<h1>Noelfic</h1>

Mes copines étrangères


Par : lls

Genre : Sayks

Status : C'est compliqué

Note :


Chapitre 6

Relation

Publié le 04/01/13 à 20:08:14 par lls

Son école est à 15 minutes en bus, on décide de faire le trajet ensemble pour qu’elle se repère un peu. Je commence à m’habituer à son corps de rêve, et je ne fais (presque) plus attention à ses magnifiques jambes croisées et à sa poitrine rebondie alors qu’on papote dans le bus.

On arrive finalement, et comme on a des comptes à rendre à son école, elle pour finaliser son inscription, et moi en tant que logeur, on entre. C’est assez grand, plutôt bien foutu. L’accueil m’indique le bureau de comptabilité, et on se retrouve rapidement en face d’une trentenaire cachée derrière un écran d’ordinateur. Un homme asiatique assez âgé nous rejoint, et nous salue chaudement.

-Bonjour, je suis Monsieur Dou, je serai le professeur de français de Yun, me dit-il avec un très bon accent.
Puis il commence à converser avec elle en coréen, pendant que je m’entretiens avec la comptable. Je ne comprends pas tout mais je pense que Yun est contente de la maison, de la longueur du trajet, etc… Pour faire écho à mes pensées, la dame me dit que l’université virera le fric dans quelques jours. Merci, au revoir. J’ai horreur des lieux scolaires en période de vacances, et on décide de marcher un peu. Il fait super chaud, il n’y a pas de vent, et on s’installe sur un banc à l’ombre, dans un parc. Courage s’est habitué à sa présence de déesse et reste tranquille. Maintenant c’est mon esprit qui me joue des tours. J’ai envie de la serrer contre moi, de caresser ses cuisses et ses fesses en comprimant ses seins sur mon torse, j’ai envie de…

-Steph, do you have a girlfriend ? me demande-t-elle, innocemment.
-Nope, je réponds simplement.
-I can’t believe it ! You’re such a kind guy, reprend-t-elle en plissant ses yeux amusés, comme si je lui cachais quelque chose.
-Oh no… I have not enough time, and I’m too much lazy… And I am not so kind, you know.

Je veux essayer de faire mon guerrier trop dark mystérieux, mais elle éclate de rire et pose une de ses mains douces sur mon avant-bras. Popole fait les grosses joues. ( :noel: )
On continue de discuter, de plus en plus familiers. Je la vois chasser une mèche rebelle et soupirer. Ses pommettes sont rouges de chaleur, et j’imagine son corps glissant sous son débardeur serré. Chassant quelques pensées perverses à base d’huile et de fesses ( :noel: ), je propose :
-Do you fancy an ice cream ? It’s hot here…

Elle est partante. On quitte donc le parc et on marche jusqu’à trouver un marchand de glace. J’achète deux cônes Vanille Fraise, et nous voilà repartis. J’essaie de réprimer mon envie de la contempler lécher la glace qui fond dans ses doigts, mais c’est difficile. :noel:
Je suis quasiment certain que si elle me regarde dans les yeux en mangeant sa glace, Courage va déchirer mon jean. Je m’abstiens donc, car c’est un jean que j’aime bien. :hap:
Il est presque sept heures lorsqu’on rentre. La température est correcte maintenant, et on achète des frites sur le chemin du retour. On rentre à pieds tranquillement sans prendre le bus, si bien qu’il est huit heures quand je verrouille la porte.

-Thank you for this afternoon Steph, Lyon is a beautiful city ! me dit Yun.
-You’re welcome ! je réponds en souriant.
-I will have a shower, see you later !
Et elle disparait, toute joyeuse. Je fais de même, et apprécie l’eau fraîche qui cascade sur mon corps. Popole, qui s’est discrètement étiré, chuchote à mon oreille ( :noel: ) :
-A ton avis, elle va encore enlever son soutif ?
Encore fâché contre lui pour toute les fois où il a failli me trahir aujourd’hui, je l’ignore, et il retourne se cacher en boule ( :noel: ).

Une fois bien propre, je vais dans le salon et m’affale sur un petit canapé, en allumant la télé d’un geste. Je suis assis comme un gros tas, les pieds sur la table basse, quand mon invitée me rejoint. Au lieu de s’installer sur un autre sofa, elle vient se poser près de moi. Du coin de l’œil, je la vois s’asseoir sur une cuisse et rabattre ses jambes sous elle. Je me risque à la regarder.
-Hey, you’re fine ?
-Yeah, it’s better now ! répond-elle, éternellement souriante.

Je suis obligé d’admettre que Popole avait raison : elle n’a pas de soutien-gorge. En fait, elle est habillée de la même façon que tout à l’heure, un débardeur noir qu’elle a un peu remonté et qui laisse apparaître sa peau divine (mais pas son piercing :-( ), et son minishort blanc qui me fait tourner la tête. Ses cheveux ne sont pas secs et sont laissés libres autour de son visage d’ange, presque bouclés. Ça leur donne beaucoup de volume, et j’avale difficilement ma salive.
Elle est beaucoup trop pas assez ( :noel: ) habillée pour moi, je sais que si je ne détourne pas rapidement les yeux, je ne pourrai plus jamais le faire. Je reviens donc sur la télé, et zappe jusqu’à obtenir une chaîne en anglais, qui diffuse les BBC News.

Elle me remercie et me promet que bientôt, on pourra regarder des chaînes en français sans qu’elle soit trop perdue.
Au bout d’environ quinze minutes, elle doit trouver sa position inconfortable, car elle se met sur le dos, la tête callée par l’accoudoir du canapé. Elle étire ses jambes pour les poser… Sur mes cuisses.

Je ne sais pas quoi faire, je reste juste immobile. Je décide d’adopter une attitude naturelle. Elle n’a pas pu me confondre avec l’autre accoudoir ou un coussin, c’est délibéré de sa part. Mais je n’ose même plus respirer de peur qu’elle retire ses jambes. Je n’ose même pas quitter la TV des yeux, et j’ai envie de décroiser mes propres jambes toujours posées sur la table, mais je me retiens. Au bout d’une longue minute, je me risque à la regarder. Elle a les yeux fermés, vers le plafond. Elle semble paisible, tellement bien après cette journée qui a dû être épuisante. Ses bras sont négligemment posés sur son ventre, et une de ses mains touche presque sa cuisse. Me sentant safe, je la matte sans retenue, bavant presque à la vue de son décolleté et de sa poitrine gonflée qui ne demande qu’à sortir. Je dévore ses courbes des yeux, embrasse ses cuisses du regard, et m’arrête finalement sur ses jambes parfaites, à portée de main. Elle porte un bracelet doré à une cheville, un argenté à l’autre. Ses pieds sont minuscules et adorables et reposent sur l’accoudoir, et je vois que ses ongles sont peints du même rouge que ceux de ses mains.

Je ferme les yeux une seconde, et avant même d’avoir pesé le pour et le contre de ce que j’envisage, je pose lentement mes mains sur ses jambes.

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