dire que tu l’aimes pas. ( )
Je décide de jouer la carte de l’humour, et j’enlève une de mes mains, et passe un doigt sur la plante de son pied. La réaction se fait sentir immédiatement et la pression chute : elle secoue la jambe, visiblement sensible aux chatouilles, et me regarde avec un air feint de petite fille qui se fait embêter.
Je lui souris, et elle laisse échapper un petit rire avant de refermer les yeux en soupirant d’aise.
Bon, ça veut dire que j’ai carte blanche. Mais pour quoi faire ? Je ne vais pas faire genre : « olol je sais pas ou mettre mes mains donc je les pose là ». On est pas en couple non plus, je peux pas faire ça. Peut-être que si je les enlève, ça ira.
Et finalement, c’est mon passé de grand guerrier expert en art martiaux qui me sauve.
En fait, au cours de ma treizième année de Kung fu, je me suis blessé assez sérieusement au dos, et j’ai été dispensé de toute activité physique pendant un an. Mais je suis quand même allé à tous les entraînements, et au lieu de regarder les autres sans rien faire, j’ai assisté un kinné qui exerce pour l’association sportive. Du coup, sans me vanter, je fais des massages de dieu.
Voilà, c’est parti, je me lance. Je commence à caresser sa peau lentement mais sans douceur pour qu’elle ne se fasse pas d’idée. Je veux que ça ait vraiment l’air d’un massage. Elle frémit un peu au début, mais sans ouvrir les yeux. Je longe les os de ses jambes du genou à la cheville, enserrant son tibia entre mon pouce et mon index. Je suis un peu tendu, et ne profite même pas du moment, qui, restons pragmatique, est juste sorti d’un rêve : je caresse les jambes d’une fille superbe, chez moi, sur un canapé. Mais je continue, concentré, guettant une réaction que j’espère positive. Même Courage n’ose rien dire, crispé.
Finalement, au bout de quelques secondes qui me semblent une éternité, le pouvoir du maître fait son effet. ( )
Elle soupire d’aise en laissant échapper un « Mmhh » discret, et toujours les yeux fermés, bouge une de ses jambes, m’offrant un mollet que j’ai envie de dévorer. Je m’exécute suivant son invitation, et je la sens frémir, alors que j’appuie çà et là, détendant ses muscles, reposant sa peau. Je ne m’aventure pas au-delà des genoux, je pense que ça serait déplacé, et je commence de toute façon à me détendre et à profiter de la créature de rêve qui se laisse tripoter.
-Woah, you really are good ! It’s awesome, me dit-elle, m’interrompant dans mes rêveries.
Elle me regarde maintenant, un mélange de plaisir et de surprise brillant dans ses yeux clairs.
-You’re doing an excellent massage. How do you say that in French ?
-It’s the same word, we pronounce it Ma-ssa-ge.
Elle répète, et nous éclatons de rire à cause de son accent.
-My back is hurting me actually, do you mind if ?
-No, je réponds, sans même réfléchir.
Toute contente, elle se lève, et je fais de même, chassant les fourmis dans mes jambes. En une seconde, sans que j’ai même le temps de me préparer, elle me tourne le dos, enlève son haut rapidement mais avec une grâce féminine innée, et se recouche sur le ventre. À la pensée de sa généreuse poitrine comprimée sur le cuir de mon sofa, Popole tombe tout simplement dans les pommes.
Elle regarde vers moi, la joue posée sur l’accoudoir, attendant de se faire masser. Mon regard erre une fraction de seconde au-dessus de sa hanche, où un bout de sein se laisse apercevoir.
Je plante finalement un genou dans le tapis, près d’elle. Beaucoup trop près d’elle.
Elle ferme les yeux, et je pose mes mains lentement sur son dos aux courbes enivrantes. Sa peau est douce et fraîche, et j’essaie d’enregistrer l’instant pour m’en rappeler à tout jamais. J’aimerais que le temps se fige.
Je commence à la caresser, à travailler son corps épuisé par cette journée de voyage. Je dessine mentalement une ligne à ne pas dépasser, à quelques centimètres de ses fesses bien rondes. J’appuie, tourne, tire, et elle gémit de plaisir. Je m’aventure sur ses hanches, sens ses petites côtes sous mes doigts, et m’interdis également d’approcher trop près de son sein. J’arrive finalement vers sa nuque, et elle dégage ses cheveux d’un geste, me laissant la voie libre. J’ai envie de me pencher et de l’embrasser dans le coup sans jamais m’arrêter, et Popol me souffle discrètement qu’il a eu la même idée. ( )
J’enserre maintenant sa nuque, appuyant doucement avec mes pouces pour détendre les muscles de son cou. Elle a l’air d’apprécier, ses soupirs sont longs et me rendent complètement dingue.
Elle finit par se redresser un peu, et s’exclame :
-Your turn !
Elle se lève alors en me tournant le dos, un bras devant sa poitrine. Elle me regarde et me dit de sa voix de petite fille :
-Close your eyes !
Je m’exécute, et je l’entends récupérer son débardeur et l’enfiler.
-It’s okay !
J’ouvre les yeux, et elle et là, toute souriante, les joues rougies par le plaisir. Je joue le jeu, et tente d’imiter sa voix :
-Close your eyes !
Elle éclate de rire et m’obéit en mettant ses mains devant ses yeux. Mais elle écarte les doigts sans discrétion, me laissant apercevoir son regard pétillant. J’enlève mon t-shirt, arborant ma musculature très correcte. Je prends sa place sur le canapé, et essaie de me détendre.
La tâche devient bien plus ardue lorsqu’elle grimpe sur moi et s’assied à califourchon sur mes fesses…
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