Mes copines étrangères
Par : lls
Genre : Sayks
Status : C'est compliqué
Note :
Chapitre 13
Expérience
Publié le 04/01/13 à 21:00:59 par lls
Yun et ses lèvres humides sont à quelques centimètres de Courage toujours planqué dans mon jean. J’en ai toujours rêvé, qu’un moment pareil se produise, mais je dois avouer que j’hésite. Parce que c’est Yun, parce que j’ai peur qu’elle fasse ça uniquement pour moi. Puis je chasse cette idée de mon esprit. Jusqu’à maintenant, elle a toujours eu ce qu’elle voulait, ce dont elle avait besoin. Nul doute qu’elle doit ressentir du plaisir à me proposer ça.
Elle paraît m’attendre, impatiente, et le doute laisse place à l’excitation. Je déboutonne mon jean et le fais glisser. Puis je retire mon caleçon, laissant apparaître un Courage à moitié en forme. Yun le regarde, curieuse. Son visage n’a jamais été aussi proche de lui. On dirait que c’est la première fois qu’elle en voit un. Elle n’ose pas, mais meurs d’envie de le toucher.
Finalement, elle s’approche encore, et avance une main. Ses doigts sont frais autour de lui. Il est maintenant totalement réveillé, et s’étire. Elle le tient comme ça quelques secondes, sans trop savoir quoi faire. Elle parait amusée de le sentir se dresser dans sa main, et son regard change sans cesse de cible, tantôt vers moi, tantôt vers Courage. Il est finalement gonflé à bloc, et elle n’ose pas bouger.
- Aide-moi, demande-t-elle en riant, perdue.
Je ris à mon tour, et enveloppe sa main avec la mienne. Je lui montre comment faire des va et vient, et elle paraît toute contente. Elle l’étudie, le teste, utilise ses deux mains. Tout en douceur. Je me relaxe, appréciant le contact de sa peau fraîche. Je me laisse aller contre le dossier du canapé en soupirant.
-Tu aimes ? elle me demande, souriante.
-Ah oui, je réponds avec conviction. C’est comme un super massage.
Elle me sourit et s’approche encore de lui. Je crois que si elle tire la langue, elle peut le toucher. Mais elle a l’air d’hésiter.
-Tu n’es pas obligée, si tu n’en as pas envie, je la rassure.
Elle fronce les sourcils, et feint la petite fille capricieuse.
-J’ai pas envie de faire mal. Comment ?
Me voilà à devoir donner des conseils à une fille pour une fellation.
-Euh… Je pense que c’est comme une banane tu vois ? Mais tu ne mords pas, un peu comme une glace.
Elle comprend « banane » et « glace », acquiesce en souriant, et revient loucher sur Courage, qu’elle tient toujours fermement. Finalement, elle se lance. Un coup de langue furtif. Puis elle me regarde, et éclate de rire.
Bordel, j’ai une créature somptueuse qui tient mon sexe bien fermement et qui me regarde dans les yeux en souriant. Je crois que si elle recommence, je ne vais pas résister longtemps.
Mais elle recommence, moins vite. Et encore moins vite. Elle laisse sa langue, guette ma réaction, et vois que tout va bien. Finalement, elle ferme les yeux, et pose ses lèvres sur la bête. Elle ouvre la bouche, et avance, et je sens sa langue qui goute, ses lèvres qui se referment. Comme quand elle mangeait sa banane près de la piscine. Mais elle ne croque pas. Elle le ressort de sa bouche, et rouvre les yeux. Elle me regarde, et je l’interroge du regard.
-C’est ok, elle me dit. Tu aimes ?
Elle semble vraiment préoccupée par le plaisir qu’elle me procure. Mais je la rassure.
-C’est parfait. Si tu ne veux plus, arrête.
Elle me sourit en le remettant dans sa bouche. Mais elle garde les yeux ouverts, et là je profite vraiment. Elle prend juste le bout, mais la chaleur de sa bouche, sa langue humide et ses lèvres qui se referment… Et je ne quitte pas ses yeux clairs qui brillent tellement avec son mascara noir. Elle le ressort de sa bouche, goute, et satisfaite, recommence.
Elle referme juste ses lèvres sur le bout, sans se presser. Elle s’habitue à l’avoir dans sa bouche, et je la sens qui agite sa langue. Je ne peux réprimer un frisson, et elle me demande immédiatement si ça va. Je soupire d’aise, et elle reprend. Elle met une plus grosse partie dans sa bouche cette fois, quasiment le gland entier. Sa main emprisonne toujours Courage, et elle se souvient qu’elle peut la faire remuer. Alors elle le fait, et c’est exquis.
Elle le pose sur sa langue et l’agite avec sa main, avant de refermer sa bouche sur lui. Tout ça sans jamais quitter mon regard. Les minutes sont exquises, alors qu’elle se prend au jeu. Elle teste ma limite, l’agite de plus en plus vite pour voir si ça me blesse. Elle fait mine de le croquer, et quand je lui fais les gros yeux, elle le sort de sa bouche et éclate de rire.
Je me rends compte qu’elle n’a pas son regard insaisissable habituel. Elle est joueuse, souriante, et elle comprend vite qu’elle peut facilement m’allumer. Elle le met dans sa bouche, et elle a subitement l’idée de le sucer comme une paille. Je vois ses joues qui se creusent, et je tressaille de plaisir. Toute contente, elle recommence de plus belle, en me lançant un regard provocateur qui manque de m’achever.
Puis elle a la seconde idée de bouger la tête. Ses lèvres touchent le sommet de Courage, l’aspirent, et descendent lentement, jusqu’à ce que tout le gland soit dans sa bouche humide. Et au lieu de le relâcher d’un coup, elle se recule doucement, et ses lèvres qui frottent m’arrachent un gémissement. Son regard s’illumine, et elle recommence, et j’adore ça. Je crois qu’elle comprend ce qu’il se passe quand je lui fait l’amour, je veux dire, quand je suis en elle. Elle commence à l’agiter avec sa bouche, s’approchant et reculant de plus en plus vite. Je ne peux plus rester collé contre le dossier du canapé. Je me tiens droit, et je soupire sans la quitter des yeux.
À chaque fois qu’elle le libère, je vois un Courage luisant de salive et éternellement heureux. Elle s’excite maintenant, et elle ne me regarde plus, concentrée sur son mouvement. Elle va de plus en plus vite, de plus en plus loin. Elle n’a plus peur maintenant, la petite Yun. Elle met quasiment la moitié de Courage dans sa bouche, et relève les yeux sur moi, constatant avec joie que je suis au paradis. Elle le tient maintenant entre ses lèvres, et elle ramène ses cheveux en arrière avant de poser son bras sur ma cuisse.
Elle continue sans utiliser ses mains, et lorsque Courage glisse de sa bouche et retombe sur moi, elle se penche en avant et le récupère entre ses lèvres. Son regard brille d’excitation, et en plus des va et vient, elle se met à le sucer, a aspirer, et je gémis et l’arrête presque immédiatement.
Je caresse sa joue, et elle libère Courage avant d’avaler sa salive. Puis elle me regarde, inquiète.
-J’ai mal fait ?
-Non non c'était parfait. Mais je vais finir, je réponds.
Elle ne parait pas comprendre, et j’attrape des mouchoirs dans ma poche. Elle ne bouge pas, les mains sur mes cuisses, et attends de voir ce qui va suivre. Ça me fait bizarre de me toucher avec cette fille superbe qui me regarde. Mais je n’ai aucun doute : je sais que tout va se terminer en quelques secondes. Courage est brûlant et trempé, et Yun attends avec impatience le dénouement de l’histoire.
Je le secoue un instant, et j’explose, sans pouvoir contrôler mes gémissements. Je regarde Yun, elle est bouche bée, et un petit sourire se dessine sur ses lèvres, alors que j’essuie un Popole baveux.
-Je pensais pas, me dit-elle. Mais j’aime peut-être.
Elle désigne le mouchoir, mais n’a pas l’air de vouloir goûter.
Je vais le jeter, et je me rhabille. Yun me laisse m’allonger sur le canapé, et elle vient se blottir contre moi en position fœtale, ses jambes repliées. Je pose une main sur sa cuisse, entre ses collants et sa robe. Elle me demande si j’ai aimé, et je l’embrasse dans les cheveux en guise de réponse.
Et elle tourne la tête vers moi en souriant, et me dit :
-J’aime moi. On refait après.
Elle paraît m’attendre, impatiente, et le doute laisse place à l’excitation. Je déboutonne mon jean et le fais glisser. Puis je retire mon caleçon, laissant apparaître un Courage à moitié en forme. Yun le regarde, curieuse. Son visage n’a jamais été aussi proche de lui. On dirait que c’est la première fois qu’elle en voit un. Elle n’ose pas, mais meurs d’envie de le toucher.
Finalement, elle s’approche encore, et avance une main. Ses doigts sont frais autour de lui. Il est maintenant totalement réveillé, et s’étire. Elle le tient comme ça quelques secondes, sans trop savoir quoi faire. Elle parait amusée de le sentir se dresser dans sa main, et son regard change sans cesse de cible, tantôt vers moi, tantôt vers Courage. Il est finalement gonflé à bloc, et elle n’ose pas bouger.
- Aide-moi, demande-t-elle en riant, perdue.
Je ris à mon tour, et enveloppe sa main avec la mienne. Je lui montre comment faire des va et vient, et elle paraît toute contente. Elle l’étudie, le teste, utilise ses deux mains. Tout en douceur. Je me relaxe, appréciant le contact de sa peau fraîche. Je me laisse aller contre le dossier du canapé en soupirant.
-Tu aimes ? elle me demande, souriante.
-Ah oui, je réponds avec conviction. C’est comme un super massage.
Elle me sourit et s’approche encore de lui. Je crois que si elle tire la langue, elle peut le toucher. Mais elle a l’air d’hésiter.
-Tu n’es pas obligée, si tu n’en as pas envie, je la rassure.
Elle fronce les sourcils, et feint la petite fille capricieuse.
-J’ai pas envie de faire mal. Comment ?
Me voilà à devoir donner des conseils à une fille pour une fellation.
-Euh… Je pense que c’est comme une banane tu vois ? Mais tu ne mords pas, un peu comme une glace.
Elle comprend « banane » et « glace », acquiesce en souriant, et revient loucher sur Courage, qu’elle tient toujours fermement. Finalement, elle se lance. Un coup de langue furtif. Puis elle me regarde, et éclate de rire.
Bordel, j’ai une créature somptueuse qui tient mon sexe bien fermement et qui me regarde dans les yeux en souriant. Je crois que si elle recommence, je ne vais pas résister longtemps.
Mais elle recommence, moins vite. Et encore moins vite. Elle laisse sa langue, guette ma réaction, et vois que tout va bien. Finalement, elle ferme les yeux, et pose ses lèvres sur la bête. Elle ouvre la bouche, et avance, et je sens sa langue qui goute, ses lèvres qui se referment. Comme quand elle mangeait sa banane près de la piscine. Mais elle ne croque pas. Elle le ressort de sa bouche, et rouvre les yeux. Elle me regarde, et je l’interroge du regard.
-C’est ok, elle me dit. Tu aimes ?
Elle semble vraiment préoccupée par le plaisir qu’elle me procure. Mais je la rassure.
-C’est parfait. Si tu ne veux plus, arrête.
Elle me sourit en le remettant dans sa bouche. Mais elle garde les yeux ouverts, et là je profite vraiment. Elle prend juste le bout, mais la chaleur de sa bouche, sa langue humide et ses lèvres qui se referment… Et je ne quitte pas ses yeux clairs qui brillent tellement avec son mascara noir. Elle le ressort de sa bouche, goute, et satisfaite, recommence.
Elle referme juste ses lèvres sur le bout, sans se presser. Elle s’habitue à l’avoir dans sa bouche, et je la sens qui agite sa langue. Je ne peux réprimer un frisson, et elle me demande immédiatement si ça va. Je soupire d’aise, et elle reprend. Elle met une plus grosse partie dans sa bouche cette fois, quasiment le gland entier. Sa main emprisonne toujours Courage, et elle se souvient qu’elle peut la faire remuer. Alors elle le fait, et c’est exquis.
Elle le pose sur sa langue et l’agite avec sa main, avant de refermer sa bouche sur lui. Tout ça sans jamais quitter mon regard. Les minutes sont exquises, alors qu’elle se prend au jeu. Elle teste ma limite, l’agite de plus en plus vite pour voir si ça me blesse. Elle fait mine de le croquer, et quand je lui fais les gros yeux, elle le sort de sa bouche et éclate de rire.
Je me rends compte qu’elle n’a pas son regard insaisissable habituel. Elle est joueuse, souriante, et elle comprend vite qu’elle peut facilement m’allumer. Elle le met dans sa bouche, et elle a subitement l’idée de le sucer comme une paille. Je vois ses joues qui se creusent, et je tressaille de plaisir. Toute contente, elle recommence de plus belle, en me lançant un regard provocateur qui manque de m’achever.
Puis elle a la seconde idée de bouger la tête. Ses lèvres touchent le sommet de Courage, l’aspirent, et descendent lentement, jusqu’à ce que tout le gland soit dans sa bouche humide. Et au lieu de le relâcher d’un coup, elle se recule doucement, et ses lèvres qui frottent m’arrachent un gémissement. Son regard s’illumine, et elle recommence, et j’adore ça. Je crois qu’elle comprend ce qu’il se passe quand je lui fait l’amour, je veux dire, quand je suis en elle. Elle commence à l’agiter avec sa bouche, s’approchant et reculant de plus en plus vite. Je ne peux plus rester collé contre le dossier du canapé. Je me tiens droit, et je soupire sans la quitter des yeux.
À chaque fois qu’elle le libère, je vois un Courage luisant de salive et éternellement heureux. Elle s’excite maintenant, et elle ne me regarde plus, concentrée sur son mouvement. Elle va de plus en plus vite, de plus en plus loin. Elle n’a plus peur maintenant, la petite Yun. Elle met quasiment la moitié de Courage dans sa bouche, et relève les yeux sur moi, constatant avec joie que je suis au paradis. Elle le tient maintenant entre ses lèvres, et elle ramène ses cheveux en arrière avant de poser son bras sur ma cuisse.
Elle continue sans utiliser ses mains, et lorsque Courage glisse de sa bouche et retombe sur moi, elle se penche en avant et le récupère entre ses lèvres. Son regard brille d’excitation, et en plus des va et vient, elle se met à le sucer, a aspirer, et je gémis et l’arrête presque immédiatement.
Je caresse sa joue, et elle libère Courage avant d’avaler sa salive. Puis elle me regarde, inquiète.
-J’ai mal fait ?
-Non non c'était parfait. Mais je vais finir, je réponds.
Elle ne parait pas comprendre, et j’attrape des mouchoirs dans ma poche. Elle ne bouge pas, les mains sur mes cuisses, et attends de voir ce qui va suivre. Ça me fait bizarre de me toucher avec cette fille superbe qui me regarde. Mais je n’ai aucun doute : je sais que tout va se terminer en quelques secondes. Courage est brûlant et trempé, et Yun attends avec impatience le dénouement de l’histoire.
Je le secoue un instant, et j’explose, sans pouvoir contrôler mes gémissements. Je regarde Yun, elle est bouche bée, et un petit sourire se dessine sur ses lèvres, alors que j’essuie un Popole baveux.
-Je pensais pas, me dit-elle. Mais j’aime peut-être.
Elle désigne le mouchoir, mais n’a pas l’air de vouloir goûter.
Je vais le jeter, et je me rhabille. Yun me laisse m’allonger sur le canapé, et elle vient se blottir contre moi en position fœtale, ses jambes repliées. Je pose une main sur sa cuisse, entre ses collants et sa robe. Elle me demande si j’ai aimé, et je l’embrasse dans les cheveux en guise de réponse.
Et elle tourne la tête vers moi en souriant, et me dit :
-J’aime moi. On refait après.
05/01/13 à 12:53:54
Je ne commenterais pas, tu sais très bien ce que j'ai dit à ce sujet, Apo ...
05/01/13 à 01:20:58
Sweet
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