Bleu Méthylène
Par : MassiveDynamic
Genre : Sentimental , Action
Status : Terminée
Note :
Chapitre 13
Interlude
Publié le 02/04/10 à 19:31:16 par MassiveDynamic
HS : Je reviens comme je l'avais prévenu d'une semaine où je n'avais pas accès au net. Sachez que ma prochaine fic sera très ambitieuse et aussi très longue, Bleu Méthylène c'est donc un peu un mélange de tout pour me laisser écrire les grandes bases de ma prochaine fic à côté. Ceux qui aiment mes fics n'ont donc pas à s'inquiéter, je sais que BM est très en déca de mes deux premières fics mais il faut de tout et je m'essaie à tout. Plus d'infos dans d'autres HS, en attendant, enjoy.
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Qui, aujourd'hui, et sur cette terre, qui peut prétendre à des droits plus importants que n'importe qui d'autre ? A un droit de vie ou de mort, à des privilèges ? Tout ça, tous ces droits, tous ces privilèges, tout ça n'est qu'illusion. Ce n'est que graisser son comparse dans le sens du poil. L'entraide, par exemple. Ca profite à chaque partie, l'un aide l'autre et inversement, en contrepartie ils se complimentent en ne lésinant pas sur les adjectifs satisfaisants. Ce que j'entends par là, c'est que même cette pseudo entraide est fausse puisqu'elle bénéficie au final égoïstement aux deux parties, pensant eux-mêmes égoïstement mais sachant pertinemment que ce genre de fausse relation ne mène à rien si ce n'est à une éternelle boucle faux-cul et bien pensante. Et pourquoi je parle de ça, donc ? Et bien c'est simple. J'ai été piégé. Et cette manipulation évidente dont je fus la pauvre victime et que je continue de subir n'a pu être possible qu'à cause de ces politiques qui instaurent des manières bien pensantes, des normes à respecter, se graissant mutuellement la patte. On dit à une personne ce qu'elle est censée penser, ce qu'elle est censée faire, comment elle est censée réagir à X situations... L'individu subit un conditionnement permanent depuis tout petit auquel j'ai bien heureusement échappé depuis un moment. Et en percevant la vérité, je suis pris pour un fou et mis à l'écart. Elle est là, la vérité. Ils sont fous. Le monde est fou, et complètement pourri jusqu'à son centre. Il n'y a pas de bien ou de mal, juste une putain de soif de pouvoir, ou je ne sais quoi. Une guerre invisible, une guerre froide, guerre à laquelle malgré moi je dois prendre part. Je ne dois pas être le seul à savoir pour eux et pour toute cette machination. Il doit forcément y avoir quelqu'un au courant. Quelqu'un pouvant m'aider. Mais je ne sais pas. Tout le monde m'a tourné le dos. Plus rien ne m'attend ici ou en dehors, je suis insignifiant. D'aucune importance. Ma vie n'a aucun but. Je suis juste là... J'existe, mais sans véritable raison. Et surtout maintenant, isolé dans un hôpital psychiatrique. Je ne peux que me parler à moi-même, je suis ma propre constante, si je perds la tête, alors à mon tour je perdrai l'esprit. Tous ici sont contre moi. Tous. Mais je sors bientôt. Et une fois dehors, ma cible sera toute définie.
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Qui, aujourd'hui, et sur cette terre, qui peut prétendre à des droits plus importants que n'importe qui d'autre ? A un droit de vie ou de mort, à des privilèges ? Tout ça, tous ces droits, tous ces privilèges, tout ça n'est qu'illusion. Ce n'est que graisser son comparse dans le sens du poil. L'entraide, par exemple. Ca profite à chaque partie, l'un aide l'autre et inversement, en contrepartie ils se complimentent en ne lésinant pas sur les adjectifs satisfaisants. Ce que j'entends par là, c'est que même cette pseudo entraide est fausse puisqu'elle bénéficie au final égoïstement aux deux parties, pensant eux-mêmes égoïstement mais sachant pertinemment que ce genre de fausse relation ne mène à rien si ce n'est à une éternelle boucle faux-cul et bien pensante. Et pourquoi je parle de ça, donc ? Et bien c'est simple. J'ai été piégé. Et cette manipulation évidente dont je fus la pauvre victime et que je continue de subir n'a pu être possible qu'à cause de ces politiques qui instaurent des manières bien pensantes, des normes à respecter, se graissant mutuellement la patte. On dit à une personne ce qu'elle est censée penser, ce qu'elle est censée faire, comment elle est censée réagir à X situations... L'individu subit un conditionnement permanent depuis tout petit auquel j'ai bien heureusement échappé depuis un moment. Et en percevant la vérité, je suis pris pour un fou et mis à l'écart. Elle est là, la vérité. Ils sont fous. Le monde est fou, et complètement pourri jusqu'à son centre. Il n'y a pas de bien ou de mal, juste une putain de soif de pouvoir, ou je ne sais quoi. Une guerre invisible, une guerre froide, guerre à laquelle malgré moi je dois prendre part. Je ne dois pas être le seul à savoir pour eux et pour toute cette machination. Il doit forcément y avoir quelqu'un au courant. Quelqu'un pouvant m'aider. Mais je ne sais pas. Tout le monde m'a tourné le dos. Plus rien ne m'attend ici ou en dehors, je suis insignifiant. D'aucune importance. Ma vie n'a aucun but. Je suis juste là... J'existe, mais sans véritable raison. Et surtout maintenant, isolé dans un hôpital psychiatrique. Je ne peux que me parler à moi-même, je suis ma propre constante, si je perds la tête, alors à mon tour je perdrai l'esprit. Tous ici sont contre moi. Tous. Mais je sors bientôt. Et une fois dehors, ma cible sera toute définie.
10/07/10 à 00:26:27
Ouais, c'est plutôt celle de la solidarité.
Sinon, mentalité classique de rebelle. Le réquisitoire part vraiment dans tous les sens. On va mettre ça sur le compte de sa folie
02/04/10 à 22:42:46
C'est pas la définition officielle de l'entraide, ça
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