Mes copines étrangères
Par : lls
Genre : Sayks
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 4
Yun
Publié le 04/01/13 à 18:30:24 par lls
J’ai l’impression d’être dans un rêve. Elle enlève son gilet comme si de rien n’était, révélant un petit haut noir et rouge qui lui arrive au milieu du ventre. Son décolleté serré comprime sa poitrine généreuse et me permet d’apercevoir un bout de son soutien-gorge rouge également, et son nombril est orné d’un piercing circulaire serti d’une émeraude verte brillante.
Heureusement, elle ne se rend pas compte de mon expression de demeuré et se retourne pour ranger sa veste dans sa valise. Elle se penche un peu innocemment en avant, et j’écarquille les yeux, concentré sur sa paire de fesses rondes et fermes. Le sang me monte à la tête, et je me racle la gorge en essayant de regarder ailleurs, complètement perdu.
-Let’s go ! lance-t-elle joyeusement, et on se remet en route.
J’essaie de reprendre mes esprits, ignorant mon cœur qui bat la chamade, et essaie d’imaginer que c’est une fille comme une autre. On a pas vraiment le temps de discuter avant de monter dans le bus, et c’est une fois installés à l’arrière qu’elle pousse un profond soupir faisant monter et redescendre ses seins imposants.
Ses jambes sont croisées et le long talon de sa chaussure effleure ma jambe à chaque fois que le bus passe sur un côté abîmé de la route.
Je n’ai finalement pas de raison d’avoir peur du silence, car elle s’avère être très bavarde. Elle me dit qu’elle est excitée d’être en France, que c’est une super expérience pour elle. On parle du temps, de ce qu’elle fait. Apparemment, elle suit des études de chimie, elle est en deuxième année d’école d’ingénieurs.
-I hope that soon, I will be able to talk to you in French !
Je souris, et réponds :
-If you need some help, I can teach you.
Elle met alors une main sur ma cuisse durant une seconde, et Courage remue, victime d’un sommeil agité.
-Thank you Steph, you’re nice. I think the french is a sexy language !
Puis elle rit, et je ris aussi, et Courage rit aussi.
Nous arrivons enfin, et récupérons les valises dans la soute. On bavarde tout en prenant le chemin de la maison.
-Thank you Steph, I would never be able to come here by myself. I know only few words in French, and I don’t know how to read yet.
-My pleasure, je réponds, sincère.
On arrive chez moi, je lui fais rapidement faire un tour des lieux. Elle semble ravie de sa chambre, à 10 mètres de la mienne. Elle me dit qu’elle va prendre une douche et s’habiller plus léger, au vu de la température. Je la laisse donc là avec ses affaires, et lui dit de ne pas hésiter à m’appeler si elle a besoin de quoi que ce soit. (Particulièrement si elle a besoin de quelque chose sous la douche. )
Me remettant de mes émotions, je vais faire un troll plein de rage sur le 15-18 où je dis que je suis riche. Je ricane cinq minutes devant des blagues de DTC, et je file direct sur le site d’Ubuntu, en bon geek linuxien que je suis. Popole me dit qu’il aimerait bien vomir sur ma nouvelle invitée, mais je le gronde et l’envoie au coin ( ).
Enfin, un moment plus tard, on toque discrètement à ma porte. Même protégé par ma nouvelle barrière de sang-froid, j’ai du mal à garder mon calme en voyant Yun en minishort blanc.
Sans talons, elle est à peine plus grande que moi assis. Pourtant, ses jambes paraissent longues et fines, et ses cuisses me donnent envie de mordre dedans. Ses cheveux sont détachés et cascadent de façon désordonnée autour de son visage jusqu’à sa poitrine. Elle s’est démaquillée mais reste magnifique, ses yeux gris clair délicieusement bridés me donnent des ailes. Courage glisse timidement une main ( )entre mon t-shirt et mon jean, oubliant sa punition.
Elle s’approche de moi et je garde le sourire, essayant de fixer ses yeux et pas sa poitrine débordant presque de son débardeur noir. Je ne vois plus son piercing, et un frisson d'excitation me parcourt l'échine alors que je me demande si elle en cache d'autres.
Toujours ce regard que je jurerais pervers.
-That’s better ! dit-elle en soupirant. I think I will sleep well tonight. I’m tired actually.
-Are you hungry ? Do you fancy something to eat ? je lui demande, en me levant.
Elle est là, toute menue, minuscule à côté de moi.
Elle doit maintenant complètement lever la tête pour me regarder dans les yeux, et un sentiment de domination m’envahit. Je me rappelle de certaines vidéos qui me donnent des idées. :
Son visage angélique d’asiatique la rajeunirait presque, si elle n’avait pas de si gros seins. Mon regard descend une fraction de seconde, et mon cœur loupe un battement, alors que je réalise qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Je reviens immédiatement dans ses yeux, sans rien laisser transparaître.
Elle arbore une petite moue feinte, qui la fait encore plus passer pour une gamine.
-You’re too much tall ! I will break my neck ! se plaint-elle, adorable.
Puis elle reprend, pour répondre à ma question :
-Yes, I’m starving actually ! And I’m also thirsty. Do you mind if…
-No, that’s okay, let’s see what we have in the kitchen, je réponds, avenant.
Elle me sourit en plissant ses yeux magnifiques, et quitte la chambre en me précédant.
Elle ne force pas la démarche, mais ses fesses rebondies s'agitent à chacun de ses pas, et j’autorise mon regard à les embrasser. Je me demande si elle a également congédié sa culotte avec son soutien-gorge. Popole me propose silencieusement d’aller vérifier, mais je le fais taire d’une tape sèche sur la tête. ( )
Heureusement, elle ne se rend pas compte de mon expression de demeuré et se retourne pour ranger sa veste dans sa valise. Elle se penche un peu innocemment en avant, et j’écarquille les yeux, concentré sur sa paire de fesses rondes et fermes. Le sang me monte à la tête, et je me racle la gorge en essayant de regarder ailleurs, complètement perdu.
-Let’s go ! lance-t-elle joyeusement, et on se remet en route.
J’essaie de reprendre mes esprits, ignorant mon cœur qui bat la chamade, et essaie d’imaginer que c’est une fille comme une autre. On a pas vraiment le temps de discuter avant de monter dans le bus, et c’est une fois installés à l’arrière qu’elle pousse un profond soupir faisant monter et redescendre ses seins imposants.
Ses jambes sont croisées et le long talon de sa chaussure effleure ma jambe à chaque fois que le bus passe sur un côté abîmé de la route.
Je n’ai finalement pas de raison d’avoir peur du silence, car elle s’avère être très bavarde. Elle me dit qu’elle est excitée d’être en France, que c’est une super expérience pour elle. On parle du temps, de ce qu’elle fait. Apparemment, elle suit des études de chimie, elle est en deuxième année d’école d’ingénieurs.
-I hope that soon, I will be able to talk to you in French !
Je souris, et réponds :
-If you need some help, I can teach you.
Elle met alors une main sur ma cuisse durant une seconde, et Courage remue, victime d’un sommeil agité.
-Thank you Steph, you’re nice. I think the french is a sexy language !
Puis elle rit, et je ris aussi, et Courage rit aussi.
Nous arrivons enfin, et récupérons les valises dans la soute. On bavarde tout en prenant le chemin de la maison.
-Thank you Steph, I would never be able to come here by myself. I know only few words in French, and I don’t know how to read yet.
-My pleasure, je réponds, sincère.
On arrive chez moi, je lui fais rapidement faire un tour des lieux. Elle semble ravie de sa chambre, à 10 mètres de la mienne. Elle me dit qu’elle va prendre une douche et s’habiller plus léger, au vu de la température. Je la laisse donc là avec ses affaires, et lui dit de ne pas hésiter à m’appeler si elle a besoin de quoi que ce soit. (Particulièrement si elle a besoin de quelque chose sous la douche. )
Me remettant de mes émotions, je vais faire un troll plein de rage sur le 15-18 où je dis que je suis riche. Je ricane cinq minutes devant des blagues de DTC, et je file direct sur le site d’Ubuntu, en bon geek linuxien que je suis. Popole me dit qu’il aimerait bien vomir sur ma nouvelle invitée, mais je le gronde et l’envoie au coin ( ).
Enfin, un moment plus tard, on toque discrètement à ma porte. Même protégé par ma nouvelle barrière de sang-froid, j’ai du mal à garder mon calme en voyant Yun en minishort blanc.
Sans talons, elle est à peine plus grande que moi assis. Pourtant, ses jambes paraissent longues et fines, et ses cuisses me donnent envie de mordre dedans. Ses cheveux sont détachés et cascadent de façon désordonnée autour de son visage jusqu’à sa poitrine. Elle s’est démaquillée mais reste magnifique, ses yeux gris clair délicieusement bridés me donnent des ailes. Courage glisse timidement une main ( )entre mon t-shirt et mon jean, oubliant sa punition.
Elle s’approche de moi et je garde le sourire, essayant de fixer ses yeux et pas sa poitrine débordant presque de son débardeur noir. Je ne vois plus son piercing, et un frisson d'excitation me parcourt l'échine alors que je me demande si elle en cache d'autres.
Toujours ce regard que je jurerais pervers.
-That’s better ! dit-elle en soupirant. I think I will sleep well tonight. I’m tired actually.
-Are you hungry ? Do you fancy something to eat ? je lui demande, en me levant.
Elle est là, toute menue, minuscule à côté de moi.
Elle doit maintenant complètement lever la tête pour me regarder dans les yeux, et un sentiment de domination m’envahit. Je me rappelle de certaines vidéos qui me donnent des idées. :
Son visage angélique d’asiatique la rajeunirait presque, si elle n’avait pas de si gros seins. Mon regard descend une fraction de seconde, et mon cœur loupe un battement, alors que je réalise qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Je reviens immédiatement dans ses yeux, sans rien laisser transparaître.
Elle arbore une petite moue feinte, qui la fait encore plus passer pour une gamine.
-You’re too much tall ! I will break my neck ! se plaint-elle, adorable.
Puis elle reprend, pour répondre à ma question :
-Yes, I’m starving actually ! And I’m also thirsty. Do you mind if…
-No, that’s okay, let’s see what we have in the kitchen, je réponds, avenant.
Elle me sourit en plissant ses yeux magnifiques, et quitte la chambre en me précédant.
Elle ne force pas la démarche, mais ses fesses rebondies s'agitent à chacun de ses pas, et j’autorise mon regard à les embrasser. Je me demande si elle a également congédié sa culotte avec son soutien-gorge. Popole me propose silencieusement d’aller vérifier, mais je le fais taire d’une tape sèche sur la tête. ( )
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