Note de la fic : :noel: :noel:

Le périple de la peur


Par : Kriekcerise51
Genre : Fantastique, Horreur
Statut : C'est compliqué



Chapitre 11 : ~*Chapitre 11*~


Publié le 22/10/2012 à 20:36:58 par Kriekcerise51

"I don't know who you are and why you are here, but this is not ordinary city. Take, and defend your arsenal of weapons, because you can not get out, as long as you do not understand what is happening here. Good luck and survive.
Todd"

Ayant des bases d'anglais, j'ai traduis cette lettre, et voici:

"Je ne sais pas qui vous êtes, ni pourquoi vous vous trouvez ici. Mais sachez que ce n'est pas une ville ordinaire. Prenez l'arsenal d'armes, et défendez-le, car tant que vous n'avez pas découvert ce qu'il se passe ici, vous ne pourrez sortir. Bonne chance, et survivez."


Je ne savais pas quoi pensez, quoi faire. Cette lettre me fit extremement peur. Qui était ce Todd ? Qu'a t'il vécu ici ? Pourquoi, si c'est une réel lettre, à t'il dit ça ? Que ce passe t'il ... C'est alors que je me reposa toutes les questions qui tournaient dans ma tête. Heureusement que Nelo était là afin que je ne sois pas seul. Il se fit tard. La nuit tombait. Je couru au QG, avec la lettre et la lis 30 voir 40 fois ! En balayant un regard dans l'appart à coté, je trouva de la nourriture. Cela allait m'aider à mésiter. De la nourriture ! Certe pas beaucoup, mais des pommes de terres et de la viande.
Pourquoi trouver tant de choses, notamment de la nourriture alors que Pripyat est une ville morte depuis des lustres ? Contentons-nous de manger hein.
Après une bonne sieste, ou une bonne nuit disons, je descendis avec Nelo, chercher l'arsenal d'armes. Une fois la-haut, la caisse était rudement lourde ! Il a fallu faire une vingtaine de pauses pour le trajet. De retour à l'immeuble, je plaça l'arsenal au premier. Mais après reflexion, je me rappela qu'à Pripyat, il y a une grande roue manège. Pourquoi cette soudaine envie de planquer cette arsenal dans une de ces cabines ? Tout simplement car personne n'y ira, et de plus quelle idée. Même si j'étais persuadé d'être seul. Je traversa des places vides, des parcs, des immeubles, et grâce à mon plan, la roue était juste devant moi ! ou milieu d'un espace d'herbe et de gravier. Je monta l'estrade, et la cabine la plus en bas, sera le stock d'arme, et l'immeuble en face, celui en perpendiculaire à droite de la roue, à environ 30 mètres sera mon repère.
Pff pourquoi tout ça ? Je pète un cable. Je suis seul et rien ne peut ... Et c'est à cet instant là, que le même son strident que la dernière fois se fit entendre. Avec cette fois ci, un cris d'homme, long tel un gorille criant de toutes ces forces, durant 5 secondes.


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