Note de la fic : :noel: :noel: :noel: :noel:

enfermé dans la cave de ma cousine


Par : boxxy
Genre : Sayks
Statut : C'est compliqué



Chapitre 8 : 8


Publié le 01/07/2012 à 18:00:47 par boxxy

Elle avança d'un pas. J'en reculai d'un. 
Au fur et à mesure que mon dos s'avançait dangereusement du mur de la pièce, elle me dit: 
"Hey, essaye pas de t'enfuir petit, t'auras pas beaucoup de place où te cacher de toute façon" 
Mes mains que j'avais placées derrières mon dos en guise de radar sentirent la présence du mur, mettant ainsi fin à toute possibilité d'échappatoire. La tête de ma cousine se trouvait désormais à quelques centimètres de la mienne. Elle bomba la poitrine provoquant l'entrée en contacte de mon torse avec celle-ci. Je senti la chaleur monter en moi et au fur et à mesure que le mercure augmentait, je commençai à me laisser prendre au jeu. 
Ses lèvres brillante d'humidité s'articulèrent en une phrase sensuelle qui sonna la fin de ma passivité: 
"Je te veux"

Ces mots provoquèrent en moi une sorte de déclic, comme si les barrières de ma bonne conscience s'étaient volatilisées sous l'effet d'une formule magique. Tandis ce qu'elle s'approchait encore vers moi, je sentis la douceur de sa main me chatouiller le nombril à travers mon t-shirt. A son contact, une agréable sensation de chaud m'envahis autour de cette zone. C'était bon. J'avais l'impression de vivre un de ces rêve dont vous souhaitez ne jamais vous réveiller. 
Le bout de son nez vint caresser gentiment ma joue rougie par l'excitation. Après quoi elle inclina la tête pour venir me donner des petits coups de langue sur le cou. Sous les léchouilles de ma cousine, une vague de bien-être supplémentaire s'ajouta à la marée de sensations agréables dans laquelle je nageait à l'instant . 
Tout en déboutonnant son jeans, Jessica me prit la main. Elle la mena ensuite doucement sous sa culotte, et une fois que nos deux mains furent jointes à l'intérieur de son pantalon, elle commença à faire des petits mouvements d'avant en arrière sur son clitoris recouvert de cyprine, lui faisant lâcher un petit "Mmm oui" incontrôlé. 
Tandis ce que j'avais adopté le mouvement premier qu'elle m'avait initié tout à l'heure entre ses jambes, elle lâcha prise et passa ses bras autour de moi. Nous étions maintenant collés ensemble, plongé dans le regard de l'un l'autre. Je me noyais dans ses iris magnifiquement teintés d'un bleu azur, qui se virent clore alors que ses lèvres humides se rapprochaient lentement des miennes. Dans notre étreinte que je n'aurais jamais osé espéré réelle un jour, nous nous embrassâmes. 
Mon coeur battit alors si vite que j'eus l'impression qu'il était sur le point d'éclater en milles morceaux. Ma main enfouie cessa son activité quelques secondes tant ce moment de pur bonheur que je partageais avec Jessica me subjuguait. Nos langues se mêlèrent et nos ADNs similaires se rencontrèrent dans un joyeux et incestueux mélange de salive que j'aurais voulu éternel. 
Je n'étais plus à l'intérieur de cette vielle et froide cave qui nous ferait office de tombeau. Non, j'étais ailleurs, je nageais dans un océan de ciel illuminé par mille feux d'artifices, narguant les cupidons environnants de ce plaisir illégitime qui nous unissait. 

Insoucieux, nous réitérâmes l'expérience. Jessica se trémoussa lorsqu'elle senti entrer en elle les deux doigts que je faisait danser dans son vagin en même temps que nous nous embrassions. 
Elle poussa mon épaule vers bas à l'aide de son bras, m'indiquant de cette manière sa volonté s'asseoir. Comprenant son intention, je me laissai glisser le long du mur pour me retrouver en tailleurs à même le sol. Elle me suivit dans mon mouvement, écarta mes jambes et s'agenouilla en face de moi. Une fois dans une position confortable, elle déboutonna sa blouse laissant apparaître sa magnifique poitrine à travers son soutien-gorge que j'admirais goulûment tel un enfant devant une sucette dans un kiosque. Elle sourit à l'air ahuri que j'adoptai devant ses seins, et décida donc de coller ma tête sur sa paire de sucreries en guidant mon menton vers celle-ci avec sa main. 
En parlant de main, la mienne avait cessé de la doigter pour aller lui caresser son tendre fessier par dessus son pantalon. Que c'était bon ! Elle crispa ses mains, planta ses ongles dans ma chaire et balança sa tête en avant, cachant ainsi une partie de son visage par des mèches blondes. Cela lui donnait un air de tigresse affamée et je n'avais qu'une envie: Me faire dévorer. 

Elle laissa échapper un faible rire aux limites de la jouissance et commença ensuite à masser mon sexe avec une habilité divine, le transformant en véritable brasier infernal. Elle me me regarda d'un air de garce, comme fier et heureuse à la fois de ce qu'elle était en train de de faire. Dans l'extase de ce moment, elle me souffla à l'oreille : 
« Laisse-toi faire mon ange» 
Puis, elle eut l'envie de s'allonger sur moi. Je pivotai pour passer de la position assise à couchée et elle s'installa à cheval sur mon corps au niveau de ma ceinture. Suite à quoi elle déposa ses mains sur mon torse et commença à donner des petits coups de bassins, entraînant une friction entre son vagin et mon pénis. Nous restâmes dans cette position durant au moins cinq bonnes minutes en s'échangeant caresses et baisers langoureux. J'aimais quand elle prenais d'audacieuses initiatives , j'aimais me laisser flotter dans cette rivière de bonheur irréel qu'elle m'offrait avec abandon. Oh oui que j'aimais cette cousine dominatrice prête à tous pour assouvir ses désirs charnels. Cependant, dû à l'excitation des allers et retours de ses hanches qui frottait sur mon sexe depuis tout à l'heure, additionné à tous les préliminaires effectués au préalable, la bête qui était restée jusqu'alors prisonnière en moi se libéra
Je ne me sentais plus, je ne me contrôlais plus, j'étais devenu quelqu'un d'autre. Dans l'apogée de l'excitation, je poussai un hurlement orgasmique qui perça les airs pour aller percuter de plein fouet les tympans de Jessica. Sous l'effet de stupeur de ma cousine, j'en profitai pour me libérer de cette position soumise dont j'étais sujet depuis bien trop longtemps déjà. Je me levai, la plaqua par derrière contre une étagère d'huile et lui arracha violemment son jeans, dévoilant de la sorte ses jambes parfaitement lisses qu'elle maintenait serrées. Son sous-vêtement humide moulait la forme des lèvres avec une précision à en faire bander le plus saint des moines. Elle tourna la tête vers moi et me lança un petit sourire coquin tout en cambrant ses fesses contre mes parties. J'expirai l'air de mon nez tel un taureau qui s'apprêtait à charger et lui empoignai les hanches avec une force décuplée par la frénésie. 
Elle poussa un petit cri de bonheur et agita son fessier de plus belle contre mon jeans. Je lui écartai la partie de la culotte qui cachais son vagin et lui insérai trois doigts en faisant de rapides allers et retours. Je pus entendre sa respiration s'accélérer d'où j'étais, et devant le sublime spectacle de ce vagin dégoulinant, je ne pus me retenir d'y enfouir ma langue à l'intérieur. 
Les yeux mi-clos et dans un mélange de plaisir et d'étonnement, elle laissa échapper une ponctuation de petits cris sensuels. 
Malgré mon immense plaisir à goûter de sa cyprine, mon sexe en ébullition ne pouvait attendre d'entrer en action. Après avoir prestement ouvert ma braguette, mon engin sorti comme un oiseau sortirais d'une cage au bout de trois ans d'enfermement. Il était rouge et une veine apparente faisait comme une frontière deux parties imaginaires de ce dernier. Sans perdre une seconde, je lui enfonçai brutalement pas moins de 17 centimètres en un coup dans son petit vagin tout chaud. Sous cet excès de bestialité, tout son corps en entier trembla de délice. 

Je pensai alors : « Demain tu vas ramper ma chère ». 
Cette idée m'amusa et une expression presque malsaine s'afficha sur mon visage. 
A mesure que mes mouvements de hanches s'accéléraient, les seins de Jessica se balançaient dans tous les sens tel un punching-ball sous les coups d'un boxeur hystérique. Je pouvais ressentir l'extase de ma cousine à presque chaque pénétration que je lui faisais subir. Elle commença à chanceler et dut s'agripper à l'étagère pour ne pas tomber à la renverse. Je me vis enchanté de voir qu'elle était sous l'emprise totale de ma furie animale qui la dominait en maître depuis le moment où elle l'avait réveillé. Enfin les justes rôles étaient respectés. 
Après quelques minutes de reproduction déchaînée, je sentis que la sauce étais sur le point de refaire la peinture de son utérus. 
C'est pourquoi dans un ultime effort d'auto-persuasion, je retirai mon pénis pour le remplacer de mes doigts. Je voulais la faire jouir avant moi. 
Dans ce bref moment d'inactivité, je l'entendis reprendre son souffle. Elle tourna son regard vers moi, montrant un visage perlé de gouttes de sueur. 

« Donne tout ce que t'as maintenant mon chou » dit-elle au bord de l'orgasme. 
Je n'eus pas besoin de répondre pour lui faire comprendre qu'elle n'allait pas être déçue de ce que je préparais. 
Je recommençai avec les mouvements d'allers et retours de ma main, sauf que cette fois-ci la vitesse était nettement supérieure. Tous les muscles de mon bras étaient sollicités tant l'effort de rapidité était grand. 
En continuant mon travail, je lui léchai le clitoris afin que le plaisir s'en soit décuplé. 
Je l'entendais jouir, et plus j'accélérais, plus ses cris se faisaient intenses et incontrôlables. 
Elle était sur le point d'avoir son orgasme, c'était imminent. Alors que j'appréhendais la crampe, elle pencha sa tête en arrière, vibra de toute sa légère masse et poussa un hurlement d'extase qui retenti dans toute la pièce durant au moins 5 secondes. Le hurlement s'amenuisait peu à peu, pour ne devenir finalement qu'un petit râle persistant. Elle s'était affalée sur le sol comme si elle venait d'avoir couru le marathon de New-York avec un sac de trente kilos sur le dos. 
Le souffle court, elle me regarda. 
« C'était...Magique » dit-elle faiblement 

Se rendant compte que je n'avais pas eu ma part, elle se redressa me lança d'un air malicieux : 
« Attends chéri, je vais te rendre la pareille »


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